le chateau de Chambor le rêve de François1er

 

 

 

largeur 117 m
longueur 156 m
cages d'escalier nombre 77
chapelle de l'aile ouest largeur 10 m
hauteur 15 m
longueur 30 m
tour diamètre

ca. 20 m


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LES SECRETS DU CHATEAU DE CHAMBORD s

 

 

 

Fleuron de l’architecture édifié à partir de 1519 à la demande de François Ier, amoureux des arts et de la chasse, le château de Chambord est aujourd’hui devenu l’emblème de la Renaissance française à travers l’Europe et le monde.

 

Un palais surgit au cœur des terres marécageuses de Sologne. François Ier, tout jeune roi, en ordonne la construction. Le château de Chambord n’est pas conçu pour être une résidence permanente, François Ier n’y passe que quelques semaines. C’est une véritable œuvre architecturale que le roi se plaît à montrer à des souverains et ambassadeurs comme un symbole de son pouvoir inscrit dans la pierre. Le plan du château et ses décors ont été conçus autour d’un axe central : le fameux escalier à doubles révolutions, inspiré par Léonard de Vinci, spirale ascendante qui mène au foisonnement des cheminées et chapiteaux sculptés, sur les terrasses.

 

 

Un palais surgit au cœur des terres marécageuses de Sologne. François Ier, tout jeune roi, en ordonne la construction. Le château de Chambord n’est pas conçu pour être une résidence permanente, François Ier n’y passe que quelques semaines. C’est une véritable œuvre architecturale que le roi se plaît à montrer à des souverains et ambassadeurs comme un symbole de son pouvoir inscrit dans la pierre. Le plan du château et ses décors ont été conçus autour d’un axe central : le fameux escalier à doubles révolutions, inspiré par Léonard de Vinci, spirale ascendante qui mène au foisonnement des cheminées et chapiteaux sculptés, sur les terrasses

 

Il faut attendre le règne de Louis XIV pour que l’édifice soit enfin achevé. C’est également à cette époque que les abords du château sont aménagés. Des écuries sont construites à l’extérieur du château et la rivière du Cosson, qui traverse le parc, est en partie canalisée pour assainir le site. Le Roi Soleil réside à plusieurs reprises dans le monument en compagnie de sa cour. Ces séjours sont l’occasion de grandes parties de chasse et de divertissements. Molière présente pour la première fois à Chambord sa célèbre comédie le Bourgeois gentilhomme, en 1670.

Au XVIIIe siècle, des travaux sont entrepris afin d’aménager l’intérieur du château. Louis XV en dispose pour loger successivement son beau-père Stanislas Leszczynski, roi de Pologne exilé entre 1725 et 1733, puis le maréchal de Saxe, en récompense de sa victoire militaire de Fontenoy (1745).La nécessité d’apporter chaleur et confort à l’édifice pousse les différents occupants à meubler de façon permanente le château et à faire aménager dans les appartements boiseries, parquets, faux-plafonds et petits cabinets

 

Les latrines de la tour Nord et le projet initial du donjon Les archéologues ont constaté une différence notable dans l’architecture et l’orientation des fosses de latrines de la tour Nord. Il y a bien deux fosses de latrines mais, contrairement aux autres cantons, elles ont une longueur identique.

En outre, leurs largeurs cumulées correspondent à celle de la grande fosse des autres cantons. Il y eut donc une importante modification du plan du château alors qu’il commençait à peine à s’élever, qui a entraîné la modification des fosses de latrines Nord. Initialement, le système de latrines du canton devait être identique aux autres mais la fosse principale fut divisée en deux parties par un mur de refend tandis que sa petite fosse originelle était comblée ( ).

