château Clos Lucé
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La demeure de Léonard de Vinci Après des années d’errance, Léonard de Vinci accepte l’invitation du roi de France qui le convie à le rejoindre et passe les trois dernières années de sa vie dans cette de - meure située à deux pas du château royal d’Amboise où réside François Ier. La Cour du jeune souverain vit déjà à l’heure des artistes italiens, entre Dominique de Cortone dit Le Boccador, Fra Giacondo, Dom Pacello, Jerôme de Fiesole, Le Primatice, Benvenuto Cellini… venus insuffler l’air de la Renaissance en Val de Loire. Lorsque Léonard de Vinci arrive de Rome, où il était le protégé de Julien de Médicis, frère du Pape, l’artiste a déjà 64 ans. Il traverse les Alpes, à l’automne 1516 et apporte dans ses sacoches de cuir trois de ses chefs-d’oeuvre ainsi que tous ses manus - crits.
A son arrivée, François Ier le nomme « Premier Peintre, ingénieur et architecte du roi». Il reçoit une pension de 700 écus d’or par an et la jouissance du Château du Cloux,où il vit et travaille entouré de ses élèves. Il reçoit ici des hôtes de marque, dont le roi François Ier bien sûr, mais aussi les grands du royaume, les ambassadeurs et ses amis artistes.
Parmi eux, le secrétaire du Cardinal d’Aragon, Antonio de Béatis, qui témoigne de ce qu’il voit : « il y avait là le tableau d’une dame de Florence, peinte au naturel, sur l’ordre de feu Julien de Médicis », « la fameuse Mona Lisa », le Saint Jean Baptiste et la Sainte Anne . C’est dans sa chambre au Château du Cloux que Léonard de Vinci s’éteint, trois ans plus tard, le 2 mai 1519.
La demeure de Léonard de Vinci Après des années d’errance, Léonard de Vinci accepte l’invitation du roi de France qui le convie à le rejoindre et passe les trois dernières années de sa vie dans cette de - meure située à deux pas du château royal d’Amboise où réside François Ier. La Cour du jeune souverain vit déjà à l’heure des artistes italiens, entre Dominique de Cortone dit Le Boccador, Fra Giacondo, Dom Pacello, Jerôme de Fiesole, Le Primatice, Benvenuto Cellini… venus insuffler l’air de la Renaissance en Val de Loire.
Lorsque Léonard de Vinci arrive de Rome, où il était le protégé de Julien de Médicis, frère du Pape, l’artiste a déjà 64 ans. Il traverse les Alpes, à l’automne 1516 et apporte dans ses sacoches de cuir trois de ses chefs-d’oeuvre ainsi que tous ses manus - crits. A son arrivée, François Ier le nomme « Premier Peintre, ingénieur et architecte du roi».
Il reçoit une pension de 700 écus d’or par an et la jouissance du Château du Cloux,où il vit et travaille entouré de ses élèves. Il reçoit ici des hôtes de marque, dont le roi François Ier bien sûr, mais aussi les grands du royaume, les ambassadeurs et ses amis artistes. Parmi eux, le secrétaire du Cardinal d’Aragon, Antonio de Béatis, qui témoigne de ce qu’il voit : « il y avait là le tableau d’une dame de Florence, peinte au naturel, sur l’ordre de feu Julien de Médicis », « la fameuse Mona Lisa », le Saint Jean Baptiste et la Sainte Anne . C’est dans sa chambre au Château du Cloux que Léonard de Vinci s’éteint, trois ans plus tard, le 2 mai 1519.
« La Nature est pleine de causes infinies, que l’expérience n’a jamais démontrées »
Léonard de Vinci
Imaginez le voyage de Léonard de Vinci à travers les Alpes en 1516
Face aux jeunes artistes de la Renaissance italienne, Raphaël et Michel-Ange, à l’automne 1516, Léonard de Vinci accepte l’invitation du roi de France et à l’âge de 64 ans traverse les Alpes à dos de mulet avec certains de ses disciples dont Francesco Melzi et Battista de Villanis son fidèle serviteur milanais.
