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Nicolas Poussin

 

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Ordre, clarté et simplicité… La notion de classicisme dans la peinture française du XVIIe siècle est essentiellement incarnée par un peintre qui, paradoxalement, fit l’essentiel de sa carrière non à Paris mais à Rome, en marge des grands courants de l’époque.

La peinture classique de Nicolas POUSSIN, d’une grande richesse d’inspiration, complexe et parfois qualifiée de savante, n’en demeure pas moins fondamentale dans l’histoire de l’art de son pays natal, fait de lui un des plus grands artistes du siècle et un exemple pour les générations futures.

Inventeur d’un genre nouveau, le paysage idéal où la nature et l’homme – remis à sa place dans un cadre majestueux – sont intimement liés, l’artiste a réalisé certaines compositions figurant parmi les plus beaux paysages classiques de la peinture et invitant à la délectation.

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On ne connaît pas grand chose du Poussin jusqu’à la trentaine. toutefois ce dont nous sommes certains c'est en Juin1594 que naît Nicolas Poussin en Normandie près des Andelys En 1611 il 
découvre  la peinture quand Quentin Varin vient aux Andelys exécuter pour l’église une série de retables.Poussin part pout Paris l'année suivante en 1612,probablement pour compler sa formation,débutée dans l'atelier de Georges Lallemand à Rouen.

Aprés un séjour à Venise,Poussin encouragé par le poète Cavaliere Marino, se rend à Rome en 1624.Dans la cité romaine,il bénéficie du soutien du cardinal Francesco Barberini (1597-1679).

Exépté un séjour à Paris de 1640 à 1642,il demeure à Rome jusqu'à la fin de sa vie.Poussin est considéré comme le fondateur du classicisme français.C'est la période où, ayant accès à la bibliothèque royale, il étudie les reproductions gravées de Raphaël et Jule Romain, la statuaire et les reliefs antiques, et les décors de la seconde Ecole de Fontainebleau, dont il assimile le style.

Il essaie à deux reprises de se rendre à Rome : deux échecs, puis retourne à Paris où il rencontre Philippe de Champaigne et travaille avec lui pour la reine mère au Luxembourg. Il rencontre alors son premier mécène, l’italien Gian Battista Marinole « Cavalier Marin », poète attitré de Marie de Médicis, qui lui commande une suite de dessins illustrant les métamorphoses d’Ovide.

Poussin est considéré comme le fondateur du classicisme français. Empruntant à l'art antique et à l'art de la Renaissance italienne,il peint des tableau historiques dont les sujets sont  religieux et mythologiques, des portraits de paysages qui tous obéissent à un stricte système  d'ordonnancement qui vise la perfection.

5 premières années romaines

1624
Arrivée à Rome, après quelques mois passés à Venise. Après un moment de réelle pauvreté, il obtient plusieurs commandes importantes, dont un retable pour Saint-Pierre, Le Martyre de saint Erasme, oeuvre de grandes dimensions, qui n’est pas très bien accueillie. Peignant parfois des sujets religieux traditionnels, comme Le Massacre des Innocents, il trouve surtout son inspiration dans des sujets poétiques et acquiert par exemple un style original et très classique dans le tableau du LouvreL’Inspiration du Poète, et dans les sujets tragiques comme Tancrède et Herminie

 

1630-1640 : Première période romaine

1630
A la suite d’une grave maladie il épouse Anne-Marie Dughet, fille d’un cuisinier français qui l’a soigné, dont le frère, Gaspard Dughet, allait devenir son élève. Cette date représente une rupture : Poussin abandonne la course aux commandes publiques et leurs grandes compositions pour églises et palais romains, pour s’en tenir à des toiles de dimensions moyennes destinées à un groupe de collectionneurs très attentifs. Sa clientèle change, il semble désormais dépendre d’un cercle de connaisseurs dont le Commendatore Cassiono dal Pozzo qui cherche à rassembler des documents destinés à illustrer la vie dans la Rome antique et fait appel à des artistes pour dessiner tout témoignage de la Rome impériale : sculpture classique, architecture antique. Il travaille désormais à son rythme pour cette clientèle étroite, prenant le temps de préparer longuement chacune de ses compositions.