Le canton vit ensuite son orientation complètement inversée ! Pourquoi ? François 1er, à son retour de captivité de Pavie, modifie le plan du château ; il décide d’encadrer le donjon par deux ailes reliées à ce dernier par une galerie et reliées entre elles par une enceinte basse. Le retournement du canton fut engagé pour permettre une circulation entre les bras de croix du donjon et la galerie menant à l’aile royale (sans cette modification, il aurait fallu traverser un appartement pour se rendre du donjon à la galerie…) Originellement, le plan du donjon s’organisait donc comme les ailes d’un moulin : les cantons d’appartement étaient décalés de 90° les uns par rapport aux autres, créant une symétrie centrale autour de l’escalier à doubles révolutions. Il s’agissait d’un plan giratoire, également appelé « en svastika ».

e projet fut rapidement modifié, créant une importante dissymétrie dans le plan interne du donjon. Projet initial Plan modifié Les marques lapidaires De très nombreuses pierres des parois et voûtes des fosses du donjon portent des symboles tracés au charbon ou, plus rarement, gravés. Ces marques donnent de précieuses indications sur l’organisation du chantier de construction du château de Chambord. Il existe d’une part des marques de pose et des chiffres romains indiquant l’assise standard des pierres (leur hauteur). Par exemple, une pierre de 26 cm de hauteur porte la marque « III » tandis qu’une autre de 32 cm est marquée d’un « VI ». Les ouvriers disposaient donc d’instructions précises marquées à même la pierre pour les poser correctement. D’autre part, les pierres portent des signes identitaires, ordinairement appelés « marques de tâcherons », servant de signature personnelle aux ouvriers, rémunérés à la tâche. N

 

Malgré l’extraordinaire renommée du château de Chambord et l’intérêt qu’il a suscité au cours des siècles parmi les historiens, l’énigme de l’identité de son architecte n’est pas encore levée. Un mystère qui s’explique par l’absence presque totale d’archives concernant le chantier royal, celles-ci ayant été dispersées ou détruites à la fin du XVIIIesiècle. Aucun plan, aucun texte contemporain de la construction ne cite précisément le nom de celui qui imagina puis « traça les traits » de l’un des édifices les plus remarquables de la Renaissance.

L’INFLUENCE DE LÉONARD DE VINCI

Bien que l’identité de son architecte demeure inconnue, le château de Chambord est une création architecturale exceptionnelle, influencé par le travail de Léonard de Vinci.

À la suite de la bataille de Marignan, François Ier découvre les merveilles de l’architecture italienne et le travail de Léonard de Vinci. Lors de son retour en France en 1516, François Ier invite le génie polymathe à séjourner à la cour de France en tant que « premier peintre, architecte et ingénieur du roi ».

Son influence dans la conception du projet de construction de Chambord se retrouve dans la comparaison entre des partis architecturaux adoptés à Chambord et les croquis qu’il a réalisés dans ses carnets. Le plan centré du donjon, la présence d’un escalier à doubles révolutions, d’un système de latrines à double fosse et conduit d’aération ou encore le système d’étanchéité des terrasses, sont autant d’indices qui font de lui l’inspirateur de l’œuvre de François Ier.

LE PLAN CENTRÉ EN CROIX GRECQUE

La partie centrale du château de Chambord est le donjon.

Ce bâtiment carré cantonné de quatre tours d’angle occupe le centre du complexe actuel. Il constitue à lui seul le nouveau palais de François Ier au commencement des travaux. Ce n’est qu’à partir de 1526 environ (marquant le retour du roi de France de deux ans de captivité à Madrid à la suite de la défaite militaire de Pavie) que l’édifice s’enrichit de deux bâtiments latéraux et d’une enceinte fermant la cour.

La composition interne du donjon est d’une ordonnance inédite en France et constitue un trait d’italianisme indéniable. Il s’agit d’un plan centré en croix grecque : les quatre faces du bâtiment s’ouvrent sur de grandes salles de 9 m de large et 18 m de long formant une croix grecque. Au centre se déploie le monumental escalier à doubles-révolutions. Enfin, la salle en croix détermine dans les angles des cantons d’habitations constitués de logis standardisés.
L’ornementation des parties hautes du donjon et du château, hérissées de cheminées et de tourelles d’escalier, évoquent le style des châteaux forts.

