France Culture Théâtrale

                                                                 France Culture en direct de Marseille

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Theâtre et Compagnie souhaite redonner toute leur place aux grandes œuvres du patrimoine, d'Eschyle à Koltès en passant par Shakespeare.Les grands textes du patrimoine classique et moderne. Lire et relire, réinterpréter, redécouvrir, c’est aussi le rôle de la radio.Grâce à des cycles consacrés à des auteurs et en associant des metteurs en scènes et des dramaturges, Théâtre & Cie souhaite redonner toute leur place aux grandes oeuvres du patrimoine, d’Eschyle à Koltès en passant par Shakespeare.


Aujourd'hui ce 29 Avril


Peter Brook est l'invité d'Affaires CulturellesThéâtre des Bouffes du Nord vous invite Sur les ondes •à 19h, Peter Brook est au micro d'Arnaud Laporte pour l'émission Affaires Culturelles sur France Culture..Artisan majeur du théâtre moderne, le metteur en scène, dramaturge et cinéaste Peter Brook nous entraine, au micro d’Arnaud Laporte, dans les coulisses de de ses œuvres et de son parcours hors normes. Il signe aux éditions Actes Sud le texte de sa pièce Tempest Project (d’après Shakespeare).

 

Un entretien menè par Arnaud Laporte Résultat de recherche d'images pour "Arnaud Laporte"autour de ses œuvres, son processus créatif et ses sources d'inspirations.

https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent http://ÉCOUTER (42 MIN)

Dans Lettres non écrites, David Geselson met son écriture au service de spectateurs désireux de donner chair à une lettre, pour laquelle ils n'ont jusqu'alors jamais trouvé les mots ou franchi le seuil de l'écriture. Une parution d'un recueil de ces lettres aura lieu aux éditions du Tripode. Il sera également question de son spectacle "Le silence et la peur" traitant de la vie de Nina Simone, dont les représentations ont été perturbées par la pandémie, et qui devrait repartir en tournée dès février 2021.

 dans l'émission

À VOIX NUE  Béline Dolats'est entretenu avec un societaire de la Comédie Française  Denis Podalydès

Il explique son attachement à la Comédie Française, vingt ans et plus, de compagnonnage avec la troupe et le répertoire du Français.

                                                                                                                       Denis Podalydès au 64e Festival de Cannes, le 18 mai 2011http://ÉCOUTER (29 MIN)

                                                            Denis Podalydès au 64e Festival de Cannes, le 18 mai 2011• Crédits : ANNE-CHRISTINE POUJOULAT - AFP

Il joue Shakespeare salle Richelieu et tourne avec Valérie Lemercier et Arnaud Depleschin. Homme de troupes, au théâtre et au cinéma, Denis Podalydès est aussi un grand lecteur et un auteur, récompensé du Prix Femina des essais. Un artiste paradoxal, pour qui la célébrité est une abstraction, mais qui occupe la scène culturelle française depuis plus de vingt ans.

"J'aime ce sentiment d'être à l'écart dans une maison où je suis en contact avec tout le monde"  

« Il y a quelque chose de pompeux, de désespérément classique, de compassé, drapé dans le rouge et l’or et cependant extrêmement touchant, familier, infiniment fécond. ». Ainsi décrit-il la Comédie Française dans son essai Scènes de la vie d’acteur. Denis Podalydès arrive au Français en 1997 et en devient le 505e sociétaire en 2000. Il fuit l’académisme et les mécaniques répétitives, mais aime l’idée d’être fonctionnaire de l’Etat au service d’une troupe et d’un répertoire. 

Lorsque je suis entré à la Comédie Française, j'avais l'impression d'arriver chez moi, de retrouver un climat d'enfance qui m'était très intime et très rassurant. Je retrouvais l'immeuble de mon enfance où il y a de la famille à tous les étages. Je retrouvais l'école,  quand on est dans une distribution, c'est comme dans une classe. On est protégé par le statut public, ne pas être à la merci du marché. Le fait de défendre un grand répertoire, entretenir un répertoire ancien et créer, à la lumière de ce répertoire ancien, un répertoire moderne. 

Son parcours à la Comédie Française est une expérience de vie d’artiste unique, qui se nourrit de l’alternance, de la vie de troupe et de l’idée qu’un jour, il faudra partir. 

Appartenir à la troupe, c'était un genre de destin artistique. Les trois piliers de la Comédie-Française, c'est l'alternance, la troupe, le répertoire, cela me comblait totalement. Je n'étais pas seul. J'avais des frères et des sœurs.

Une série proposée par Béline Dolat, réalisée par Christine Robert. Prise de son : Yann Fressy. Attachée de production : Daphné Abgrall. Coordination : Sandrine Treiner.

Liens

Denis Podalydès-La Comédie Française

Bibliographie 

Fuir Pénélope, collection bleue, Mercure de France, 2014

Scènes de la vie d’acteur, Seuil/Archimbaud, 2006

La peur Matamore, Seuil/Archimbaud, 2010

Voix off, collection Traits et portraits, Mercure de France, 2008, Prix Femina Essai

François Florent à Colmar au Festival du 7ème art et du téléfilm, le 13/10/08.François Florent : "Je ne suis pas un comédien qui a renoncé à être comédien"Tewfik Hakem dans la première partie de "A plus d'un titre" reçoit le fondateur et directeur général du Cours Florent, François Florent, à l'occasion de la sortie de son livre "Cette obscure clarté", dans lequel il raconte son expérience et retrace l'histoire du cours Florent créé en 1967.Interrogé dans l'émission "A plus d'un titre" en 2006 sur la réussite brillante de beaucoup de ses anciens élèves, François Florent, le fondateur du Cours Florent, répond qu'il est "aussi fier de ceux qui sont encore des fantassins, que des généraux" et de rajouter que "la chance et le mérite se conjuguent" dans la réussite du comédien. Il revient sur sa carrière de jeune professeur au Conservatoire du 17ème arrondissement de Paris, là-même où a débuté un trio d'"énergumènes" - Jacques Weber, Francis Huster, Catherine Ferran - une rencontre magique qui lui a permis d'avancer très vite dans son domaine de l'enseignement.

