Oscar Wilde Une vie,une OEUVRE

   

  1854

                  

                «Je suis celte et non pas anglais»

 

Naissance le 16 octobre au 21 Westland Row à Dublin, d’Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde. Son père, William Ralph Wills Wilde était médecin et avait deux frères tous deux prêtres de l'Eglise d'Irlande (anglicane). Grand spécialiste des maladies des yeux et des oreilles il fut fait "sir" (chevalier) par la reine Victoria en 1864, ce qui fit de son épouse "Lady Wilde". William épousa en 1851 Jane Francesca Agnes Elegee. Irlandaise comme son époux, Jane faisait partie d'une famille de pasteurs et de médecins mais descendait aussi, par sa mère, du révérend Charles Maturin auteur en 1820 de Melmoth, l'homme errant. Lady Wilde était une poétesse pleine de nationalisme, et, pour son oeuvre poétique prit le pseudonyme de Speranza, pseudonyme aux fières allures de pasionaria, Wilde avait donc des parents issus de la vielle bourgeoisie irlandaise et protestante.

Avec ses deux parents farouchement irlandais, Oscar hérite de son troisième prénom qui établit une parenté légendaire avec les anciens rois de Connaught, sur les rives du lac Connemara, de cette île. Fingal est le héros du poème épique qui semble avoir été composé par "Ossian fils de Fingal" et publié par son auteur réel James McPherson en 1779. Wilde modifia au cour de ses études son prénom, suppriment d’abord celui de «Fingal», dont il ne voulait pas que ses amis étudiant eussent connaissance, avant d’ôter celui de «O’Flahertie» pour lui trop lourd de sens mythologique. Oscar, à sa naissance, a un frère aîné, William, âgé de deux ans. Il aura bientôt une soeur, Isola, qui mourra en 1867.

 

                   1855 à 1870                     

 

        «Je fus un enfant si typique de mon époque»

 

Oscar est baptisé à l'église Saint-Marc de Dublin, la famille va déménager pour gagner le 1 Merrion Square et récupérer pour les enfants une bonne française et une gouvernante allemande, ce qui leur permit de n'aller à l'école qu'au bord de l'adolescence. En 1864, bien que d'âge diffèrent, les deux frères vont être envoyés à Portora Royal School, située à Ennisskillen, une école prestigieuse. dans un cadre idyllique. La dernière année révèle Oscar comme un élève "brillant" mais aussi un peu bagarreur avec ses camarades. Les classiques sont sa matière forte, et il réussit surtout dans les traductions de textes grecs et latins. Il aime se plonger dans les poêmes de Keats et s’amuser avec ses compagnons. Preuve de sa réussite, en 1866, Wilde gagne le "Junior Scholl Prize", 1869, le troisième prix d'écriture sainte, et l'année suivante le Carpenter Prize en grec néo-testamentaire. Oscar va obtenir une bourse pour continuer ses études mais maintenant à Dublin, à Trinity College, qui est, pour l'Irlande sous tutelle britannique, ce que Oxford et Cambridge sont pour l'Angleterre.

 

                     1871 à 1874                                   

 

              «J’ai acquis mon amour de l’idéal grec et ma connaissance intime de la langue à Trinity College grâce à Mahaffy et à Tyrrell»

 

A Trinity College Oscar a pour "tutor" un professeur d'histoire ancienne qui est en même temps prêtre anglican, John Mahaffy. Ce dernier renforce par son enseignement le goût d'Oscar pour les classiques, et c'est lui, devait dire Wilde plus tard, qui lui apprit à "aimer ce qui est grec". Il lit Byron, Shelley, Keats et Swinburne. Oscar obtint, en 1874 la médaille d'or décernée chaque année au meilleur helléniste ! À Trinity College, Wilde noua avec la littérature et l'art de son temps des relations suffisamment étroites pour être rapidement catalogué, par ceux qui n'appréciaient guère autant les peintres préraphaélites que les poèmes de Swinburne et les écrits de John Adams, comme un "esthète". C'est à Trinity College aussi qu'il commença dans la droite ligne de ses goûts artistiques à montrer son apparence extérieure son esthétisme, on peut commencer alors à parler de Wilde comme un dandy. En 1874 notre «esthète» a obtenu une bourse pour continuer ses études à Oxford. Après l’examen, Oscar passe un peu de temps à Londres avec sa famille, et se rend à Genève et à Paris où il commence à rédiger La Sphynge. Malheureusement à leur retour ils découvrent que Sir William Wilde est très gravement malade.