Les années 1630-1640 correspondent à la première réelle période de Poussin, baignée dans une ambiance d’études archéologiques passionnées et érudites au cours de laquelle il peint Renaud et Armide, ou la première version Les Bergers d’Arcadie (Et In Arcadia Ego) influencé par la poésie du Titien. La maîtrise artistique de Poussin est véritablement révélée dans L’Empire de Flore peint en 1631, à la composition complexe.

1633
Vers 1633-1634, sa renommée gagne Paris, ses peintures sont envoyées par Barberini au cardinal de Richelieu. Choisissant des sujets autorisant de grandes mises en scène historiques, notamment dans l’Ancien Testament, il équilibre davantage ses compositions, de manière plus rigoureuse : L’Adoration des MagesL’Adoration du Veau d’Or ou Le Passage de la Mer Rouge.

Poussin s’efforce de traduire les émotions des différents personnages, par leurs gestes et expressions de visage : le spectateur doit être en mesure de percevoir les sentiments ressentis par chaque acteur, et de déchiffrer son rôle dans l’histoire (L’enlèvement des SabinesLes Israélites Recueillant la Manne dans le Désert).

1637
Poussin se tourne vers l’allégorie classique et peint pour Cassiano dal Pozzo la première suite des sept sacrements, mettant en scène la liturgie des premiers chrétiens et où le style de cette première période romaine trouve son accomplissement.

1640-1642 : Retour à Paris

1640
Retour à Paris en décembre, sous la pression de Sublet de Noyers et indirectement Louis XIII et Richelieu. Il est chargé de deux tableaux d’autel, de deux vastes toiles allégoriques pour Richelieu et de la décoration de la Grande Galerie du Louvre, alors qu’il avait pris l’habitude des petites toiles. Le résultat ne convainc pas forcément tout le monde, mais il réussit à former un véritable cercle d’admirateurs, qui le suivront pour le restant de sa vie et demeureront de véritables commanditaires, parmi lesquels Paul Fréart de Chantelou, secrétaire de Sublet de Noyers, avec lequel il entretiendra une correspondance riche en enseignements sur son existence, ses idées et sa façon de travailler au cours des années qui suivirent.

Victime d’intrigues de peintres parisiens, dont Simon Vouet, il décide de regagner Rome en septembre 1642.

Retour à Rome : Période classique

1642
Poussin repart pour Rome prétextant le fait d’aller chercher sa femme. Il ne quittera plus la Ville éternelle.

La période qui suit est la plus féconde de sa carrière, d’où ressortiront les plus parfaites expressions du classicisme français.

Il préfère désormais, dans les thèmes religieux, le Nouveau Testament et les sujets fondamentaux des Evangiles – la Sainte Famille, la crucifixion, la mise au tombeau – et exploite les variations autour de la victoire de la volonté sur les passions des historiens romains stoïciens.

Il recherche la concentration des effets plus que leur richesse, en limitant son vocabulaire au maximum. Cette évolution est flagrante dans sa seconde version des Bergers d’Arcadie, calculée, contemplative et philosophique alors que la première version était bien plus spontanée, vivante et poétique.

Idem pour la seconde série des Sept Sacrements, exécutée pour Chantelou entre 1644 et 1648, beaucoup plus solennelle que la première (l’Eucharistie en est un bon exemple, une des oeuvres les plus sévères de Poussin).

On retrouve l’influence de Descartes dans la construction mathématique de l’espace du tableau avec par exemple La Sainte Famille à l’Escalier datant de 1648 où tout l’espace s’organise en termes géométriques.

Vers 1645 le peintre commence à s’intéresser au paysage en conservant l’ordre mathématique de La Sainte Famille à l’Escalier appliqué à la nature, le tout savamment organisé grâce à des bâtiments qui viennent organiser géographiquement l’espace.

Avec Moïse sauvé des Eaux, peint en 1651, Poussin réussit à traduire l’émoi des femmes découvrant l’enfant par le contraste des draperies. On y retrouve l’application de sa théorie des modes : la peinture traite des actions humaines et doit les présenter en accord avec la raison, d’une manière logique et ordonnée, s’adressant à l’esprit, non à l’oeil, chaque sujet réclame un traitement particulier.

