Le Magazine Le Boudoir littéraire la Plume et l'encrier

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c’est quoi être écrivain ?  Voilà une question assez particulière

Une question que tout écrivain, amateur ou non, fini par se poser, ne serait-ce que pour se définir. A partir de quel moment est-il légitime de se décrire comme écrivain ? A partir de quand répondre « je suis écrivain » Suffit-il d’écrire pour être écrivain ? Faut-il être publié ? Édité ? Par qui doit-on être reconnu pour se sentir légitime ?

Un écrivain  est  avant tout une personne qui a une habilité dans l’art d’écrire ou encore, dans une acception bien plus restreinte du terme, c’est un auteur qui écrit des œuvres littéraires. Dans cette optique, cette personne peut également être désignée par le terme « homme de lettres » ou « femme de lettres ».est doté d’un style, d’une forme, il a quelque chose d’identifiable. Il a quelque chose à raconter, à dire, à faire passer ou encore à transmettre. Il a du fond, mais aussi du style et vice versa. Le travail sur les éléments de la langue ne sera plus suffisant que d’affuter ses arguments théoriques.

 

Nous avons  dû faire des choix. nous avons donc séléctionné  des témoignages qui nous semblaient  les plus intéressants, complets ou qui se démarquaient des autres. Au bout du compte,. Certains viennent d’écrivains édités, d’autres auto-édités ou auto-publiés sur Internet. Certains ne se considèrent pas comme des écrivains, plutôt comme des romanciers,

 Leurs points de vue se rejoignent et diffèrent à la fois,  Alors le mieux est de  les laisser en  parler 

 

Alors chers auteurs c’est quoi être écrivain ?

 

« Pour moi, un écrivain est avant tout quelqu’un qui a eu un jour l’envie de partager, qui l’a fait en alignant les mots et qui a persévéré par la suite. Quelqu’un qui a pris le goût de la plume et qui ne l’a plus lâchée. »
Aaron McSley, 20 ans, auto-publié, publié dans des magazines littéraires, édité chez Booxmaker

« Pour moi, être écrivain, c’est un partage singulier à travers les pages, les phrases et les mots, un partage avec tous ces gens qui décident de lire ces lignes et de s’en imprégner. C’est une communion par le texte. Être écrivain, c’est faire partie de la société, c’est offrir aux lecteurs un moyen de rêver. »
Astrid Méan, 18 ans, bientôt éditée

« Être écrivain, se résume pour moi à trois mots : désir, travail, persévérance. Le désir de plonger dans les eaux troubles de sa propre existence pour entrer en résonance avec l’autre, les autres. Le travail quotidien et l’apprentissage permanent qu’impliquent cette discipline. La persévérance, car on échoue beaucoup avant d’y arriver ! »
Angela Portella, 39 ans, éditée chez L’Harmattan

« Un écrivain est une personne qui a su garder une âme d’enfant. Il accueille les émotions, les fait grandir avec des mots. Son esprit est un feu d’artifice d’idées qu’il aime associer comme des briques Lego pour, sans cesse, inventer de nouveaux chemins. Lorsqu’il manie la plume, ce que l’on croit parfois impossible, peut devenir quelque part, réalité. »
Valéry Hardiquest, 39 ans, publiée sur Internet et par une revue littéraire

« Pour moi être écrivain, c’est comme le marchand de sable. Nos livres permettent de faire rêver nos lecteurs ou toucher leurs cœurs. »
Brandon R. Thaumoux, 20 ans, auto-édité

« Pour moi c’est se faire plaisir avant tout et pouvoir s’évader dans un monde qui peut ressembler au notre ou être totalement différent. C’est un moyen génial que j’ai trouvé pour sortir de ma petite vie tranquille et oublier mes soucis en m’occupant de ceux de mes personnages. Écrire, c’est rêver sur papier. »
Laura Sophie, 25 ans, auto-publiée sur Internet, bientôt éditée avec sa première nouvelle

« Écrivain, c’est être aimé, pas pour ce que l’on est, mais pour ce que l’on raconte à son lecteur, même s’il y a forcement, un peu (ou parfois beaucoup de soi) dans ce que l’on écrit.
Pour ma part, qui écrit pour la jeunesse, c’est aussi, transmettre mon plaisir de lecteur aux enfants, leur donner envie de poursuivre cette grande aventure, tout au long de leur vie.
Rêver, imaginer, être heureux… écrire, c’est tout ça. Et lorsqu’on tient le livre, dans ses mains, c’est aussi un doux plaisir, éphémère mais fondamental. Scénariste est une autre facette de l’écriture, il s’agit alors de décrire ce qui se passe devant ses yeux. Point de style, alors. Seuls les dialogues sont communs aux deux médias. »
Benjamin Leduc, 41 ans, édité (notamment) par La Martinière Jeunesse

