Créer un site internet

Chateau de Perrefonds

 

Telechargement 2020 04 13t153529 588

____________________________________

Telechargement 2020 04 13t153408 115

_________________________

Le château de Pierrefonds se situe à une centaine de kilomètres au nord de Paris, entre Compiègne et Soissons, dans l'ancienne province du Valois. Celle-ci avait été rattachée au domaine royal sous Philippe-Auguste en 1181, et la châtellenie de "Pierrefonts", position de refuge et de surveillance stratégique en lisière de la forêt de Compiègne, fut rachetée aux ayants droit.

1371. Charles V donne le comté de Valois à son second fils Louis d'Orléans- dès sa naissance. Cette donation est confirmée en 1386, au moment de son mariage avec Valentine Visconti (fille du duc de Milan).

A partir de 1392. Le roi Charles VI est pris de crises de démence qui ne cesseront plus jusqu'à sa mort. L'autorité dans le royaume devient incertaine et une rivalité sanglante se développe entre deux partis prétendant gouverner au nom du roi : les Bourguignons alliés aux Anglais (avec des prétentions sur le trône de France) et les Armagnacs, alliés à Louis d'Orléans. Ce dernier, se prétendant frustré de ses droits de régent du royaume, fait bâtir ou réparer plusieurs châteaux pour constituer un vaste réseau militaire propre à dominer le nord de Paris et dont Pierrefonds pouvait constituer un ultime réduit.

1397. Les travaux de construction du château progressent rapidement et s'achèveront moins de dix ans plus tard, puisqu'on 1406, toute la cour se déplace pour assister au mariage du futur poète Charles d'Orléans, fils aîné de Louis.

1407. Louis d'Orléans est assassiné à Paris par les partisans des Bourguignons.

1415. Le roi d'Angleterre Henri V, profitant des troubles et fort de son alliance avec les Bourguignons, remporte la victoire d'Azincourt contre les Armagnacs. Charles d'Orléans, héritier de Pierrefonds, est fait prisonnier. Il restera 25 ans captif en Angleterre et il exprimera dans ses vers la nostalgie de "sa douice France"

: ' En regardant vers le pays de France Un jour m'advint, à Douvres sur la mer Qu'il me souvint de la douce plaisance Que je soûlais* audit pays trouver ; Et commençai de coeur à soupirer Combien certes que grand bien me faisoit De voir France que mon coeur aimer doit.

1420. Le traité de Troyes, avec l'appui de la reine de France Isabeau de Bavière, déshérite le dauphin (futur Charles VII), reconnaît Henri V d'Angleterre comme héritier du royaume et lui confère la régence.

1422. Henri V, puis Charles VI meurent à deux mois d'intervalle . cette situation crée une période d'incertitude que dissipera Jeanne d'Arc en faisant reconnaître la légitimité de Charles VII en 1429. Charles d'Orléans est libéré en 1440. Une trêve avec les Anglais intervient en 1444 et met fin à la guerre de Cent ans.

1595. Antoine d'Estrées (père de Gabrielle, maîtresse du roi Henri IV), fait l'acquisition de Pierrefonds pour 18 000 ducats.

1617. Dans le cadre de sa politique d'abaissement des grands féodaux, Richelieu, ministre de la Guerre, fait le siège de Pierrefonds avec 3 000 hommes, 500 chevaux et 4 pièces d'artillerie. En moins d'une semaine, il écrase tous les ouvrages avancés et fait écrouler les principales tours.

XVIIIe siècle. Abandonné, le château attire quelques rares visiteurs. En 1798, il est vendu comme bien national pour 8100 Frs.

1810. Napoléon Ier rachète Pierrefonds pour 2 950 Frs seulement.

1832. Louis-Philippe donne une réception à l'occasion du mariage de sa fille avec Léopold Ier, roi des Belges.

1848. Pierrefonds est inscrit sur la liste des Monuments historiques.

1850. Le Prince-président, futur Napoléon III, visite Pierrefonds. Quelques années plus tard, il chargera Viollet-le-Duc de la restauration.