 

         1854

             

                «Je suis celte et non pas anglais»

 

Naissance le 16 octobre au 21 Westland Row à Dublin, d’Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde. Son père, William Ralph Wills Wilde était médecin et avait deux frères tous deux prêtres de l'Eglise d'Irlande (anglicane). Grand spécialiste des maladies des yeux et des oreilles il fut fait "sir" (chevalier) par la reine Victoria en 1864, ce qui fit de son épouse "Lady Wilde". William épousa en 1851 Jane Francesca Agnes Elegee. Irlandaise comme son époux, Jane faisait partie d'une famille de pasteurs et de médecins mais descendait aussi, par sa mère, du révérend Charles Maturin auteur en 1820 de Melmoth, l'homme errant. Lady Wilde était une poétesse pleine de nationalisme, et, pour son oeuvre poétique prit le pseudonyme de Speranza, pseudonyme aux fières allures de pasionaria, Wilde avait donc des parents issus de la vielle bourgeoisie irlandaise et protestante.

Avec ses deux parents farouchement irlandais, Oscar hérite de son troisième prénom qui établit une parenté légendaire avec les anciens rois de Connaught, sur les rives du lac Connemara, de cette île. Fingal est le héros du poème épique qui semble avoir été composé par "Ossian fils de Fingal" et publié par son auteur réel James McPherson en 1779. Wilde modifia au cour de ses études son prénom, suppriment d’abord celui de «Fingal», dont il ne voulait pas que ses amis étudiant eussent connaissance, avant d’ôter celui de «O’Flahertie» pour lui trop lourd de sens mythologique. Oscar, à sa naissance, a un frère aîné, William, âgé de deux ans. Il aura bientôt une soeur, Isola, qui mourra en 1867.

 

                    1855 à 1870                     

        «Je fus un enfant si typique de mon époque»

 

Oscar est baptisé à l'église Saint-Marc de Dublin, la famille va déménager pour gagner le 1 Merrion Square et récupérer pour les enfants une bonne française et une gouvernante allemande, ce qui leur permit de n'aller à l'école qu'au bord de l'adolescence. En 1864, bien que d'âge diffèrent, les deux frères vont être envoyés à Portora Royal School, située à Ennisskillen, une école prestigieuse. dans un cadre idyllique. La dernière année révèle Oscar comme un élève "brillant" mais aussi un peu bagarreur avec ses camarades. Les classiques sont sa matière forte, et il réussit surtout dans les traductions de textes grecs et latins. Il aime se plonger dans les poêmes de Keats et s’amuser avec ses compagnons. Preuve de sa réussite, en 1866, Wilde gagne le "Junior Scholl Prize", 1869, le troisième prix d'écriture sainte, et l'année suivante le Carpenter Prize en grec néo-testamentaire. Oscar va obtenir une bourse pour continuer ses études mais maintenant à Dublin, à Trinity College, qui est, pour l'Irlande sous tutelle britannique, ce que Oxford et Cambridge sont pour l'Angleterre.

 

                     1871 à 1874    

                               «Menteur ! Mon neveu Algernon ? Impossible ! C’est un Oxonien.»

 