Pourtant, à l’époque de la construction du château de Chambord, ces formes traditionnelles de l’architecture médiévale sont depuis longtemps caduques. En effet, dès le milieu du XVe siècle, les progrès réalisés dans le domaine de l’artillerie avaient rapidement rendu les châteaux forts obsolètes. La persistance d’éléments architecturaux médiévaux du château de Chambord n’est pourtant pas à considérer comme le résultat d’une lente évolution des habitudes des constructeurs. Au contraire, le donjon du château de Chambord, ses tours d’angle, son enceinte et ses douves en eau évoquent une puissance militaire toute allégorique, à défaut d’être réelle. Plus de trente ans après la fin de la construction des derniers châteaux forts, ces éléments constituent de véritables citations architecturales d’un autre temps. Ils évoquent alors, aux yeux des contemporains de François Ier, le monde périclitant de la chevalerie, dont le jeune souverain, dernier roi-chevalier, garde une profonde nostalgie.

L’ESCALIER "MAGIQUE" DU CHÂTEAU DE CHAMBORD

Le château présente un escalier aussi remarquable par son ordonnance que par sa position dans l’édifice. Il est construit en plein centre du donjon, à la croisée de quatre vastes salles. Il se compose de deux rampes jumelles hélicoïdales s’enroulant l’une au-dessus de l’autre autour d’un noyau creux et ajouré. Cet escalier dit « à doubles révolutions » dessert les étages principaux de l’édifice, jusqu’aux terrasses sommitales où il est surmonté par la plus haute tour du château, la tour-lanterne.

Il exerce depuis le XVIe siècle la même fascination sur les visiteurs du château, d’une part pour la prouesse architecturale qu’il représente, d’autre part pour la mise en scène qu’il induit. En effet, deux personnes empruntant chacune l’une des rampes s’aperçoivent par les fenêtres aménagées dans le noyau mais ne se rencontrent jamais. Un jeu dont se régalent toujours les touristes, à l’instar des hôtes du château au cours des siècles.

L’AGENCEMENT DES FAÇADES

À l’image des monuments de l’Antiquité romaine, comme le Colisée, ou des édifices italiens du Quattrocento (le XVe siècle italien), les façades du château de Chambord offrent une grande lisibilité du plan du château depuis l’extérieur. Les niveaux habitables sont visuellement séparés par un bandeau mouluré, ou corps de moulure, courant à l’horizontale sur toute la largeur de la façade. Dans le sens vertical, le rythme est donné par des piliers aplatis, ou pilastres, sur lesquels les bandeaux semblent reposer. La disposition de ces éléments forme un quadrillage à l’italienne, immuable et régulier. C’est dans cette trame que viennent s’enchâsser les différents types d’ouvertures, qui donnent à la façade son aspect modulaire. Ces préoccupations formelles se manifestaient déjà dans quelques autres demeures du Val de Loire (Chenonceau, Blois, Azay-le-Rideau…), mais la géométrie du plan du château de Chambord est unique, car elle n’a pas été contrainte par des accidents de terrain ou des constructions antérieures conservées.

LE DÉCOR SCULPTÉ

Les édifices de la Première Renaissance (1420-1500) sont décorés d’ornementations inspirées des décors des palais de Toscane et du Milanais. Les pilastres, les médaillons, les candélabres et les rinceaux envahissent alors les façades, les lucarnes ou les souches de cheminée… Au château de Chambord, ces éléments sont traités avec une étonnante virtuosité et une grande liberté formelle, bouleversant les traditions italiennes pour les adapter au goût français. La finesse du travail des sculpteurs est remarquable. Les motifs végétaux, aux élégantes volutes peuplées de figures pittoresques, forment des rinceaux qui s’entrelacent dans les chapiteaux de l’escalier central. Les parties hautes du château, au foisonnement et à la verticalité encore gothiques, s’adaptent pour s’enrichir d’un vocabulaire ornemental renaissant, intégré aux traditions locales sans toutefois s’y substituer.

 

La partie centrale du château de Chambord est le donjon.

Ce bâtiment carré cantonné de quatre tours d’angle occupe le centre du complexe actuel. Il constitue à lui seul le nouveau palais de François Ier au commencement des travaux. Ce n’est qu’à partir de 1526 environ (marquant le retour du roi de France de deux ans de captivité à Madrid à la suite de la défaite militaire de Pavie) que l’édifice s’enrichit de deux bâtiments latéraux et d’une enceinte fermant la cour.