1858. Les travaux commencent.

Vers 1861. Les projets initiaux sont modifiés. Il n'est plus seulement question d'une "ruine pittoresque", mais d'une résidence impériale. Napoléon III est au faîte de sa gloire (Nice et la Savoie ont été rattachées à la France, le percement du canal de Suez avance..-). Le roi de Prusse visite Pierrefonds, qui l'influencera sans doute quarante ans plus tard pour la restauration du château du Haut-Koenigsbourg en Alsace.

Louis II de Bavière s'en inspirera lui aussi dans la construction du château de Neuschwanstein en 1869. Viollet-le-Duc donne alors libre cours à son inspiration gothico-romantique. Son imagination est sans limite : ne fait-il pas réaliser pour Napoléon III un wagon de chemin de fer de style gothique ainsi qu'une immense salle de 50 m de long destinée à recevoir sa collection d'armures. La chapelle est une pure création de l'architecte, interprétant librement les élans - du style gothique et l'appliquant aux meubles, à la décoration.

1869. La statue à cheval de Louis d'Orléans par Frémiet (sculpteur de l'archange qui domine le Mont-Saint-Michel) est mise en place dans la grande cour.

1870. La guerre interrompt brusquement la restauration, mais l'essentiel des travaux extérieurs prévus sont terminés. Il reste à exécuter les clôtures (portes, fenêtres, vitrerie), les ravalements, la couverture des terrasses et les pavements.

1879. Viollet-le-Duc meurt. La fin des restaurations est laborieuse. On les considère comme terminées en 1884. Les collections d'armures sont transférées à Paris au musée de l'Armée. Le château reste désert et son décor inachevé laisse une impression étrange de théâtre sans acteurs ni spectateurs. Il va traverser deux guerres mondiales sans subir aucun dommage, symbole de l'inutilité de ses défenses d'un autre âge.

La Caisse nationale des monuments historiques et des sites a maintenant en charge la conservation et la mise en valeur de Pierrefonds. A la faveur d'un tourisme culturel intéressé par le Moyen Âge, elle tente de donner vie à ce château, trop neuf pour paraître ancien mais trop inspiré pour être considéré comme faux.

 

Billet coupe-file pour le château de Pierrefonds - Civitatis.com

________________________

Bibliothèque 

du château

_______________________

Telechargement 2020 04 13t153658 574Telechargement 2020 04 13t153816 511Telechargement 2020 04 13t153907 019Livre: Viollet-le-Duc et Pierrefonds, Histoire d'un chantier ...Tous les livres en stock catégorie "château" - Achat articles ...

 

 

La chapelle[modifier | modifier le code]

Chapelle

La chapelle a été entièrement reconstruite. Lovant son abside dans la tour Judas-Maccabée, elle n’est pas visible de l’extérieur. Sa façade sur cour rappelle les saintes chapelles du Moyen Âge (château de Vincennes). Ornée d’une figure de pèlerin de Saint-Jacques-de-Compostelle (auquel Viollet-le-Duc a prêté ses traits, réalisée en 1884 par Hiolin), elle dissimule une architecture étonnante, bien loin des modèles anciens puisqu’une tribune destinée aux gardes du château a été installée au-dessus du chœur.

_________________

Le donjon

Le donjon du château pouvait être complètement isolé des autres défenses. Il comprend les deux grosses tours de César et de Charlemagne, tout le bâtiment carré, divisé en trois salles à chaque étage, et la tour carrée. Le donjon était l’habitation réservée au seigneur.

Bâti dès le xive siècle, le donjon a pour particularité et originalité à Pierrefonds d’être totalement accolé à la muraille du château. Composé de trois étages successifs, il était destiné à accueillir les appartements des souverains. Aujourd’hui (en 2013), seuls les appartements de l’empereur Napoléon III sont accessibles au public.

En relevant les ruines en 1858, Viollet-le-Duc n'a pas modifié fondamentalement l'implantation initiale du donjon. Sa première intention, conformément à la volonté de Napoléon III, fut de remonter exclusivement que le donjon car d'importantes portions de murs subsistaient.