Il apporte dans ses bagages trois de ses chefs-d’œuvre : La Joconde, La Vierge à l'Enfant avec sainte Anne, Saint Jean Baptiste ainsi que ses carnets, croquis, dessins, et manuscrits plus tard rassemblés dans les codex, aujourd’hui dispersés dans le monde.
- Codex Arundel, Londres, British Library
- Codex Atlanticus, Milan, Biblioteca Ambrosiana
- Codex Forster, Londres, Victoria and Albert Museum
- Codex Trivulzianus, Milan, Castello Sforzesco
- Codex de Madrid, Madrid, Biblioteca Nacional
- Codex de Turin, ou Codex sur le vol des oiseaux, Turin, Biblioteca Reale
- Manuscrits A, B, C, D, E, F, G, H, I, K, L, M, Paris, Institut de France
- Codex Leicester, collection privée Bill Gates
La Joconde vient sourire au Château du Clos Lucé
Selon le témoignage du secrétaire du Cardinal d'Aragon en visite au Clos Lucé, il y avait là "un tableau d'une dame de Florence peinte au naturel sur l'ordre de feu Julien de Médicis". Réalisé entre 1503 et 1514, ce tableau illustre le fameux sfumato aux contours estompés de Léonard de Vinci.
Au Château du Clos Lucé, plongez dans l’histoire de France
1471 : Louis XI offre le domaine du Cloux à un ancien marmiton anobli, nommé Étienne le Loup. Il y construit le Château du Cloux en brique et pierre de tuffeau ainsi qu’un des plus beaux pigeonniers de France resté intact.
À l’intérieur, vous pouvez entendre les battements d’ailes des mille pigeons qu’il abritait.
1490 : Le Clos Lucé devient la résidence de plaisance des rois de France. Charles VIII y construit une chapelle pour sa jeune épouse la reine Anne de Bretagne qui venait s’y recueillir et pleurer ses enfants morts en bas âge. La pièce est ornée de quatre fresques, dont une Annonciation réalisée par les disciples de Léonard. Au-dessus de la porte, La Vierge de lumière, « Virgo Lucis » aurait donné son nom au Château du Clos Lucé.
1516-1519 : François Ier et Louise de Savoie invitent Léonard de Vinci à Amboise.
Le roi François Ier, passionné par le talent de Léonard de Vinci le nomme « Premier peintre, ingénieur et architecte du Roi ».
Il lui offre la jouissance du Château du Clos Lucé situé près du Château royal d’Amboise. Les archives nationales de Paris possèdent une attestation de paiement qui mentionne la pension versée par François Ier à Léonard de Vinci « A maistre Lyenard de Vince, paintre ytalien, la somme de 2000 écus soleil, pour sa pension di celles deux années ».
Léonard séjourne au Château du Clos Lucé les trois dernières années de sa vie et travaille à de nombreux projets pour le roi de France, entouré de ses élèves. Il reçoit des hôtes de marque comme le Cardinal d’Aragon, les grands du royaume, les ambassadeurs et ses amis artistes italiens présents à la Cour du Roi dont Dominique de Cortone, dit le Boccador, futur architecte de Chambord.
Un souterrain reliant le Château du Clos Lucé et le Château royal d’Amboise permet aux deux hommes de se rejoindre quotidiennement. Les premiers mètres de galerie sont encore visibles.
Après 10 ans d’une fascinante relation entre Léonard de Vinci et trois rois de France : Charles VIII, Louis XII et François Ier, le Maître italien s’éteint le 2 mai 1519 dans sa chambre au Château du Clos Lucé.
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« Celui qui s'oriente sur l'étoile ne se retourne pas »
Léonard de Vinci
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« La Nature est pleine de causes infinies, que l’expérience n’a jamais démontrées »
Léonard de Vinci
Dans le Jardin de Léonard, découvrez l’influence de la Nature sur son œuvre
Autodidacte, c’est en observant la Nature dans laquelle il trouve des réponses que, loin des livres, Léonard de Vinci élabore un nouveau mode d’apprentissage en étant l’un des premiers à inventer la science expérimentale.
Au Château du Clos Lucé, Le Jardin de Léonard a été pensé de la même manière : toutes les réponses aux questions concernant le Maître sont là, accessibles aux enfants comme aux adultes.