          Au lendemain de son vingtième anniversaire, Oscar Wilde fit son entrée à Oxford. Il décrit son séjour à Oxford comme un moment décisif dans sa vie. Il va ainsi commencer à s’engager plus profondément dans les études classiques : histoire ancienne, philosophie et littérature. Son goût de lire et vite lui permet d’élargir ses lectures. Il va ainsi ajouter Dante et Baudelaire à Keats et Swinburne, et approfondissant sa connaissance des grands philosophes, sans d’ailleurs négliger les théologiens. Mais encore plus important pour sa formation, il va assister aux cours de John Ruskin et Walter Pater, qui enseignent tous deux l’histoire de l’art, de l’orientaliste Friedrich Max-Muller, premier professeur de philologie comparée. Les deux premiers seront pour lui des maîtres. Wilde ne rencontra Pater en personne que pendant sa troisième année mais dès le premier semestre, il se prit de passion pour ses Essais sur l’art de la Renaissance publiés l’année précédente. Avec Ruskin, il ira avec d’autres admirateurs jusqu’à faire du terrassement pour développer son corps en même temps que son esprit. Son goût pour les préraphélites se fait plus explicite, et le lys devient son emblème. Mais Wilde ne consacra pas tout son temps à l’étude de Pater et Ruskin, il se concentra aussi sur  le philosophe allemand Hegel avec la Phénoménologie de l’Esprit et son Esthétique, ce qui lui permit de concilier les théories de ses deux maîtres d’Oxford en matière d’art. Le père de Wilde était un membre éminent de la maçonnerie dublinoise, le 16 février 1875, il est associé à la loge Apollon de l’université. Pendant l’été de la même année, sous la conduite de son ancien professeur d’histoire ancienne de Trinity College, John Mahaffy, Wilde va visiter l’Italie du Nord, et compose en son honneur ses deux premiers poèmes, l’un est intitulé San Miniato il y exalte Fra Angelico parmi les rossignols, les lauriers-roses et les myrtes fiers. En Italie, le choc esthétique est immense, et manque de le conduire à se convertir au catholicisme. Durant ce même été il rencontre, à Moytura, Florence Balcombe, qui marqua la première et sérieuse aventure amoureuse avec une femme, bien quelle ne déboucha sur aucun rapport intime. Wilde confiait à son ami Reginald Harding que le visage de la belle Laurence était le plus beau qu’il n’ait jamais vu. Il lui consacra deux odes, Chanson et La plainte de la fille du roi dans lesquels il associait l’image l’image de la jeune fille aimée à celle de la Vierge, prouvant en cela l’aspect purement platonique de leu relation. F. Balcombe ne tarda pas à rompre et se maria avec Bram Stoker, l’auteur de Dracula. C’est à cette époque que ses amis commencèrent à ironiser chez lui des comportements «efféminés». La lecture et la fréquentation de Walter Pater, tout autant que l’ambiance oxonienne, le conduisent en tout cas à évoquer de moins en moins discrètement le thème de l’homosexualité, au moins chez les Grecs.

 

1877 à 1878         

 

«J’atteignis les Alpes, et toute mon âme, Italie, mon Italie, en fut, à ton nom embrasée.»

Oscar Wilde dans : Poems

 

 

Après avoir appris la mort de son père au printemps 1876, Oscar va passer sa première série d’examens qu’il réussi avec brio, obtenant la mention «First», c’est à dire la plus haute. Le 23 septembre, le Boston Pilot publie son poême «Graffiti d’Italia». À partir de l’automne, il prépare son diplôme final en histoire ancienne et philosophie tout en continuant de composer des sonnets. Mais surtout, printemps 1877 il va entreprendre un double voyage, toujours avec Mahaffy, en Grèce via Corfou, puis au retour avec ses amis récemment convertis, à Rome. La Grèce va subjuger Wilde et il en est de même pour Rome où il faut souligner qu’il fut reçu avec ses amis en audience privée par le Pape Pie IX, fasciné Wilde composa immédiatement un sonnet où il glorifiait l’autorité divine du pontife : Urbis Sacra Aeterna. Lors de son pèlerinage à Rome il alla aussi s’incliner sur la tombe de Keats et celle de Shelley, il leurs consacra deux poèmes, l’un : La tombe de Keats et l’autre La tombe de Shelley. De retour à Londres Wilde en profite pour faire ses débuts à l’occasion du vernissage d’un nouveau musée : il met en avant son attitude de dandy en portant un costume admirable et publie, dans un périodique dublinois, son premier article, par lequel il se présente comme critique d’art. C’est à ce moment qu’il rentre en contact personnel avec Walter Pater. Son aventure à Oxford se clôt, en 1878, sur trois événements : il remporte un concours de poésie de l’université d’Oxford pour un poème intitulé «Ravenna»; il réussit brillamment son examen final et devient «Bachelor of Arts» en novembre 1878; et enfin, malheureusement, Wilde va contracter la syphilis, avec une prostituée londonienne, syphilis dont furent atteints bien d’autres «poètes maudits» comme Charles Baudelaire.