L’escalier du donjon, entièrement imaginé lors des restaurations du xixe siècle, est greffé sur des murs restaurés. Son départ en perron couvert échappe à tout modèle médiéval mais assure une entrée majestueuse aux appartements impériaux. Si l’aspect général de cet escalier est incontestablement médiéval, le foisonnant répertoire décoratif est d’inspiration très originale avec une liberté certaine dans le mélange des réminiscences médiévales et Renaissance. Les quatre statues féminines représentent les quatre vertus cardinales : la Justice, la Tempérance, la Prudence et la Force.

Le salon de réception

détail de décoration intérieure dans le salon de réception

Au xixe siècle, l’empereur et l’impératrice recevaient ici leurs proches et intimes. Salle dépourvue d’ameublement à l’exception d’une banquette remarquable due à Viollet-le-Duc, la décoration est quant à elle très lumineuse et riche. Les murs représentent divers emblèmes et blasons de souverains peints par la technique dite de peinture au pochoir. Se côtoient dans cet ensemble l’Aigle impérial de Napoléon III et le porc-épic de Louis XII. Le porc-épic était l’emblème de la dynastie des Valois d’Orléans et leur devise était : « Qui s’y frotte s’y pique ». Le reste de la pièce est agrémenté de panneaux de lambris sculptés et représentant diverses chimères.

Toute la sculpture en bois a été réalisées par Zoegger.

La grande banquette sculptée à dossier basculant a été réalisée à partir de dessins de Viollet-le-Duc montrant les projets d'ameublement destinés aux appartements privés.

La salle des plâtres de travai

Dans ce lieu totalement dépourvu de peintures murales étaient réalisées et exposées diverses statues destinées à orner le château. Posés sur leur sellette d'origine, les plâtres de travail ont été utilisés par Viollet-le-Duc pour faire exécuter la statuaire monumentale du château : les preux des tours, les preuses de la salle de bal, l'archange saint Michel et la Vierge de l'Annonciation.

Le cabinet de travail de l’Empereur

C’est la pièce la plus meublée du donjon, avec notamment le bureau sur lequel travaillait Viollet-le-Duc. Intrigant mais amusant, un cabinet de toilette était dissimulé derrière une porte faisant office d’armoire. Ce cabinet de toilette possédait un système de chasse d'eau alimenté par le biais d’une bassine remplie d’eau et située au-dessus de l’armoire.

Les parties hautes des lambris représentent des rinceaux, des feuillage, et des figures d'animaux combattants. Le décor peint au pochoir reprend le motif de l'aigle impériale mais modifié pour éviter toute répétition. Le manteau de la cheminée est peint d'abeilles, emblème choisi par Napoléon 1er pour évoquer la notion de pugnacité.

La chambre de Napoléon III

C’est une pièce immensément illuminée. Cet avantage provient de sa position au centre du donjon. Viollet-le-Duc a conçu un décor ornemental de lambris sculpté et de peinture au pochoir où la richesse des figures inspirées des bestiaires médiévaux rivalise avec le foisonnement des motifs floraux.

Par cette utilisation de la ligne végétale, par la stylisation du dessin et l'emploi d'une vive polychromie, l'architecte s'impose ici, avec cinquante ans d'avance, comme l'un des précurseurs de l'Art nouveau si brillamment illustré par Guimard ou Horta. Symbole récurrent, l'aigle impériale orne poutres, murs et cheminées tandis qu'une frise historiée narre la vie des chevaliers du xive siècle.

Elle se lit en partant de la droite de la cheminée. Elle décrit l'éducation idéale du chevalier, l'art de combattre. Elle évoque l'exploit que doit réaliser chaque chevalier par la mort d'un griffon. Enfin, elle rappelle que l'un des devoirs d'un seigneur est de rendre la justice.

Le linteau de la cheminée s'orne d'abeilles sculptées. dans le cartouche s'inscrit la devise : « Qui veult peult ».

La chambre est vide de tout meuble. Viollet-le-Duc dessina un projet de lit qui restât sans suite.