La composition interne du donjon est d’une ordonnance inédite en France et constitue un trait d’italianisme indéniable. Il s’agit d’un plan centré en croix grecque : les quatre faces du bâtiment s’ouvrent sur de grandes salles de 9 m de large et 18 m de long formant une croix grecque. Au centre se déploie le monumental escalier à doubles-révolutions. Enfin, la salle en croix détermine dans les angles des cantons d’habitations constitués de logis standardisés.
L’ornementation des parties hautes du donjon et du château, hérissées de cheminées et de tourelles d’escalier, évoquent le style des châteaux forts.

Pourtant, à l’époque de la construction du château de Chambord, ces formes traditionnelles de l’architecture médiévale sont depuis longtemps caduques. En effet, dès le milieu du XVe siècle, les progrès réalisés dans le domaine de l’artillerie avaient rapidement rendu les châteaux forts obsolètes. La persistance d’éléments architecturaux médiévaux du château de Chambord n’est pourtant pas à considérer comme le résultat d’une lente évolution des habitudes des constructeurs. Au contraire, le donjon du château de Chambord, ses tours d’angle, son enceinte et ses douves en eau évoquent une puissance militaire toute allégorique, à défaut d’être réelle. Plus de trente ans après la fin de la construction des derniers châteaux forts, ces éléments constituent de véritables citations architecturales d’un autre temps. Ils évoquent alors, aux yeux des contemporains de François Ier, le monde périclitant de la chevalerie, dont le jeune souverain, dernier roi-chevalier, garde une profonde nostalgie.

Le château présente un escalier aussi remarquable par son ordonnance que par sa position dans l’édifice. Il est construit en plein centre du donjon, à la croisée de quatre vastes salles. Il se compose de deux rampes jumelles hélicoïdales s’enroulant l’une au-dessus de l’autre autour d’un noyau creux et ajouré. Cet escalier dit « à doubles révolutions » dessert les étages principaux de l’édifice, jusqu’aux terrasses sommitales où il est surmonté par la plus haute tour du château, la tour-lanterne.

Il exerce depuis le XVIe siècle la même fascination sur les visiteurs du château, d’une part pour la prouesse architecturale qu’il représente, d’autre part pour la mise en scène qu’il induit. En effet, deux personnes empruntant chacune l’une des rampes s’aperçoivent par les fenêtres aménagées dans le noyau mais ne se rencontrent jamais. Un jeu dont se régalent toujours les touristes, à l’instar des hôtes du château au cours des siècles.

 

À l’image des monuments de l’Antiquité romaine, comme le Colisée, ou des édifices italiens du Quattrocento (le XVe siècle italien), les façades du château de Chambord offrent une grande lisibilité du plan du château depuis l’extérieur. Les niveaux habitables sont visuellement séparés par un bandeau mouluré, ou corps de moulure, courant à l’horizontale sur toute la largeur de la façade. Dans le sens vertical, le rythme est donné par des piliers aplatis, ou pilastres, sur lesquels les bandeaux semblent reposer. La disposition de ces éléments forme un quadrillage à l’italienne, immuable et régulier. C’est dans cette trame que viennent s’enchâsser les différents types d’ouvertures, qui donnent à la façade son aspect modulaire. Ces préoccupations formelles se manifestaient déjà dans quelques autres demeures du Val de Loire (Chenonceau, Blois, Azay-le-Rideau…), mais la géométrie du plan du château de Chambord est unique, car elle n’a pas été contrainte par des accidents de terrain ou des constructions antérieures conservées.

Révélations sur le château de Chambord

 

 

 

Le secret du château de Chambord.

      Nous sommes devant la façade principale d'un vaisseau de conte de fées ; il étale avec force et raffinement la blancheur de sa pierre. On appelle ces grands monuments des « vaisseaux » mais saviez-vous que l'on a répertorié sur les Révélations sur le château de Chambord.murs 27 graffiti de bateau ? La façade du château de Chambord présente 7 arches décoratives qui émergent de l'eau des douves. Cela suggère l'idée d'un pont sur lequel serait bâti le palais. Un peu comme à Chenonceaux mais juste à l'état de suggestion. Embarquons sur ce grand navire pour un voyage inhabituel plein de surprises ! 
      