 

Faute que Magdalen College lui offre un poste d’enseignant, et faute d’avoir obtenu d’être nommé inspecteur scolaire, Oscar vend une partie de son héritage et s’installe à Londres, sur le Strand, au 13 Salisbury Street, où il partage un appartement avec un ami peintre, Frank Miles, un charmant compagnon. Il offre à son ami George Macmillan de préparer pour sa maison d’édition une anthologie de traductions d’Hérodote et une édition d’Euripide. Il commence à fréquenter la société élégante et «intellectuelle», et notamment le milieu théâtral. Il renoue avec une des beautés de la période, Lillie Langtry, qu’il avait rencontrée en 1876. Il se lie avec elle d’une amitié durable et l’engage à devenir comédienne. Il se lie également avec Sarah Bernhardt, venue jouer Phèdre à Londres en 1879 et écrit pour elle un sonnet. Séduit par ces deux femmes ainsi que par Ellen Terry, ancienne amie de Lewis Carrol, devenue une comédienne très célèbre, il décide de devenir auteur dramatique et compose sa première tragédie, Véra ou les nihilistes. Il est suffisamment convaincant pour obtenir qu’elle soit montée : la première est prévue pour décembre 1881. En août 1880, Wilde et Miles décident de déménager au 1 Tite Street, quartier à la mode de Chelsea. Ils confient la décoration de leur appartement à l’architecte qui avait réalisé celle de la maison, toute proche, du peintre américain Whistler

 

                                            1879-1881                                                               

 

«La jeunesse est la vraie souveraine de la vie; un royaume l’attend»

                     

 

                                       

 

Oscar devient un familier des expositions et, faute d’avoir quelque forme d’emploi permanent que ce soit, se décrit comme «professeur d’esthétique et critique d’art». Son amitié pour Lillie Langtry lui vaut une visite du Prince de Galles, dont elle est une des maîtresses. En 1881, on peut dire que sa célébrité est grande. Ses tenues vestimentaires et son goût pour les fleurs, pour l’instant ce sont surtout des lys et des tournesols, lui gagnent une réputation d’«esthète» et les sarcasmes de Punch, autant qu’en avril 1881 Gilbert et Sullivan ne lui fassent une sorte de triomphe dans leur opérette Patience, attaque en règle, mais que Wilde prit assez bien, contre «le mouvement esthète». Cette même année 1881 voit la publication, à compte d’auteur, d’un volume de poèmes qui paraissent simultanément aux Etats-Unis. Malgré un tirage vite épuisé et deux réimpressions en 1882 l'accueil de la  critique est partagé et, à Oxford, l’association des étudiants, après avoir commandé le volume, décide de le refuser pour plagiat et immoralité. Quant au père de son ami Frank Miles, les poèmes le choquent au point qu’il oblige son fils à rompre avec Wilde. En mai, il fait la connaissance de Constance Lloyd qu’il épousera en 1884, ils se voient régulièrement.

Les Oeuvres d'Oscar Wilde

 

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"Tout comme la poésie la  peinture,la sculpture ou la peinture,la vie a ses chefs-d'oeuvres précieux"

 

 

 

Composée en français, alors qu'Oscar Wilde subissait l'infuence d'un groupe d'écrivains d'élite, Salomé ne parut qu'en 1893, avec la double marque de Paris et de Londres. On a dit que Marcel Schwob, Stuart Merrill et Pierre Louÿs apportèrent leur part de collaboration à cette pièce singulière. Quoi qu'il en soit, Salomé était destinée par l'auteur à être créée par Sarah Bernhardt. L'oeuvre fut mise en répétition, mais diverses circonstances qu'il serait trop long de rapporter ici en éloignèrent la représentation. Par la suite, le néfaste procès intenté à l'auteur par la justice criminelle de Londres, et qui valut à ce dernier de longs mois de captivité, rompit les projets qui étaient à peine en voie de réalisation. Ce ne fut que deux années plus tard - alors que Wilde, plongé dans la geôle de Reading, n'attendait guère plus de secours spirituel - que ses amis engagèrent l'acteur Lugné Poe à représenter Salomé. Elle parut le 12 février 1896, sur la scène de «L'Oeuvre», mais le public ne parut s'intéresser que médiocrement à ce drame biblique, si l'on s'en tient au jugement que lui consacra la critique. Aussi bien ne fut-ce qu'une interprétation de fortune qu'on offrit d'un ouvrage digne d'un sort meilleur. Wilde, néanmoins, en fut infiniment touché. Il le fit naïvement entendre dans une lettre qu'il adressa, le 10 mars 1896, à son ami Robert R.