L’appartement de l’Impératrice

La chambre de l'impératrice Eugénie est une haute salle voûtée sur le plan d'un octogone, entièrement peinte, au second étage de la tour Jules-César, au-dessus de la chambre de Napoléon III. Le salon-antichambre occupe la moitié du donjon.

Sur le manteau de la cheminée figure un arbre dont les branches à enroulement désignent chacune un des huit chevaliers de la Table Ronde. Au sommet, siège Arthur (ou Artus). Les vitraux aux aigles héraldiques portent la devise « Je l'envie ».

En cours de restauration et de mise aux normes en 2013, l’appartement devrait être ouvert au public prochainement.

Le grand logis

Le dépôt des sculptures

Dans ces salles gothiques, sont exposées au public depuis 1997 les sculptures de plâtre commandés par Louis-Philippe pour le musée national du château de Versailles. Ce sont pour la plupart les copies des gisants et d’orants de la basilique Saint-Denis. Parmi ces sculptures figurent également ceux qui ont fait Pierrefonds : Louis et Charles d'Orléans ou Valentine Visconti duchesse de Milan.

En 2006, l’artiste Skertzo a installé une muséographie moderne. Mais la présentation des moulages respecte pour l'essentiel, la dépose effectuée en 1953, sans respect chronologique ni intention pédagogique.

Les caves où se trouve ce dépôt correspondent aux parties de château datant de Louis d'Orléans. On y voit aussi les foyers en brique du système de chauffage par calorifères datant du xixe siècle.

La salle de la maquette[modifier | modifier le code]

Maquette en pierre

La maquette en pierre du château a été réalisée pour l’Exposition universelle de 1878 par Lucjan Wyganowski (1809-1884), inspecteur des travaux et collaborateur de Viollet-le-Duc dès 1857. Lors de sa présentation à l'exposition universelle, elle a été découpée en 85 morceaux et rangées dans 28 caisses.

La salle des gardes ou des mercenaires[modifier | modifier le code]

D’après Viollet-le-Duc, elle était destinée à abriter des soldats que l’on surveillait depuis la galerie du demi-étage. Quelques vestiges de l'ancien château découverts lors des fouilles archéologiques de 1858 sont entreposés, notamment une statue de la Vierge de l'Annonciation et trois statues de Preux : Artus, Charlemagne et Godefroy de Bouillon.

Cette salle a été entièrement créée par Viollet-le-Duc sauf la cheminée à deux âtres et blason des Orléans qui est en partie d'origine.

La salle des preuses[modifier | modifier le code]

Salle des Preuses

Ancienne salle de justice, c’est aujourd’hui la salle la plus imposante du château incarnant le faste de la période Second-Empire avec son architecture impressionnante et sa décoration grandiose. Elle a une longueur de 52 m, une largeur de 9,50 m et une hauteur de 12 m. La voûte en berceau lambrissées carénée, en double presque le volume. Elle est éclairée par 22 fenêtres.

Sous le Second Empire, ce lieu sert de salle de réception ainsi que de galerie de bal. À cet effet, une tribune d’orchestre située au-dessus de la salle d'armes, la domine.

Deux ensembles statuaires se répondent aux extrémités de la salle : Le portail est richement orné de statues-colonnes avec, au centre, l’empereur Charlemagne entouré des princes paladins: Olivier, Roland, l’évêque Turpin et Guillaume d'Orange. À son dessus, deux anges soutiennent le blason impérial surmonté d’une couronne. Les sculptures ont été réalisées par Gondran.

De l’autre côté de la salle, une cheminée à double foyer est monumentale et ornée d’un manteau représentant neuf statues féminines nommées les preuses. Elles évoquent l’amour courtois. Les visages des « preuses » s'inspirent de ceux de l'impératrice et de ses dames de compagnie. Nous avons de gauche à droite : Thamaris (maréchale Canrobert), Cinopé (princesse Murat), Lampetto (duchesse de Malakoff), Hipolyté (baronne de Pierres), Sémiramis (impératrice Eugénie), Penthésilée (duchesse de Cadore), Teuca (duchesse de Bassano), Déiphyle (Comtesses de la Poeze) et Ménalippe (madame Carette) qui, n’étant pas d’origine noble, est la seule statue à ne pas avoir de couronne.

