Créer un site internet

Nos petites annonces

 

un logo avec de vraies photos d auteurs de comediens de theatre de danseurs de clowns de musiciens de chanteurs de magicien et de conteurs de peintres sculpteurs compagnies d arts du spectacles et des artistes d arts visuels en incluant le titre Boudoir culturel fond clair

 

Bienvenue dans la rubrique "Petites Annonces" du Boudoir culturel ! 

Vous cherchez à vendre, acheter ou échanger du matériel artistique ? Vous avez un événement à annoncer, un atelier à proposer ou des services à offrir ? Cet espace est dédié à toutes vos petites annonces.

Que vous soyez artiste visuel, auteur, comédien, danseur, musicien, magicien, conteur, ou tout autre créateur, nous croyons en la puissance de la communauté et de l'entraide.

 

Instructions pour soumettre une annonce :

 

Envoyez votre annonce 

en contactant le magazine

avec les informations suivantes :

Titre de l'annonce

Description détaillée

Coordonnées de contact

 

Assistance : Pour toute question ou aide à la rédaction de votre annonce, contactez-nous 

Partagez vos opportunités et découvrez celles des autres membres de notre communauté dynamique.


Aujourd'hui   27  juin


 nous vous présentons une annonce d'un evenement au Théâtre à ne pas manquer

Bientôt nous  présenterons des extraits d une série nous solliciterons votre avis 

e Testament dAzat

Alors a bientôt 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce week-end au Théâtre Le Jonchet :

 

>>>Vendredi 21 février à 20H30 au Théâtre Le Jonchet

[Musique du monde] "LA HARPE DU PARAGUAY" par Daniel Fontich (harpe), Philippe Gaury (guitare) et Jean-Marie Collet (basse).

>>>Samedi 22 février à 20H30 au Théâtre Le Jonchet

[Théâtre] "LE MARDI A MONOPRIX" de Emmanuel Darley, par Patrice Gelineau de la Cie Telle Quelle.

>>>Dimanche 23 février à 16H, Lundi 24 et Mardi 25 février à 11H et 16H au Théâtre Le Jonchet

[Spectacle Jeune Public] "JARDIN ARC EN CIEL" par la Compagnie L'envolée Belle. A partir de 6 mois.

Réservations : https://lejonchet.fr

 

          

 Paris 8eme


22 février


18h.


Hélène Bascoul e

 Grand Palais - RMN (Officiel).

Grand Palais

Salon des artistes français, section gravure  Plus d infos sur cet evenement.

 

 

 

 

 Procès des Ombres

2. SOUS-TITRE (facultatif)

Une affaire oubliée. Un détective hors du temps. Une justice en retard.

3. RÉSUMÉ (500-700 caractères pour Fyctia)

> Paris, 1901. Dans les profondeurs du Palais de Justice, une cellule murée depuis cent ans révèle un squelette, une lettre, et le silence. Valdrigel de Maurevers, dandy britannique au flair implacable, décide de réouvrir l’affaire. Entre complots oubliés, vérités enterrées et erreurs judiciaires, il entame une enquête aux confins de la mémoire. Mais pour réhabiliter une innocente, il lui faudra défier la justice républicaine elle-même.

 

 

 

 

Il était un peu plus de dix heures du matin, et déjà, sur les quais blanchis par le soleil de mai, la poussière de Paris flottait comme une fine gaze sur les vestes des ouvriers, les bottines des dames et les feutres fatigués des agents de la Ville. Un fiacre cahotait lentement le long du quai des Orfèvres, tenant en équilibre entre le vacarme quotidien et une rumeur plus sourde, presque discrète : celle d’un murmure officiel que l’on ne voulait pas encore appeler scandale

Le fiacre s’arrêta devant le grand porche du Palais de Justice. Un homme descendit sans hâte. Il n’était pas grand, mais se tenait comme s’il portait en lui quelque chose d’invisible et d’impératif. Son visage pâle, encadré de cheveux bruns striés d’argent, portait une moustache fine, légèrement relevée comme une signature ironique. Il portait des gants d’un blanc presque irréel, une lavallière grise, et une redingote que le temps semblait avoir respectée par convenance.

 

Cet homme s’appelait Valdrigel de Maurevers.

 

Il ne salua pas le portier. Il ne demanda pas son chemin. Il traversa les couloirs du Palais comme s’il y vivait — ou comme s’il en connaissait les ombres. Lorsqu’il entra dans la salle d’attente des Archives criminelles, un homme se leva d’un bond.

 

— Enfin ! Maurevers, vous en avez mis… Je vous ai envoyé une dépêche hier !

 

— Et vous avez eu tort, répondit Maurevers en retirant lentement un gant. L’urgence est le poison du discernement.

 

L’homme en face, plus massif, moustachu, au costume trop serré et à la cravate nouée sans soin, se nommait Inspecteur Octave Bricourt. Il appartenait à cette race d’hommes dont la solidité faisait plus que compenser l’absence d’éclat. Ancien soldat devenu policier, il n’avait pas de temps pour les phrases, ni de goût pour les circonvolutions — mais il avait appris, au fil des années, à respecter l’élégance comme on respecte un sabre bien affûté.

 

— On a trouvé quelque chose, dit-il. Ou plutôt quelqu’un. Muré. Ici. Dans le Palais. Une pièce close derrière une cloison. C’était une cellule à l’époque de la Révolution.