 

 

 

HÉLAS 

Être entraîné à la dérive de toute passion jus- 
qu'à ce que mon Ame devienne un luth aux cordes 
tendues dont peuvent jouer tous les vents, c'est pour 
cela que j'ai renoncé à mon antique sagesse, à l'austère

mattrise de moi-même. 

A ce qu'il me semble, ma vie est un parchemin 
sur lequel on aurait écrit deux fois, où en quelque 
jour de vacances, une main enfantine aurait grif- 
fonné de vaines chansons pour la flûte ou le vire- 
lai, sans autre effet que de profaner tout le mystère. 
Sitrement il fut un temps où j'aurais pu fouler 
les hauteurs ensoleillées, où parmi les dissonances 
de la vie, j'aurais pu faire vibrer une corde assez 
sonore pour monter jusqu'à l'oreille de Dieul 
Ce temps«là est-il mort? Hélas I faut-il que pour 
avoir seulement effleuré d'une baguette légère le 
miel de la romance, je perde tout le patrimoine dû 
à une âme. 
 

 

LE JARDIN D'EROS 

Nous voici en plein printemps, au cœur de juin; 
pas encore les travailleurs halés ne se hâtant sur les 
prairies des hauteurs, où l'opulent automne, saison 
usurière, ne vient que trop tôt offrir aux arbres l'or 
qu'il a mis de côté, trésor qu'il verra disperser par 
la folle prodigalité de la brise. 

Il est bien tôt, vraiment! l'asphodèle, enfant 
chérie du rrinlemps, s'attarde pour piquer la ja- 
lousie de là rose la campanule, elle aussi, tient 
déployé son pavillon d'azur. Et, paroi! a in fêtard* 
égaré, perdu, que ses frères ont laissé là, pour 
s'enfuir des bosquets, d'où les à chassés la grive, 
messagère de juin, 

seul, un pâle narcisse reste là, tout apeuré, tapi 
dans un coin d'ombre, où des violettes,

presque inquiètes de leur propre beauté, se refusent à regarder 
 

Mon coup de coeur

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L’enfant étoile est un conte où les pauvres deviennent riches.

C’est l’histoire d’un enfant qui tombe d’une étoile. Un bûcheron arrive et rencontre l’enfant endormi dans la neige. Le bûcheron le prend et l’emmène chez lui. Hélas, sa femme ne veut pas garder l’enfant car ils sont trop pauvres pour l’élever.

Oscar Wilde a fait une formidable histoire sur l’enfant étoile. Les illustrations d’Eric frédouët sont belles et avec les dessins on comprend mieux l’histoire.

Le début de l’enfant étoile est un peu ennuyeux car il n’y avait pas d’action. A partir du milieu de l’histoire, il y a plus d’actions et d’aventures. La fin est passionnante.

Laurine et Julie, école de Puygros.

 

 

 

L’ Enfant étoile est une histoire formidable ! Écrite par Oscar Wilde, elle raconte une histoire d’un enfant déposé par une étoile dans la foret. Un bûcheron le trouve et le ramène chez lui.

Un jour alors que l’enfant étoile est en train de jouer avec ses copains une vieille femme vient vers lui et comme il est un peu méchant,il lui jette des cailloux. La vieille femme n’arrête pas de dire qu’elle est sa mère parce que le bûcheron lui a raconté qu’il l’avait trouvé dans la forêt dans une couverture d’or. Alors elle disait: « tu es mon fils, on t’a kidnappé et on t’a jeté dans la forêt,toute ma vie je t’ai cherché ! Mais l’enfant étoile ne la croit pas.

Mais un jour il se dit qu’elle avait peut-être raison. Par la suite il lui arrive plein de choses étranges.

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