« Je n’ai pas d’autre prétention que de raconter des histoires qui vont divertir les lecteurs. LE prochain roman français, je le laisse volontiers aux autres écrivains !
Écrire, c’est pour moi l’occasion de mettre en place des personnages principaux et secondaires, de leur donner une consistance au fil du temps et de les embringuer dans des intrigues inattendues (tant qu’à faire) qui finissent toujours par se connecter, même si, lorsque je commence un épisode autour d’une idée, je ne suis même pas sûr que ça finira par se tenir de façon vraisemblable. Il y a une prise de risque (qui donne au passage un bon frisson), car je ne peux pas savoir si tout finira par s’emboîter !
Ma récompense : que des lecteurs et des lectrices apprécient mes bouquins et me le disent. J’ai pu nouer des contacts vraiment agréables avec quelques un(e)s et j’adore ça. L’auto-édition permet de briser les murs de « l’inaccessible auteur dans sa tour d’ivoire ».
Je partage énormément sur mes sources d’inspirations, les histoires, les personnages. Sans prise de tête et en tâchant de rester moi-même, sans me prendre au sérieux.
S’il fallait conclure, je dirais qu’écrire, c’est aller à la rencontre de ses lecteurs, les surprendre, les faire rire, réagir, bref leur faire passer de bons moments ! »
Jérôme Dumont, 44 ans, auto-publié

« Être écrivain pour moi, c’est avoir la capacité d’emmener avec de simples mots les gens qui nous lisent dans notre univers. C’est pouvoir faire ressentir des émotions aussi fortes que la tristesse et les pleurs, simplement en racontant une histoire. C’est aussi avoir ce besoin presque constant d’écrire, pas forcément pour être publié ou pour être lu, mais simplement parce que de coucher les mots sur le papier nous permet de nous sentir mieux. Pour moi c’est aussi un peu un échappatoire, être écrivain c’est chercher à s’évader, à vivre mille vies en une seule et à créer une réalité à partir de rien ou presque. Je suis seulement à une centaine de mots mais je vais m’arrêter là, parce que je pense avoir résumé l’essentiel pour moi. »
Emilie Ansciaux, 27 ans, publiée

« Être écrivain est un bien grand mot ! C’est pouvoir faire partager ou créer un sentiment chez le lecteur à travers des mots, tout simplement. Pour moi c’est l’écriture elle-même qui est un besoin. J’ai ce besoin d’écrire. C’est une manière de s’évader. J’ai toujours voulu écrire un livre que j’aurai aimer lire. Écrire c’est avant tout se faire plaisir. Imaginer une histoire qui me fait totalement m’évader de la vie quotidienne et me transporte loin de la réalité. Inventer des personnages qui nous passionnent, c’est merveilleux car c’est un pur plaisir d’écrire leur histoire. C’est magique de créer un univers. »
Jenny Coulon-Liard, 32  ans, prochainement publiée

« Je ne peux pas dire ce que écrivain veut dire pour moi car je ne me considère pas comme écrivain. Romancière me va mieux. C’est une activité à plein temps. Les idées et les personnages sont toujours présents à l’esprit et le cerveau peut parfois surchauffer. Ecrire c’est avoir les oreilles et les yeux bien ouverts et savoir passer toutes ses informations dans notre propre filtre ou créer ses propres histoires en essayant au maximum d’éviter que le lecteur s’endorme ou se prenne un seau d’ego surdimensionné dans le visage. En fait, j’écris parce que je ne peux pas faire autrement. »
Kate Wagner, deux romans édités, un troisième en cours

« Être écrivain, selon moi, c’est libérateur à un point phénoménal. C’est hurler et pleurer et rire et chanter en silence. C’est démêler le brouillon de tes pensées et en faire quelque chose dont tu peux être fier. C’est faire sortir avec ton propre langage littéraire tout ce que tu peux avoir dans la tête, même ce que tu ne soupçonnais pas. C’est faire attention au plus petit des détails, c’est décortiquer le monde avec pour seule arme un stylo ou un clavier, et c’est creuser tellement profond dans la psychologie de tes personnages que tu arrives à mieux comprendre les gens qui t’entourent. C’est se rapprocher le plus possible de la sensation géniale qui s’empare de nous quand on est transporté par un livre au point qu’on en oublie tout le reste et qu’on pleure en lisant la dernière page parce qu’on a l’impression de dire adieu pour toujours à notre meilleur pote. C’est s’attacher tellement à ses personnages qu’on voudrait toujours les garder dans sa poche et les emmener partout avec nous, même s’ils refusent de faire ce qu’on leur dit la plupart du temps. C’est à la portée de tout le monde, c’est universel, ça n’a pas d’âge. C’est créer pour le simple sentiment de plénitude qui accompagne la création, c’est créer parce qu’on le peut, parce qu’on le veut. Et c’est le bonheur intense d’être lu et d’avoir des retours sur notre œuvre.
Bref, être écrivain c’est le pied intégral et ça restera mon exutoire jusqu’à la fin de mes jours. »
Kriss, 23 ans, auto-publiée sur Internet