Seules deux banquettes circulaires dessinées par Viollet-le-Duc constituent le mobilier après le déménagement de la collection d’armures médiévales de Napoléon III qui se trouve maintenant à l’hôtel des Invalides, à Paris. La collection d’armures et d’armes de poing avait été acquise par l’empereur à la vente du prince Soltikoff en 1861 et elle était présentée auparavant dans le palais de l’Industrie aux Champs-Élysées.

L’aile des invités

L’aile des invités abritait au rez-de-chaussée, les cuisines et à l’étage, des salons, puis à l’étage supérieur, les appartements des invités. Cette aile n’a jamais été terminée.

De nos jours, elle abrite les collections des ateliers Monduit. Ces ateliers surent renouveler la technique de la plomberie d’art. De grands sculpteurs et architectes confièrent à ces ateliers la restauration de toitures de châteaux, d’églises ou d’hôtels particuliers, mais aussi des créations telles que la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la grande lanterne de la coupole de l’Opéra de Paris, la flèche de la cathédrale d’Amiens, la couverture en bronze de la statue de la Liberté à New York (une reproduction en modèle réduit est visible), le Lion de Belfort, l’archange saint Michel qui couronne la flèche de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, la réalisation du quadrige sur le toit du Grand Palais à Paris et aussi, les couvertures du château de Pierrefonds.

Les pièces présentées ne sont pas des copies mais des doubles véritables, fabriqués par les ateliers Monduit au moment de la réalisation des commandes, pour être exposés lors des expositions universelles. L’escalier à double révolution emblématique de la période Renaissance offre deux volées qui ne se croisent pas (comme au château de Chambord), jouant ainsi sur une idée de divertissement pour la Cour.

Un monument en constante transformation

Dès ses origines

Ouverts au public sous le Second Empire comme un musée, le bâtiment et son parc, une fois la défaite consommée, retrouvent cette vocation et, jusqu’en 1879, date de la mort de Viollet-le-Duc les travaux d’aménagement se poursuivent. Pourtant, dès l’année 1870, la collection d’armures a été déménagée. Vide, le château est loin d’être terminé. Les visiteurs se font rares. Ils afflueront plus tard, d’autant qu’en 1884, date du décès de Maurice Ouradou, gendre de l’architecte qui avait poursuivi l’entreprise d’après les dessins de son beau-père, le train arrivera à Pierrefonds. Mais après 1870 Viollet-le-Duc programme seul la reconstruction du château. L’empereur est absent, humilié par les Prussiens ; l’architecte prépare donc sans lui le devenir de cette œuvre si peu ordinaire et fait de la reconstruction de Pierrefonds une leçon pour le présent.

De nos jours

  • Au terme d'une période de désaffection qui a vu diminuer le nombre de ses visiteurs (100 000 en 2000), le domaine est dirigé depuis 2008 par l'administratrice Mme Eva Grangier Menu.
  • D'autres parties du château sont ouvertes, dont l'exposition de la collection Monduit, en cuivre martelé.
  • Le parc du château fait l'objet d'un programme de restauration, avec la construction et l'installation d'engins de siège, comme un trébuchet.
  • Depuis décembre 2012, une campagne de restauration sans précédent étalée sur cinq ans, a été lancée. Objectif : donner encore plus à voir aux visiteurs et ainsi attirer un nouveau public

 

Aux piédroits du portail, figurent Louis d'Orléans et sa femme, Valentine Visconti. Au

 

 

Telechargement 2020 04 13t161445 716?Telechargement 2020 04 13t162339 092Telechargement 2020 04 13t161553 685



 

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Bonjour et Bienvenue

Dans votre Edition du jour


Chaque jours nous vous informons des dernières informations litteraire et artistiques.

Nous ouvrons également les Revues de Presse des Journalistes.Vos Quotidiens presenterons les sorties,des portaits,des critiques, 

 

A vous ecrivains autoédités, artistes indépendants 

vous souhaitez vous faire connaître,présenter vos romans et vos oeuvres,Ce Quotidien vous est consacré.


 

×