Le paysage va donner un nouvel élan à sa création. Il créé un genre nouveau, le « paysage idéal », recomposé en atelier, où l’on retrouve l’idée d’une liaison intime de la nature et de l’homme, remis à sa place au milieu d’un cadre majestueux, dérivée de son néo-stoïcisme.
A la fin des années 1640, le paysage devient le lieu indifférent du destin éphémère de l’homme (Les Funérailles de Phocion), rigoureusement construit sur un mode intellectuel, s’opposant aux infortunes des destinées humaines.

Dernières années de sa vie

Le paysage reste son moyen d’expression privilégié, mais son style va à nouveau changer. Devenu une sorte d’ermite qui travaille plus pour satisfaire son besoin de peindre que pour plaire aux autres, ses dernières oeuvres reflètent une recherche intérieure.

Sérénité et simplicité se retrouvent dans ses scènes figurées, éliminant presque tout détail pittoresque. Le calme s’accentue à l’extrême, l’expression des visages est réduite au minimum. La composition est très dépouillée, construite uniquement à partir d’horizontales et de verticales. Les personnages sont réduits à des formes géométriques simples.

Il revient également au récit mythologique mais dans un esprit différent : il souhaite exprimer une vérité, évoquant les grandes forces éternelles. Le Paysage avec Diane et Orion est une allégorie sur l’origine des nuages. Dans ces tableaux la nature revêt un caractère nouveau : elle n’est plus ordonnée et soumise aux lois de la raison mais sauvage, envahissant le tableau où l’homme occupe une place de plus en plus négligeable.

Les Quatre Saisons (peintes entre 1660 et 1664 pour le duc de Richelieu) constituent la synthèse de son style tardif : dans un cadre mettant en avant la beauté de la nature, le thème de la succession des saisons se mêle à celle des heures, des périodes de la vie humaine, le récit biblique se combine à la mythologie classique dans une synthèse du christianisme et du paganisme.

Apollon Amoureux de Daphné, peint en 1664 et inachevé à sa mort, résume les traits étranges de sa dernière phase : sauvagerie et grandeur de la nature inanimée, calme impassible des acteurs humains, qui sortent tout droit de l’intellect de l’artiste. Les infortunes du dieu sont une nouvelle fois opposées à la grandeur éternelle de la nature, qui fournit seule la structure formelle du tableau.

1665 (novembre)
Décès à Rome. Il laisse un peu plus de 200 peintures (connues à ce jour) dont le quart est conservé en France, essentiellement au Louvre, et quelques 450 dessins, principalement au Louvre et à Windsor Castle.

ses oeuvres

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« Les couleurs dans la peinture sont semblables à des leurres qui persuadent les yeux, comme la beauté des vers dans la poésie. »

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la  mort de Germanicus

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 Le sujet est tiré des annales de Tacite, Livres II, LXXI, LXXII:

La Mort de Germanicus, fut commandée à Nicolas Poussin fin 1626 par le cardinal Francesco Barberini, et livrée en 1658. Vendue par la famille du commanditaire en 1958 au Minneapolis Institute of Art, l’œuvre était jadis exposée dans la galerie du palais Barberini. C’est là, lors de son second séjour romain, que Gustave Moreau, entre le mois d’avril et le début du mois de juillet 1859, en réalisa une copie à la grandeur de l’original.

Le sujet est tiré des Annales de Tacite (Livre II, LXXI-LXXII) – livre que Moreau avait en sa possession – Suétone l’évoque également dans sa Vie des douze Césars (Vie de Caligula, chap. I et II). Poussin choisit de peindre l’épisode où, le général Julius Caesar (Rome 15 av. J.-C. - Antioche 19 apr. J.-C.), surnommé Germanicus en raison de ses victoires en Germanie, étendu sur son lit, agonisant, exhorte ses proches à le venger. Envoyé par Tibère (dont il est le fils adoptif) en Syrie, Germanicus avait dû faire face à l’hostilité du gouverneur Pison et de son épouse Plancine qui, avec l’aval de l’empereur jaloux de sa gloire, le fit empoisonner. A gauche son épouse éplorée, Agrippine, est entourée par ses enfants et leur nourrice. A droite, amis et soldats sont représentés dans des attitudes variées traduisant douleur et révolte.