Les arbres, les plantes, ainsi que les mouvements des eaux retrouvés dans les codex ou dans ses tableaux reprennent vie dans ce jardin dédié à la Nature.
Rochers, grottes, sources, belvédères, cascades, effets de brumes évoquent la technique du sfumato. Ici, les moindres détails de ses œuvres sont reconstitués.
Autour d’un bassin bordé de pins centenaires, de cyprès d’Italie et d’ifs, vous contemplez le lys de la Madone, l’iris des marais, la violette cornue, les aulnes glutineux, le cyclamen étalé, et bien sûr, la célèbre rose Monna Lisa.
Comme aimait le dire Léonard :
« Tout est là ».
C’est grâce à l’aboutissement de deux années de recherche sur un corpus scientifique recensant tous les travaux de Léonard de Vinci en lien avec la Nature que ce musée de plein air unique a vu le jour au Château du Clos Lucé.
Dans le Parc Leonardo da Vinci, expérimentez l’univers créatif du Maître
Lors de cette promenade culturelle, vous découvrez Léonard ingénieur, Léonard visionnaire et Léonard peintre et architecte. Dans le parc, montez à bord du char d’assaut, actionnez la vis aérienne, manipulez la mitrailleuse, promenez-vous en bateau à aubes, franchissez le pont tournant ou le célèbre pont à double travée de vingt mètres de haut, réalisés avec les techniques de l’époque. Toutes ces maquettes sont à taille réelle pour offrir aux petits et grands des expériences pratiques et vérifier les intuitions de Léonard.
Observez les quarante toiles translucides de trois à quatre mètres de haut, suspendues aux arbres. Découvrez la lumière des visages, la beauté des corps, la mécanique de la vie, les projets techniques ou encore la cité idéale.
Laissez-vous guider par la voix de Jean Piat, sociétaire de la Comédie Française, qui restitue les réflexions du Maître tout au long de votre promenade.
Le Parc Leonardo da Vinci est un voyage unique au monde parmi les œuvres du génie.
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« Ce qui fait la noblesse d'une chose, c'est son éternité. »
Léonard de Vinci
Des campagnes de restauration permanentes
Il aura fallu 60 ans (1954-2014) à la famille Saint Bris pour restaurer l’ensemble du Château et redonner à la demeure Renaissance son visage d’antan à travers de minutieuses restitutions. Dans les années 1960-80, une importante campagne de restauration est entreprise : la cuisine, la grande salle du Conseil, la chambre, les salles du sous-sol, la chapelle et ses fresques, retrouvent leur aspect d’origine grâce à des artisans spécialisés qui travaillent le bois, la pierre et le vitrail en utilisant les mêmes techniques que les compagnons des XVe et XVIe siècles.
Ces dernières années (2010-2014), le Clos Lucé s’est notamment attaché à restituer les chambres de Léonard de Vinci et de Marguerite de Navarre ainsi que deux galeries Renaissance, le hall d’entrée et son escalier d’honneur.
Les ateliers vivants de Léonard de Vinci
Les ateliers de Léonard de Vinci constituent la touche finale de l’immense chantier de restauration entrepris par la famille Saint Bris.
Situés au rez-de-chaussée de la bâtisse et sur 100 mètres carrés, ces trois pièces jusqu’alors fermées au public ont été restaurées avec l’ambition de plonger le visiteur au coeur du foisonnement créatif et de l’ambiance de travail régnant à l’époque. L’ombre et la lumière, fil conducteur cher à Léonard de Vinci (théorisé dans le « Traité de la Peinture ») guide chacun à travers une journée dans la vie du Maître, de la matinée à la soirée. Dans chacune des pièces, les décors sont reconstitués avec une incroyable minutie. Fresques murales originelles repeintes avec des pigments employés à la Renaissance, mobilier fabriqué sur les plans d’époque, vitraux à cives baignant d’une atmosphère envoûtante d’ombres et lumières qu’affectionnait le maître.
2 ans de recherches et de travaux, 30 personnes et 15 corps de métiers ont été nécessaires pour restituer les ateliers, la bibliothèque et le cabinet de travail de Léonard de Vinci au Clos Lucé.
