El Pais
- Par frederique Roustant
- Le 07/11/2024
- 0 commentaire
Aujourd'hui 8 Juib
Bonjour nous vous presentons la Revue de Presse d'El Pais
Hola, os presentamos la Revista de Prensa de El País
Le succès des écrivaines latino-américaines aux fictions subversives
En Amérique latine, une nouvelle génération de femmes s’est imposée en littérature. Leur originalité : elles font mouche avec des fictions assez dures, impudiques, et qui défient les préjugés, explique le quotidien espagnol “El País”.
Le Livre d la Semaine / El Libro de la Semana
Le cabinet magique' quand le paradis est une bibliothèque
Emilio Pascual rassemble un riche butin de collections de livres imaginaires : du « Nautilus » sous-marin au médiéval « Le Nom de la Rose »
Après avoir soutenu que "tout ce qui est écrit dans les livres doit avoir existé dans un cerveau", Lewis Carroll a fait la prédiction suivante dans Sylvie et Bruno : "Il viendra un jour, si le monde vit assez longtemps, où Toutes les mélodies possibles auront été composé, tous les jeux de mots possibles auront été faits et, ce qui est pire, tous les livres possibles auront été écrits ! Le nombre de mots est limité. Et il concluait : « Au lieu de se demander 'quel livre vais-je écrire', un auteur se demandera 'lequel des livres vais-je écrire' »
El gabinete mágico' cuando el cielo es una biblioteca Emilio Pascual reúne un rico botín de colecciones de libros imaginarios: desde el submarino “Nautilus” hasta el medieval “El nombre de la rosa” Después de argumentar que "todo lo escrito en libros debe haber existido en un cerebro", Lewis Carroll hizo la siguiente predicción en Sylvie y Bruno: "Llegará un día, si el mundo vive lo suficiente, cuando todas las melodías palabras posibles habrán sido compuesto, se habrán hecho todos los juegos de palabras posibles y, lo que es peor, ¡se habrán escrito todos los libros posibles! El número de palabras es limitado. libros voy a escribir'"
María Elena Morán : « J'avais besoin d'exorciser le deuil de la révolution, le désenchantement que j'avais ressentiL'écrivain présente 'Volver a cuando' à Bogotá, le roman sur la migration vénézuélienne qui a remporté le prix Café Gijón.María Elena Morán lors de l'intervi dans un café de Bogotá, le 2 mai 2023.María Elena Morán : « J'avais besoin d'exorciser le deuil de la révolution, le désenchantement que j'avais ressenti
L'écrivain présente 'Volver a cuando' à Bogotá, le roman sur la migration vénézuélienne qui a remporté le prix Café Gijón.María Elena Morán lors de l'intervie dans un café de Bogotá, le 2 mai 2023.Toute la charge émotionnelle de la migration est présente dès la première ligne de Volver a cuándo (Siruela) , le célèbre roman de María Elena Morán qui donne une voix à la tragédie de la diaspora vénézuélienne . Le livre commence avec une fille qui refuse de venir au téléphone pour parler avec sa mère, Nina, la protagoniste, qui se trouve à Pacaraima, une municipalité brésilienne à la frontière avec le Venezuela. Au milieu de la discussion familiale, cette mère récemment émigrée commence à sentir le roussiSANTIAGO TORRADO
María Elena Morán: “Necesitaba exorcizar el luto de la revolución, el desencanto que había sentido
La escritora presenta 'Volver a cuando' en Bogotá, la novela sobre la migración venezolana que ganó el premio Café Gijón. María Elena Morán durante la entrevista en un café de Bogotá, 2 de mayo de 2023. Toda la carga emocional de la migración está presente desde el primer verso de Volver a cuándo (Siruela), la célebre novela de María Elena Morán que pone voz a la tragedia de la diáspora venezolana. El libro comienza con una niña que se niega a hablar por teléfono con su madre, Nina, la protagonista, que se encuentra en Pacaraima, un municipio brasileño en la frontera con Venezuela. En medio de la discusión familiar, esta madre recién emigrada empieza a oler a chamuscado
Deux romans étranges, noirs (à leur manière) et recommandables
Deux romans étranges, noirs (à leur manière) et recommandables
"Tout le monde dans ma famille a tué quelqu'un" et "Rumeur et insectes" font une étrange paire de recommandations. Les deux ont des éléments criminels et bien d'autres choses.Aujourd'hui nous apportons deux romans basés sur ce terrain que nous aimons parcourir : celui des marges du genre . Les deux ont des aspects qui les intègrent dans la conception large des romans policiers et d'autres qui les sortent complètement de presque toutes les étiquettes. Ils n'ont absolument rien à voir l'un avec l'autre : le premier ( Tout le monde dans ma famille a tué quelqu'un ) est une comédie noire ; le second ( La Rumeur et les Insectes ), une exploration philosophique teintée de criminel d'un futur proche terrifiant. De quoi se mettre sous la dent avant la liste — aussi grande que la force et le temps nous le permettent que nous dresserons pour la Foire du livre de Madrid. Venez lire.Article de Juan Carlos Galindo.Article de Juan Carlos Galindo
Dos novelas extrañas, oscuras (a su manera) y recomendables "Todos en mi familia mataron a alguien" y "Rumor y errores" hacen un extraño par de recomendaciones. Ambos tienen elementos criminales y muchas otras cosas.Hoy traemos dos novelas basadas en este terreno que nos gusta pisar: el de los márgenes del género. Ambas tienen aspectos que las encuadran en el amplio diseño de las novelas policiacas y otras que las sacan por completo de casi cualquier etiqueta. No tienen absolutamente nada que ver entre sí: la primera (Todos en mi familia mataron a alguien) es una comedia negra; la segunda (El rumor y los insectos), una exploración filosófica con tintes criminales de un aterrador futuro próximo. Qué comer antes de la lista -tan grande como las fuerzas y el tiempo nos permitan- que elaboraremos para la Feria del Libro de Madrid. Ven y lee Artículo de Juan Carlos Galindo
Suite de la Revue de Presse d'El Pais/ |
---|
Ajouter un commentaire