Moreau fut toujours un grand admirateur de l’œuvre de Nicolas Poussin dont il copia dans sa jeunesse pour son ami Armand Dumesnil L’Automne (dit aussi La Grappe de raisin rapportée de la Terre promise, Paris, musée du Louvre, Inv. 7305). De lui il a pu dire : « […] c’est le peintre de la raison et du bon sens par excellence. Eh bien ! malgré tout, la puissance imaginative l’emporte toujours chez lui, et, si l’on veut bien étudier son œuvre, on verra que, malgré son désir d’être vrai, exact, logique, raisonnable, etc, etc, il ne peut jamais résister à ses entraînements féconds et souverains qui le poussent vers cette logique sublime de l’imagination pure, si distante de la logique du bon sens et de la raison. »

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1627

huile sur toile

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lieu actuel d'exposition

 Minneapolis Institute of Art 

Minéapolis

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Martyre de Saint Erasme,

1628-1629
Huile sur toile,

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Copie réalisée en 1859

à la Galerie Barberini à Rome

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cm 320 x 186

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 Saint Érasme de Formia, martyrisé sous Dioclétien en 303, aussi connu sous le nom de saint Elme, est le saint patron des marins. Le feu de Saint-Elme est nommé en son honneur.

Les Actes de saint Elme ont été en partie compilés à partir de légendes qui le confondent avec un évêque syrien, Érasme d’Antioche. Quand la ville de Formies fut rasée par les Sarrasins en 824, la dépouille d’Érasme fut transféré à Gaète.
    Le martyre de saint Érasme : après lui avoir enfoncé une alène sous chaque ongle des doigts, les bourreaux l’auraient brûlé au fer rouge et arrosé d’’huile bouillante.

La légende des intestins dévidés aurait été forgée au XIVe siècle à Gaète où se trouvait son tombeau.

Les vêtements épiscopaux d’Érasme sont déposés au bas du tableau.

Un prêtre païen vêtu de blanc se penche sur lui et lui montre l’idole qu’il aurait dû révérer, probablement un Hercule, à cause de sa massue.

Tandis que l’un des bourreaux dévide l’intestin d’Érasme, un autre derrière lui tourne la manivelle qui permet de l’enrouler.

En haut à gauche, un cavalier romain désigne le martyr à ce second bourreau, probablement en lui donnant l’ordre de tourner la manivelle.

Au-dessus d’eux, deux anges portent la couronne et la palme du martyre.
    Contrairement au saint Érasme de Thierry Bouts, celui de Poussin est disposé de telle manière qu’il ne voit pas ses intestins se dévider : son propre corps y fait écran. Son visage exprime la douleur, alors que celui de Bouts est impassible. Mais c’est une douleur modérée, décente, agréable à regarder.
    Tout le tableau s’ordonne à partir de l’opposition d’Érasme en bas à gauche et d’Hercule en haut à droite : les deux visages se ressemblent a point qu’on peut se demander s’ils n’ont pas été réalisés à partir du même modèle. Poussin ne suggère-t-il pas là une équivalence peu chrétienne ?
    On peut difficilement faire une lecture chrétienne du tableau, du bas corporel vers le haut spirituel :

Hercule est au même niveau que les anges du martyre...

En revanche, la coupure sémiotique des spectateurs-acteurs du martyre, qui sépare le tableau entre l’espace du corps, en bas, et la représentation religieuse abstraite, en haut, est évidente : le tableau fonctionne comme signe. En haut la statue d’Hercule comme la couronne brandie par les anges signifient la Foi : le haut est le lieu du signifiant, le lieu où il est proclamé. En bas, est représenté ce que signifient les proclamations d’en haut, ce qui les légitime : le corps, souffrant avec grâce, du martyr.

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Pinacotèque Apostolica Vaticana

http://www.museivaticani.va




Autoportrait (version du Louvre) - Poussin

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Autoportrait

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1650 

 Peinture sur toile 
:  Hauteur 98 * Largeur 74 cm

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Mentions à l’intérieur de l’image (hors signature et date).
1. L’inscription sur le tableau vide derrière le peintre porte : « EFFIGIES NICOLAI POVSSINI ANDEL: | YENSIS PICTORIS.

ANNO ÆTATIS . 56 | ROMÆ ANNO IVBILEI | 1650. »
2. Peint pour Fréart de Chantelou entre septembre 1649 et mai 1650.
3. Gravé par Jean Pesne.