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Une famille d’industriels passionnée de culture En 1854 la famille Saint Bris acquiert le Clos Lucé à la suite de la famille d’Amboise, propriétaire des lieux depuis le XVII e siècle. Venus de leur Haut Agenais natal, aux portes de la Dordogne, ils viennent de reprendre une entreprise locale spécialisée dans la fonderie et cherchent une demeure.
Le Clos Lucé sera leur maison. En 1866, Georges Saint Bris hérite du domaine et entreprend des premiers travaux de restauration. Son épouse dirigera la création du parc à l’anglaise et fera creuser un étang. En 1954, Hubert et Agnès Saint Bris, se lancent avec passion dans une nouvelle aventure et ouvrent le Château aux visiteurs. Leur souhait ? Faire connaître au plus grand nombre la dernière demeure de Léonard de Vinci, et redonner au lieu l’éclat de la Renaissance. L’ambition d’Hubert Saint Bris est de « faire du Clos Lucé un haut lieu de l’humanisme et de la pensée internationale, dans un monde qui cherche, à travers ses troubles, le chemin d’une nouvelle Renaissance ».
Au décès d’Hubert Saint Bris en 1979, Jean Saint Bris, son fils ainé, poursuit l’œuvre entreprise par ses parents. Il choisit de présenter de façon plus moderne les collections du musée du Château, fait restaurer les salles des maquettes, lance une campagne de publicité créative et innovante…
Tous les frères et sœur se mobilisent pour faire connaître le Clos Lucé. De 1979 à 1981, la fréquentation passe de 40 000 à 80 000 visiteurs. L’ascension sera permanente. Aujourd’hui, 350 000 visiteurs dont 35 % de visiteurs étrangers visitent chaque année le Clos Lucé
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Le Prix Léonard de Vinci Créé en 2011, à l’initiative du Château du Clos Lucé, entreprise culturelle et de « l’Association Internationale Les Hénokiens » qui regroupe des entreprises familiales bicentenaires, ce prix honore chaque année une entreprise familiale internationale pour sa capacité à transmettre aux générations futures un ensemble de valeurs culturelles et de savoir-faire qui constituent un patrimoine immatériel et vivant, gage de succès et de pérennité. Ces entreprises sont distinguées pour leur attachement à un territoire, à un métier et à un savoir-faire renouvelé par l’innovation, en rayonnant avec succès dans le monde entier.
Des critères en concordance avec la vocation de transmission et les valeurs du Clos Lucé. Ce prix a été décerné à l’entreprise italienne Salvatore Ferragamo en 2011, à l’entreprise allemande Otto Bock Healthcare en 2012, au groupe français Daher en 2013 et à l’entreprise japonaise Kaï Corporation en 2014.
Un lieu bourdonnant d’activités Loin de rester figé au temps de Léonard de Vinci, le Château du Clos Lucé réinterprète l’héritage du Maître toscan en proposant dix-huit rendez-vous tout au long de l’an - née. Les thématiques abordées sont multiples, liées à la musique avec le « Festival Européen de Musique Renaissance », le théâtre avec « Les nocturnes théâtrales », la création avec « L’univers de la création »… Ce château que l’on fréquente à toutes les périodes de l’année résonne des cris de joie des enfants qui découvrent avec bonheur les machines installées dans le parc.
Le Clos Lucé est le lieu de rendez-vous des amoureux de la Renaissance… et des gourmets qui se régalent à la table de Sieur Sausin, un admirable chef qui transporte ses convives quelque 500 ans en arrière, par les papilles et la magie de son accueil en habit d’autrefois
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Le Prix Léonard de Vinci Créé en 2011, à l’initiative du Château du Clos Lucé, entreprise culturelle et de « l’Association Internationale Les Hénokiens » qui regroupe des entreprises familiales bicentenaires, ce prix honore chaque année une entreprise familiale internationale pour sa capacité à transmettre aux générations futures un ensemble de valeurs culturelles et de savoir-faire qui constituent un patrimoine immatériel et vivant, gage de succès et de pérennité. Ces entreprises sont distinguées pour leur attachement à un territoire, à un métier et à un savoir-faire renouvelé par l’innovation, en rayonnant avec succès dans le monde entier
. Des critères en concordance avec la vocation de transmission et les valeurs du Clos Lucé. Ce prix a été décerné à l’entreprise italienne Salvatore Ferragamo en 2011, à l’entreprise allemande Otto Bock Healthcare en 2012, au groupe français Daher en 2013 et à l’entreprise japonaise Kaï Corporation en 2014.
