Musique Classique les CD du jour
- Par frederique Roustant
- Le 21/02/2023
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Aujourd'hui 20 Fevrier
Le disque classique de la semaine :
Amateurs de Musique Classique voici des CD que nous avons selectionné
Remarquable reconstitution musicale des noces de Louis XIV par Vincent Dumestre et ses musiciens
Retrouver l'ambiance musicale d'une cérémonie comme celle du mariage de Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz, voilà un défi totalement réussi par Vincent Dumestre et son équipe. Une page d'histoire semble.Revivre en musique un évènement important de l’histoire de France, c’est ce que propose cet enregistrement. Suivant le déroulé de la cérémonie du mariage du jeune Louis XIV en l’église de Saint-Jean-de-Luz, l’auditeur peut ainsi se plonger dans ces instants marquants grâce à la musique qui lui sert de fil conducteur Par Frédéric Muñoz
Dans son intégrale des mélodies de Fauré, Cyrille Dubois surclasse tous ses prédécesseurs
Le duo Tristan Raës et Cyrille Dubois a déjà montré de quelles merveilles il était capable, dans Boulanger et dans Liszt. Chanter Fauré n’était pas sans risque, mais avec tant de talents et de simplicité, la réussite est encore une fois éclatante.Ce n’est pas la première intégrale des mélodies de Fauré, ni même la première à être entièrement chantée par des artistes français ou francophones « native speaker ». Mais c’est la première à être confiée entièrement à un seul chanteur, au risque de quelques discrètes transpositions, qui ne dérangeront pas les mélomanes. Article de Matthieu Roc
Les Symphonies n° 6 et 9 de Chostakovitch en terre galloise : une réussite signée Steve Lloyd-Gonzales
Couplage logique pour ces deux symphonies, les plus courtes du catalogue de Chostakovitch. Deux œuvres “provocatrices” aux yeux du régime soviétique, chargées d’amertume, de désespoir et de sarcasmes. Steven Lloyd-Gonzales et la formation du Pays-de-Galles nous en offrent une lecture inspirée et racée.Créée le 5 novembre 1939 sous la baguette d’Evgueni Mravinsky, la Symphonie n° 6 remit en cause l’aura retrouvée et chèrement reconquise par le compositeur grâce à la Symphonie n° 5. Venus entendre une “Ode à Lénine” – imprudemment, le compositeur avait annoncé la création d’une partition grandiose avec chœurs – les officiels découvrirent une symphonie “sans tête”, rendant un hommage indirect aux harmonies de Sibelius et de Mahler. par Stéphane Friédérich
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