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   A gauche, la muse de la peinture porte un diadème muni d’un troisième œil.

Deux mains embrassent la muse, signifiant selon Bellori l’amour du peintre pour la peinture, et l’amitié qui le lie à Chantelou, à qui Poussin destine ce tableau.
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Musée du Louvre

http://www.louvre.fr/

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La Peste d'Asdod

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1640

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Huile sur toile

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La toile met en scène,à gauche, le temple de Dagon à Asdod,avec la statue du dieu brisée,l'arche d'alliance et le coffre  de bois revêtu de lames d'or qui contient les Tables de la Loi du peuple d'Israël.Poussin peint avec emphase la frayeur mortelle et l'épouvante des gens d'Asdod,affligés dr tumeurs sur ordre de Yahvè,qui condamne leur croyance paiënne.

Selon toute vraissemblance,,l'artiste ne choisit pas le thème biblique du premier livre de Samuel au hasard,car en 1630,Milan est victime d'une grave épidémie de peste.


 

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Midas et Bacchus

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vers 1630

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Huile sur toile

98x153cm

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Alte Pinakothek Munich

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Dans les Métamorphoses,Ovide raconte comment Midas,roi de Phrygie,reconduit Silène auprés de Bacchus aprés son enlèvement.Midas demande à Bacchus de lui accorder en récompense le pouvoir de transformer en or,il conjure le dieu de lui retirer son don et est finalement sauvé au cours d'un bain dans le fleuve Pactole.La critique n'a jamais pu situer le moment précis de l'évènement représenté par Poussin.

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L'enlèvement des Sabines

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vers 1635

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huile sur toile

159x206cm

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Romulus qui apparaît ici sur une tribune à gauche, a été informé que ses compagnons manquaient de femmes.Il leur ordonne d'enlever alors les Sabines qu'il a invitées à une fête.

La célèbre légende de la Rome antique a inspiré Titelive,Virgile,et Plutarque.Poussin a peint cette scène très dramatique pour le cardinal Alugi Omodei.Deux années auparavant,l'artiste avait peint une première version du même thème qui se trouve aujourd'hui à New-York.

Dans la version du Louvre,l'ensemble de la composition est nettement plus dense et crée une tension extrèmement forte dans sa dimension dramatique.L'architecture participe également à la dynamique.

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Musée du Louvre

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Polyphène

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1649

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Huile sur toile

150x198 cm

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Musée de l'Ermitage 

Saint-Petersbourg

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Dans la sérènité d'un paysage,Poussin peint la légende du cyclopePolyphène,éperdument amoureux de la nymphe Galatée,qui lui préfère le berger Acis.Fou de jalousie et de colère le géant tue Acis,Poussin peint le moment qui précède le meurtre.Le géant se tient derrière l'Etna,qui se dresse au centre de la toile,les autres protagonistes n'ont pas conscience de sa présence.

Au premier plan,à gauche,Acis adossé à un rocher observe Galatée et ses suivantes épièès par le cyclope.

La toile dont la composition est clairement organisée,est une oeuvre de commande pour Jean Pointel.En raison du style, la critique situe aussi l'oeuvre dans les années 1660.


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Vedanges du peuple d'Israël dans le desert

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1637-1639

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huile sur toile

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La toile est commandée à Poussin par son ami et mécène Paul Fréant de Chantelou (1609-1694)

.Moïse se tient droit,la main levée,au milieu des juifs affamés et gémissants.

Il demande à Dieu de faire pleuvoir des cailles et la manne pour adoucir la misère de son peuple.

Le peintre saisit l'occasion que lui offre cette scène,où les figures sont nombreuses,de peindre les émotions qui les habitent.

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Musée du Louvre

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Moise sauvé des eaux

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huile sur toile

93,5x121 

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L'équilibre de la composition et l'harmonie des couleurs font de cette toile un chef-d'oeuvre parmi les nombreuses variations autour de ce thème.

Elle reproduit le Pharaon, trouve Moïse exposé sur les rives du Nil.

D'aprés Félibien, la toile date de 1638.En 1685, elle faisait partie de la collection d''André le Nôtre.,dessinateur des jardins royaux,avant que Louis XIV n'entre en possession de l'oeuvre en 1693

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Musée du Louvre

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