Le château de Chambord est le plus grand des châteaux de la Loire. Il est l'œuvre du roi François 1er qui en a soutenu la création tout au long de son règne. Posé en pleine nature, il n'a jamais été vraiment utile ; il est un pur symbole de la Monarchie française … ainsi qu'une pièce de puzzle. 

 


Voici le plan du donjon de Chambord. Une observation attentive de sa forme carrée révèle une infrastructure, une grille rationnalisée de 25 cases. Il est judicieux de distribuer l'alphabet sur cette grille, à raison d'une lettre par case. Avec notre alphabet de 26 lettres, une est en trop. On supprime le J : dans les textes anciens les lettres I et J sont représentées par le même caractère.

Le secret du donjon de Chambord.

 

       Cette grille de lettres est en fait une clef majeure qui véhicule bien des informations ! On la retrouve dans les cathédrales de Reims et Beauvais.  



Les lettres NAVIREZ occupent des emplacements symétriques ; ce mot peut se comprendre de deux façons. Il indique une forme conjuguée du vieux verbe « navirer », c'est-à-dire « naviguer » ; cette forme impérative nous dit « Navirez ! », c'est-à-dire « Naviguez ! » Il est possible de comprendre ce « Navirez » comme le pluriel de « Navire ». On peut en inférer que Chambord est dans une relation secrète avec l'idée de « navire ». 
 

 


     


  Interprétation confirmée par les lettres NAVEZ qui occupent comme un sceau le milieu et les coins du carré. Le mot « nave », ici dans une forme plurielle, désignait un « navire, un bateau ».

 

      




 
Le mot NAUF, synonyme de « nef, vaisseau » a été inventé à la même époque où des architectes commençaient à travailler sur le projet Chambord. Ce mot « nauf », lui aussi,  s'écrit en symétrie sur le donjon ! 

Un navire? Comme c'est étrange... 

Comment ne pas penser que certains mots de la langue française ont été ajustés pour coïncider avec un certain chiffrage de l'architecture ? Il n'était pas impossible au Roi de France de faire travailler de concert des architectes, des linguistes et des mathématiciens, pour donner au Code son amplitude maximale. Ainsi, les chiffres et les lettres furent-elles mises à contribution pour déposer des messages codés, à la fois simples et complexes, et à plusieurs niveaux.  

 

 

       Qui fut l'architecte du château de Chambord ? On ne conserve aucun document précis pour le certifier : certains croquis de Léonard de Vinci donnent néanmoins à penser que c'est lui qui dessina les grandes lignes du projet. François Ier avait invité Léonard à venir s'installer en France ; les deux hommes sympathisèrent,  passant de longues heures à philosopher ensemble. En tant que « Premier peintre, architecte et mécanicien du roi », il serait logique que le maître italien ait participé au projet majeur du règne.

 Un dessin de Léonard de Vinci  Machine volante de Léonard de Vinci.  Machine volante de Léonard de Vinci.

       Léonard de Vinci est cet homme étonnant qui, en plus d'être un peintre majeur de l'Histoire, a laissé des milliers de feuillets sur lesquels il a dessiné et commenté ses idées scientifiques et techniques, toutes plus surprenantes les unes que les autres. Un de ses grands centres d'intérêt concernait la création d'une machine volante. Alors que le moteur n'avait pas encore été inventé, lui dessinait déjà une hélice, qui annonçait le principe de l'hélicoptère ! Il semblait savoir que l'Homme s'élancerait un jour dans l'espace… comme s'il avait de bonnes raisons de le croire, par exemple un accès à une science cachée. Le secret des Rois de France serait cette connaissance d'un dépôt que nous aurait légué une haute civilisation antique. Imaginons un Léonard bien différent de son image de génie universel : dans une salle souterraine inconnue, il est penché sur des tablettes de pierres antiques. Il cherche à déchiffrer ces hiéroglyphes inconnus ; il recopie sur son carnet ce qu'il comprend de ces dessins énigmatiques. Il transmet au futur une partie du legs de l'Atlantide !    

 

Le secret de l'escalier de Chambord.

