Galerie Art Maniak
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UN LIEU HISTORIQUE POUR UN ART FLORISSANT
Située au cœur de Paris, à deux pas de l’Hôtel des ventes Drouot, cette grande galerie est installée dans un ancien hôtel particulier édifié sous Louis XV. Il s’agit donc d’un lieu privilégié pour les amateurs d’art, qui plus est dans un quartier qui a l’avantage d’être l’un des plus vivant de Paris de par ses commerces, ses théâtres, ses nombreuses galeries situées dans les passages Verdeau et Jouffroy, ses restaurants et ses bars.
Amoureux de bande dessinée depuis mon enfance, je souhaite aujourd’hui partager cette passion à travers l’accrochage de planches originales de bande dessinée et ainsi mettre en avant les artistes d’un médium tout simplement fascinant.
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Clément Gombert
Galeriste
se présente
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Comment commence une histoire d’amour ? Il est bien difficile de répondre à cette question.
Surement par hasard. En tout cas, celle qui se passe entre la bande-dessinée et moi ne date pas d’hier.
Enfant, je lisais les albums qui étaient rangés dans la bibliothèque familiale (car c’est aussi une histoire de famille la bande-dessinée). Tout y passait : Tintin, Asterix, Boule et Bill, les Schtroumpfs, Cédric etc. Les classiques en somme.
Adolescent, j’ai découvert les nouvelles séries grâce au magazine Spirou. Quel plaisir que d’avoir de nouvelles aventures chaque semaine à se mettre sous la dent. C’est sûrement grâce à cela que j’aime avant tout la bande-dessinée franco-belge.
Adulte, je veux maintenant partager cette passion et enfin pouvoir exposer le talent des hommes et femmes qui se cachent derrière les personnages qui nous font tant rêve
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50€
« Celluloïd », gouache,
26 x 26,5 cm
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Les celluloïds, ci-dessous, proviennent du dessin animé « Evangelion ».
Cette série d’animation japonaise a été écrite et réalisée par Hideaki Anno et produite par le studio Gainax. La série est composée de 26 épisodes et été diffusée originellement au Japon d’octobre 1995 à mars 1996 sur la chaîne TV Tokyo avant d’être diffusée en France en VHS en septembre 1996.
La série fût un grand succès dès sa sortie. La série, se rangeant dans la genre mecha post-apocalyptique, surprend grâce à la profondeur de ses personnages et les thèmes abordés tels que l’introspection des personnages, la dépression ou encore le suicide.
La série a acquis au fil des années un statut d’icône culturelle majeur de l’animation japonaise dont elle est aujourd’hui considérée comme l’un des fleurons des années 1990.
Les celluloïds présentés ci-dessous, tous réalisés à la gouache, témoignent d’une époque où l’ordinateur n’avait pas encore le monopole sur la réalisation d’une dessin-animé et où les artistes, que sont les créateurs de dessin animé, savaient manier pinceaux et crayons.
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4ème de couverture originale de l’album Entre deux averses« , mine de plomb, 25,7 x 33 cm, signée.