 

— Et maintenant ?

 

— Et maintenant c’est un secret. Ou ça doit le rester. La hiérarchie veut qu’on enterre ça vite.

 

— Et vous m’avez fait venir pour le contraire, je suppose.

 

Bricourt haussa les épaules. Il avait déjà croisé les vérités mal enterrées, celles qui remontent à la surface comme des noyés mal lestés.

 

— J’ai vu le corps. Ou ce qu’il en reste. Et il y a ça.

 

Il tendit un objet enveloppé dans une étoffe.

 

Maurevers l’ouvrit sans trembler. À l’intérieur, un médaillon ovale en or mat, légèrement fissuré. Il l’ouvrit. À l’intérieur, une miniature effacée… et un mot gravé dans la nacre : “Éléonore.”

 

Il ne dit rien.

 

Puis il tourna lentement le médaillon dans sa main gantée, et murmura :

 

  — Éléonore de Cléry.

 

— Vous la connaissez ?

 

— Elle a disparu en juillet 1794, deux jours avant la chute de Robespierre. Officiellement déportée. Officieusement… rien. Une rumeur, un nom sur une liste. Puis plus rien.

 

— Et maintenant, un squelette dans une pièce murée.

 

— C’est mieux qu’un procès. C’est un silence organisé.

 

Maurevers tendit le médaillon à Bricourt, qui ne le prit pas.

 

— Vous allez m’aider, Maurevers ?

 

— Non, répondit-il en souriant. Je vais aider la vérité. Ce n’est pas tout à fait la même chose.

 

Et déjà, dans son esprit, les murs du Palais se redessinaient. Les couloirs retrouvaient leur ombre. Le parquet, ses cris de pas oubliés. Une voix remontait dans la poussière du temps. Et Maurevers, sans hâte, sans bruit, venait d’ouvrir un tombeau que personne n’avait jamais refermé.

 

 

— On peut voir la pièce ? demanda Maurevers en remettant son gant. J’aime connaître mes tombeaux avant d’en déterrer les fantômes.

 

Bricourt soupira. Il ne savait jamais s’il parlait au poète, au juge ou au bourreau.

 

— Suivez-moi. Mais préparez-vous : ce n’est pas une scène pour votre porcelaine et vos vers.

 

— Je vous préviens, Maurevers, ajouta Bricourt, cette affaire... elle sent mauvais. Du vieux sang, du vieux silence. Le genre qu'on referme vite.

 

Maurevers tourna la tête vers lui avec lenteur.

 

— Les Anglais appellent cela a buried disgrace. Une honte enterrée. Mais je me demande toujours : par qui ? Et surtout, pourquoi si profond ?

 

Il remit ses gants avec une lenteur mesurée.

 

— Conduisez-moi à la cellule. Je crois que nous allons converser avec une morte.

 

Et sur ce mot, il s'engouffra dans le couloir, son pas sans bruit, sa silhouette droite, comme si le temps lui-même attendait sa conclusion.

 

Ils marchèrent en silence. Une chaleur ancienne suintait des murs. On descendit deux volées d’escaliers, puis on traversa une galerie à demi obstruée par des caisses. Enfin, un ouvrier leur ouvrit un passage entre deux parois. L’air y était plus sec que la mort.

 

Ils entrèrent.

 

C’était une pièce aveugle, basse, d’un mètre cinquante à peine. Une couche de poussière recouvrait le sol. Dans un coin, une silhouette effondrée contre le mur, les os délicats d’une jeune fille, un tissu blanc jauni, et à ses pieds, une fleur séchée, posée volontairement.

 

Maurevers se pencha. Il ne dit rien.

 

Bricourt se racla la gorge.

 

— Alors ? Vous pensez à quoi ?

 

Maurevers répondit doucement :

 

— À ce qu’on veut faire d’un corps quand on le garde près de s

oi. Ce n’est pas un crime de haine. C’est un crime d’amour. Le plus terrible de tous.

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

 

Culture - Visitez Houdan, une ville pour bien vivre à la campagne

Bonjour et Bienvenue dans 

notre Magazine litteraire et Culturel

 

Le projet de notre magazine est de promouvoir les auteurs,Artistes et Compagnies dans tous les domaines de la Culture.

Nous proposons un espace gratuit pour présenter des romans,Spectacles, Représentations et oeuvres. une inscription dans notre annuaire

 

Nous developpons un Service d'Aide aux auteurs Artistes 

 Le Service aux auteurs  

Ecrire:

un service de correction et  de traduction professionnels.  est à disposition. nous mettons en place  une mise en relation et un suivi  avec nos correcteurs littéraires.

Publier

Nous mettons à votre disposition un annuaire de Maisons d'Edition pour présenter vos manuscrits

Vendre

Nous vous présentons nos librairies pour présenter vos romans.

Enfin pour progresser dans votre démarche d'écriture

notre service d'Ateliers d'écriture vous ai proposé.Notre annuaire vous informe sur des ateliers d'écriture 

 

annuaire de professionnels de l'écriture

 

Service aux Artistes

Nous vous aidons à trouver des Salles de Repetitions en mettant à votre disposition notre annuaire de professionnels.

Nous mettons également à votre disposition notre annuaire de Stages et d'écoles de Théâtre, Danse 

 

 

 

 

Contacter notre Magazine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

×