Écouter http://"A plus d'un titre" avec François Florent, le 22/05/2008.

"A plus d'un titre" avec François Florent, le 22/05/2008.

Je crois que ça a été mon destin. Et je crois que c'est un destin heureux. Je ne suis pas un comédien qui a renoncé à être comédien. Je suis un acteur qui a fait ses classes dans les plus grandes écoles françaises et qui a compris que son épanouissement véritable serait de donner la lumière aux autres.Le fondateur du Cours Florent raconte les changements dans son enseignement et l'évolution des élèves depuis ses débuts en 1967. Il s'agit d'une école privée donc payante mais il s'évertue à l'ouvrir au plus grand nombre grâce à une classe libre et gratuite fondée avec Francis Huster. Il souhaiterait voir des jeunes de banlieue venir à Paris au cours Florent plutôt que d'en ouvrir "une espèce d'ersatz" dans le 93. Il explique le fonctionnement de son école, l'écrémage se fait progressivement au fur et à mesure des échéances. "Tout le monde peut être acteur, mais tout le monde ne peut pas être acteur de profession", affirme-t-il.

Sans cabotinage du tout, il n'y a pas d'acteur de grand format.

Il donne son avis sur les castings sauvages, dans la rue. Une chose est de faire jouer un jeune pour un rôle, autre chose est de tenir une carrière. En tant que directeur d'une école de théâtre prestigieuse, il se donne aussi comme objectif d'apporter de la culture à ses élèves et de les sortir un peu de l'actualité immédiate dans laquelle ils baignent, ainsi il constate avec regret qu' "ils ont énormément de difficultés à regarder des films en noir et blanc" : "Ils sont vraiment accaparés par l'instant immédiat."

LA NUIT RÊVÉE DE JEAN-PIERRE VINCENT (2017) (9 ÉPISODES)

Jean-Pierre Vincent : "Entre comique et tragique, Dom Juan de Molière a été pour moi une révélation miraculeuse"

Réécouter La Nuit rêvée de Jean-Pierre Vincent (2017) (1/9) : Jean-Pierre Vincent : "Entre comique et tragique, Dom Juan de Molière a été pour moi une révélation miraculeuse"ÉCOUTER (44 MIN)

France Culture revient su un entretien de 2017 |ce fut le premier entretien avec l'homme de théâtre Jean-Pierre Vincent. Pour ce premier temps de sa "Nuit rêvée" il choisit de faire entendre un peintre, un historien et un philosophe. Entretien 1/3 par Albane Penaranda.

Jean-Pierre Vincent

Jean-Pierre Vincent• Crédits : © cojot-goldberg

"Ma vie c’est les textes, les acteurs, les planches" dit-il. Du Théâtre de l'Espérance avec Jean Jourdheuil, à Studio Libre avec Bernard Chartreux, en passant par les scènes des Centres dramatiques nationaux, la direction du TNS, celle de la Comédie-Française et celle du Théâtre des Amandiers, avec le metteur en scène Jean-Pierre Vincent, c'est un demi-siècle de théâtre qu'accueillent Les Nuits de France Culture. Jusqu'au _George Dandin_, monté au Préau, Centre Dramatique de Normandie, c'est une histoire ininterrompue depuis le groupe théâtral du lycée Louis-le-Grand où il faisait ses premières armes aux côtés de Patrice Chéreau à la fin des années cinquante.

Tout au long de sa "Nuit rêvée", nous évoquons certaines étapes du parcours de Jean-Pierre Vincent qui dit lui-même être "sans doute celui qui a réussi le mieux à conjuguer l’exercice des responsabilités directoriales et l’indépendance de la création". Peintre, historien, philosophes, scientifique ou juriste qu'ont-ils avec lui en commun ceux qu'il a souhaité entendre dans sa Nuit rêvée ? Peut-être d'avoir eu, chacun à leur manière et chacun dans leur temps, le souci de nous rendre le monde moins obscur et plus vivable. N'est-ce pas là après tout, dans ce même souci, que peut les rejoindre un homme de théâtre, un metteur en scène, comme Jean-Pierre Vincent ?

Sur sa manière d'envisager le théâtre et la vie :

Le rire est nécessaire à mon théâtre et à moi, profondément. Depuis mon enfance, j'ai toujours été moqueur, satirique parfois méchant. J'ai vite appris, quand je me suis dirigé vers la vocation théâtrale, j'ai vite découvert l'importance du sérieux [...] je suis une alternance continuelle de rire, de gags, de blagues et d'exigence philosophique et politique, c'est la même chose, c'est l'être vivant.

Il choisit dans ce premier entretien d'écouter un extrait de Dom Juan ou le Festin de pierre de Molière dans une mise en scène de Jean Vilar, enregistrée en public, à Chaillot, dans le cadre de l'émission "Le Théâtre et l'Université" en 1956 :

C'est un moment miraculeux dans ma vie, je n'étais pas destiné au théâtre ou à la vie intellectuelle, [...] mais un jour j'étais resté dans ma chambre à écouter la radio et j'ai écouté intégralement le Dom Juan de Vilar, cela a été une révélation de ce qu'était le "grand art", la grande intelligence de l'humain, ce mélange de comique et de tragique, notamment dans le discours de Sganarelle.

 

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