       Le morceau de bravoure du château de Chambord est un escalier de 9 mètres de diamètre situé au centre du donjon. Il comporte deux vis enroulées ensemble, ce qui a fait dire à certains que deux personnes pouvaient l'emprunter sans se croiser. Notons que Léonard de Vinci nous a laissé des croquis d'escaliers fantastiques entremêlant simultanément plusieurs volées. 

Le plafond circulaire qui surmonte cet escalier prodigieux affiche des caissons, en alternance des « F » et des Salamandres. On remarque l'étrangeté des « F » qui sont tous écrits à l'envers, comme en hommage à Léonard qui utilisait une écriture inversée dans ses carnets.  

 Révélation du château de Chambord.  Caissons F et salamandres à Chambord.

     
La molécule d'ADN et l'escalier de Chambord.

Imitons le grand Léonard et soyons audacieux. Le double escalier de Chambord ressemble à la double hélice de la molécule d'ADN ! (Image Wikipedia). L'ADN est présent dans le noyau de toutes nos cellules ; il sert de support à l'information génétique et à l'hérédité. Les deux brins de la molécule d'ADN enroulés en double hélices sont donc un excellent symbole de la connaissance du Vivant.

 

       Deux raccords chiffrés semblent avoir été déposés par les concepteurs de l'escalier. Du rez-de-chaussée à la terrasse, chacun des deux escaliers comporte 146 marches. Les scientifiques nous apprennent que l'ADN possède quatre bases azotées (adénine, guanine, cytosine, thymine) tandis qu'à chaque tour de spirale, il déploie 10,5 paires de bases. Mathématiquement, on trouve que : 146 x 10,5 = 1533. Il existait justement la date de 1533 gravée sur un chapiteau de la tour-lanterne, au-dessus de l'escalier.

 

       Si l'on observe le dessin de la « vis » d'un escalier en colimaçon, on constate que la forme n'est pas loin de l'hélice dessinée par Léonard. Imaginons un mouvement rotatif autour du noyau central : les marches prennent alors appui sur l'air et génèrent une force ascendante ! Les MARCHES ? Il amusant de constater que le mot ARCHE désignait en ancien français un « navire, un vaisseau ». Amusant et intrigant, car peut-être le mot « marche » a-t-il été inventé et ajusté pour « coller » avec une certaine codification ? Hypothèse pas si folle qu'il y paraît ; nous aurons l'occasion de revenir sur cette idée. En résumé, un escalier en colimaçon évoque facilement une hélice d'engin volant. 



À noter d'ailleurs que certains escaliers de Chambord, dont celui de la tour-lanterne, présente sur leur noyau une ornementation suggestive. Une sorte de corde, ou de liane, semble enroulée sur le pilier central, comme pour suggérer un effet de torsion. Comme si l'escalier avait été contraint et qu'il allait un jour se détendre en provoquant une rotation de plus en plus rapide ! Et hop, décollage ! Le mot LIANE est en plus l'anagramme du mot ALIEN, vieux mot de la langue française, qui nommait : « ce qui est étranger, ce qui vient d'un autre lieu. » On parle bien ici d'une technicité du vol connue de Léonard de Vinci, qui en aurait codé des bribes à Chambord. Dans cette éventualité, il est évident que cette science sophistiquée venait d'ailleurs, d'une ALIÈNE, une « terre étrangère », par exemple, l'Atlantide. Ses habitants voyageaient dans le ciel sur une AILE, le symbole naturel du vol. Les mots nous guident.

Le plan du château de Chambord.

 






Le château de Chambord comporte d'ailleurs 2 ailes, de pierre certes, mais tout à fait aptes à faire décoller les interprétations.

 

 

 

 

La fusée de Chambord. Une fusée sur la terrasse du château de Chambord.La tour lanterne de Chambord ressemble à une fusée.

Pragmatiquement, à quoi ça sert, un escalier ? Avant tout à monter aux étages supérieurs. Justement, au-dessus de l'escalier à double révolution, il y a une sorte de fusée ! Quoi, une fusée ? Oui. Une fusée est un objet dont la fonction est de s'élever à la verticale. Effectivement, l'étrange tour-lanterne de Chambord se décompose en deux parties, d'abord le début d'une tour qui se termine en terrasse, sur laquelle est posée la fusée en question.

