La Part du lion Patrick Frickert
La part du lion
Paule Adler enquête à Belfort,
La vieille Ville, la Citadelle, la Savoureuse
« On n’écrit jamais dans un moment d'euphorie ou de bonheur, mais souvent dans la douleur et le mal-être. C'est du moins mon cas. Mes écrits sont généralement emprunts de violence acerbe, de crimes horribles avec une touche de pessimisme. Ce livre qui peut paraître violent, en fait, ne l'est pas, du moins pas assez à mon goût…Mais, que les âmes sensibles s'abstiennent de le lire, au risque de sombrer dans un pessimisme endémique, avec parfois une certaine forme d'humour pour remonter la pente, avant de le refermer définitivement »