Un lieu bourdonnant d’activités Loin de rester figé au temps de Léonard de Vinci, le Château du Clos Lucé réinterprète l’héritage du Maître toscan en proposant dix-huit rendez-vous tout au long de l’an - née. Les thématiques abordées sont multiples, liées à la musique avec le « Festival Européen de Musique Renaissance »,
le théâtre avec « Les nocturnes théâtrales », la création avec « L’univers de la création »… Ce château que l’on fréquente à toutes les périodes de l’année résonne des cris de joie des enfants qui découvrent avec bonheur les machines installées dans le parc.
Le Clos Lucé est le lieu de rendez-vous des amoureux de la Renaissance… et des gourmets qui se régalent à la table de Sieur Sausin, un admirable chef qui transporte ses convives quelque 500 ans en arrière, par les papilles et la magie de son accueil en habit d’autrefois.
du développement durable Dans le Jardin de Léonard… Le « Jardin de Léonard » a été conçu et réalisé dans une démarche de profond respect de l’environnement et de valorisation du biotope et de l’écosystème. Dans une exigence de développement durable, le site intègre un réseau de récupération d’eaux de pluie qui alimente le marais, des zones de nidification aménagées pour les oiseaux migrateurs, des lampes basse tension pour les éclairages nocturnes, des bois non traités pour les ouvrages de charpente…
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Les expositions permanentes
LÉONARD DE VINCI INGÉNIEUR S ’inspirant des recherches des ingénieurs siennois et d ’une tradition scientifique et technique qui remonte au Moyen Âge et à l’Antiquité, Léonard a été capable de systématiser la connaissance et d’innover par la puissance de son inventivité. Les deux collections de maquettes réalisées d’après les dessins de Léonard de Vinci illustrent ses différents talents d’ingénieur: aéronautique, machines industrielles, génie maritime, instruments de mesure, mécanique, génie civil, architecture, génie militaire.
LÉONARD DE VINCI ET LA FRANCE
Installée dans la halle muséographique, l’exposition met en scène le résultat des études, travaux et recherches portant sur la période milanaise entre 1507-1513 et française 1516-1519. Elle retrace le lien exceptionnel de Léonard avec la France sur dix ans, porté par trois rois Charles VIII, Louis XII et François Ier. Ce lien est l’un des faits fondateurs de la Renaissance en Val de Loire.
L’exposition met en lumière les nombreux travaux accomplis par Léonard de Vinci pour les rois de France. Des pièces uniques sont venues récemment enrichir les collections : une tapisserie historique d’Audenarde en laine et soie du XVIe siècle, illustrant la bataille de Pavie (1524) et la capture du roi François Ier. Une remarquable copie sur toile de Mona Lisa, réalisée en 1654 et attribuée à Ambroise Dubois, peintre du roi Henri IV.
Une réplique de David et Goliath, fondue entre 1430 et 1432 par Donatello et considérée comme le premier grand bronze depuis l’Antiquité. Une interprétation mécanique unique du Lion automate réalisée d’après les manuscrits de Léonard de Vinci par un Maître d’art vénitien, qui a nécessité 3 000 heures de travail. Elle est constituée d’éléments mécaniques en fer, exécutés à la forge, découpés à la scie et façonnés à la lime.
Cette empreinte écologique permet aux visiteurs de renouer avec le besoin d’harmonie et le plaisir contemplatif de Léonard artiste et scientifique. Et au Sahel…
Pour faire écho à la passion de Léonard pour la Nature, le Château du Clos Lucé et ses jeunes visiteurs s’impliquent dans la sauvegarde de la Planète dans le cadre d’un projet mis en place avec les populations locales. Le Château du Clos Lucé, à Amboise, s’engage à réserver une partie de chaque entrée enfant à l’ONG SOS SAHEL afin de financer des actions de reboisement du Sahel, vaste région qui borde le sud du Sahara, et de soutenir les populations sahéliennes pour améliorer leurs conditions de vie tout en protégeant leur environnement en replantant 100 000 arbres sur 3 ans.