 

Les grands disques des ailerons sont ornés en alternance de la Salamandre et de l' « F » emblématique de François. La Salamandre est l'emblème alchimique du Feu, ce qui coïncide bien avec le décollage d'une fusée. Quant à la lettre F, elle est l'initiale du mot « Fusée » ! Mais alors? La fusée de Chambord, quatre siècles avant les lanceurs américains, est donc signée de sa lettre initiale ! On est libre d'y voir un simple effet du hasard… mais les plus audacieux (ou les plus fous ?) penseront aux Fées ou aux Elfes, ces créatures d'un autre monde aux pouvoirs fantastiques.

Robert Charroux, " Le livre du mystérieux inconnu". 

       Est-il bien certain que les fusées n'ont pas existé avant le XXe siècle ? Ces dessins datent de l'époque de la construction du château de Chambord. L'aventurier écrivain Robert Charroux nous explique qu' «une fusée spatiale à trois étages, à carburant solide, du type même des fusées lancées du Cap Kennedy, fut techniquement inventée en 1529. Elle s'envola dans l'espace en 1555, de la ville de Sibiu en Roumanie. Des milliers de témoins ... assistèrent à l'expérience qui fut couronnée de succès.» Conrad Haas, dans un manuscrit d'époque, rapporte l'invention des fusées. Il mentionne des détails qui paraissent extraordinairement en avance sur son temps: fusées à deux ou trois étages d'ignition, batterie de fusée, ailettes de guidage en forme de delta, et «maisonnette volante» au sommet de la fusée ! (Source : « Le Livre du Mystérieux Inconnu » de Robert Charroux, p 26, Edt Robert Laffont. L'affaire fut exhumée par M. Doru Todericiu, professeur des Sciences et Techniques à l'Université de Bucarest ; en 1961, il découvrit un vieux manuscrit de la bibliothèque de Sibiu (Roumanie ) contenant le cahier de Conrad Haas.) 
 
L'escalier du château de Chambord.

       Enlevons notre casque d'astronaute pour mieux respirer et revenons vers notre fusée. Elle est donc posée sur une petite tour, une « hauteur » : ce mot pouvait se dire au Moyen Age un PUI. Vous avez dit bizarre ? Le centre de l'escalier à doubles révolutions évoque tout à fait un PUITS qui s'élèverait vers le ciel, vers la fusée de la terrasse. On ne sait pas si c'est Léonard de Vinci qui en a dessiné les formes et l'esthétique, mais ce noyau central a quelque chose de futuriste. La vision de cette structure semble tirée d'un film de science-fiction ! Elle ressemble à un accélérateur de particules ou encore à l'intérieur d'un vaisseau spatial. Il convient de se souvenir de l'épisode biblique de l'Exode : le peuple israélite était guidé dans sa marche, le jour par une colonne de nuée, la nuit par une colonne de feu. De nos jours, ce sont des ovnis en forme de « cigare » que l'on observe parfois dans le ciel. De la colonne au cigare, la comparaison a changé mais on peut penser que les objets décrits sont de la même nature.  
Le secret de l'escalier du château de Chambord.

  Une surprise considérable nous attend : il est conseillé d'attacher sa ceinture de sécurité. Un autre mot se trouve déposé dans la grille, un mot que l'on croyait moderne, un Extraterrestre et Chambord.mot essentiel. Les ovnis que l'on a aperçus à toutes les époques semblent provenir d'une civilisation extérieure à la Terre. Les lettres de EXTRATERRESTRE sont distribuées en symétrie sur la grille du donjon ! Imitons les commentaires des émissions de télévision :  « Ou alors tout ceci n'est-il que pur hasard ? Une simple projection de nos fantasmes ? » Et pourquoi pas : « La vérité ne sera probablement jamais connue. » Mais heureusement, Didier Coilhac est là pour éclairer les murs avec le modeste faisceau de sa lampe-torche. En attendant une époque plus réceptive...



sources:http://didier-coilhac.com/chambord.html

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