« Pour moi, l’écriture est une thérapie, mon moyen d’évasion et une chose magnifique que je fais partager à mes petites filles. Le rêve est à portée de tous grâce à l’écrit. Le roman, c’est l’évasion pour quelques temps des difficultés de ce monde. »
Vanessa Dubaniewicz, 34 ans, fondatrice de la propre maison d’édition

« Je trouve qu’être écrivain, c’est mêler les arts : on peint le décor, on sculpte ses personnages, et la musique des mots fait vivre cet ensemble. Utiliser des personnages réels me procure les mêmes sentiments, peut-être davantage encore, puisque désormais, c’est moi qui dirige leur vie, leurs paroles, leurs actes, même si je respecte leur histoire.
Je pense également qu’être écrivain passe nécessairement par la publication, car la qualification d' »écrivain » relève de l’appréciation du lecteur. Sans public, un écrivain n’existe pas, c’est comme ça que je le perçois. Que ce soit de la publication anonyme, sur un site internet ou sur papier, sous un pseudonyme ou son vrai nom, être lu est à la base de la fonction d’écrivain. Et c’est ce lectorat qui donne des responsabilités à l’écrivain. Selon ce qu’il écrit, et ce qu’attendent ceux qui le lisent, il doit faire rêver, pleurer, fantasmer, instruire, effrayer, passionner… L’écrivain n’a pas besoin de se plier aux attentes de son lectorat, c’est le lectorat qui adopte son univers et son style. Le titre « d’écrivain » va, pour moi, à ces auteurs qui ont accompli toutes ces tâches. »
Eanna, 20 ans, auto-publiée sur internet

« Il parait qu’être écrivain c’est être publié… Du moins c’est ce que j’ai toujours entendu. Je considère que si on a envie d’écrire dès l’instant où on pose le pied par terre le matin, on est écrivain. L’idée d’être un écrivain méconnu avec des perles de littérature dormant dans un tiroir est diablement romantique, en plus. Comme j’écris pour le plaisir et pas tous les jours, étant donné que l’écriture est ma passion de rechange, je ne suis certainement pas écrivain, simplement auteur sporadique. Mais si je suis publié un jour je ferai comme tous le monde, je me la péterai sévère et je passerai sous silence le fait que mes efforts m’auront rapporté l’équivalent d’un demi-smic. »
Litsiu, 33 ans, auto-publié sur Internet

« J’ai l’impression qu’on a un peu cette norme sociale en France. On nous apprends à faire la distinction entre écrivain et auteur, l’écrivain étant hypra-sacralisé : se dire écrivain alors qu’on est même pas publié c’est briser les normes sociales et on est très vite jugé extrêmement négativement. On le voit très rapidement dans les forums/sites/communautés d’auteurs/écrivains, tout comme dans la société elle-même : on a très peu de cursus universitaires sur le sujet, on nous encourage peu dans l’écriture d’invention dans l’enseignement secondaire, comparé à certaines autres cultures beaucoup plus ouvertes de ce côté-là.
Être écrivain en France, c’est s’être dit écrivain par une bande de gens qui décident (sans réelle légitimité) de si votre roman est bon – et peut ou non se vendre – décidant par là même ce que le public veut lire. Paradoxalement, on peut gérer les mots comme pas possible mais écrire un truc complétement en décalage avec notre société, l’œuvre ne pourra pas se vendre, sera refusée au comité (où ne correspondra avec aucune charte), et l’auteur ne sera pas considéré écrivain avant que les normes sociales ne changent quelques années plus tard et que son œuvre soit reconnue (et vendue). Malheureusement pour lui, il se sera peut-être mangé un piano en sortant d’un Nespresso entre-temps.
Mais sinon, au-delà de ce « statut d’écrivain » français, être écrivain c’est créer et construire à l’aide de mots. Je pense que toutes les cultures se rassemblent autour de ce point. »
BrainyLegs, 20 ans, auto-publiée sur Internet

 

Certains écrivains utilisent des mots comme : rêve, imagination, partage, évasion, voyage, passion, plaisir. Tout un vocabulaire positif et enthousiaste.

Être écrivain découle d’une passion, d’une envie et d’un besoin de rêver, de voyager et de partager cette expérience.

 

Et la publication ? L’édition ? être écrivain, c’est être édité par un éditeur et reconnu en tant que tel. La publication, l’édition apporte une forme de reconnaissance. Elle rend légitime le titre d’écrivain. 

 

Devenir écrivain, publier son livre, demande un travail très important.

 

 

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