Helene D'Orion

Hélène Dorion

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Pierre Nepveu a dit de l’œuvre de Hélène Dorion : « nous avons besoin de sa quête intérieure, de cette immensité du dedans, de ce vent de l’âme que sa poésie ne cesse de faire souffler et de faire entendre, comme pour laver notre monde de ses scories, de ses bruits inutiles, de ses enjeux mesquins, afin d’y dégager un espace pur et un temps de vivre ».


Hélène Dorion naît le 21 avril à Québec.

Hélène fait ses études primaires et secondaires, au Collège Notre-Dame-de-Bellevue, puis ses études collégiales au cégep de Sainte-Foy, avant d’entrer à l’Université Laval où elle obtient, en 1980, un baccalauréat en philosophie, et en 1982 une maîtrise en lettres.

Membre de la rédaction de la revue philosophique de la faculté, Considérations, elle y publie des textes de réflexion portant entre autres sur les présocratiques, Nietzsche et Camus. Un passage s’opère alors de la philosophie à la littérature, et en même temps qu’elle entreprend des études en lettres qui mèneront, en 1985, à l’obtention d’une maîtrise.

Elle publie ses premiers poèmes en 1981 dans la revue Estuaire. L’année suivante, elle se joint au comité de rédaction de cette revue et y rencontre Suzanne Paradis et Michel Beaulieu qui l’inciteront à présenter son premier manuscrit, L’intervalle prolongé suivi de La chute requise, aux Éditions du Noroît qui le publieront en 1983.

En 1984, elle quitte Québec pour les Laurentides qu’elle habitera jusqu’en 2009. Elle enseigne la littérature durant six ans au cégep de Saint-Jérôme et continue à déployer une activité plurielle en s’impliquant dans la vie littéraire à différents titres : critique, membre de la rédaction de revues et collaboratrice à des émissions culturelles radiophoniques. En 1987, elle fait un premier séjour en Europe. Ses poèmes commencent alors à paraître dans diverses revues françaises et belges, et peu à peu ils seront traduits et publiés dans de nombreuses revues européennes. En 1990, une anthologie de ses poèmes paraît aux Éditions Le Dé Bleu, sous le titre La vie, ses fragiles passages, et le même éditeur publie, en coédition avec le Noroît, Un visage appuyé contre le monde.

En 1991, elle devient directrice des Éditions du Noroît. Durant cette période qui durera dix ans, en plus d’être éditrice, elle réalise une série audio de poésie et musique, conçoit et présente au Québec et en Europe des lectures-spectacles, prépare des anthologies de poètes québécois et préface de nombreux ouvrages. On lui doit entre autres une anthologie de poèmes de Saint-Denys Garneau.

En 1993, les directeurs des Éditions de la Différence, Colette Lambrichs et Joaquim Vital, l’invitent à publier dans leur maison. Elle y fera paraître par la suite tant ses livres de prose que de poésie. En 1994, elle participe pour la première fois à la Biennale internationale de poésie de Liège.

Ses voyages commencent alors à se multiplier, en même temps que les traductions de ses livres, ce qui l’amène à participer à de nombreuses lectures publiques ainsi qu’à des colloques et festivals. Son œuvre reçoit plusieurs distinctions et prix littéraires au Québec et à l’étranger, et des revues européennes lui consacrent des dossiers et des numéros spéciaux.

En même temps, son activité littéraire se diversifie : elle est membre de comités de rédaction de revues européennes et prépare à ce titre plusieurs numéros consacrés à la poésie québécoise, elle est lectrice pour des maisons d’édition et fait aussi partie de nombreux jurys, dont celui du prix francophone de poésie Louise-Labé. De 1999 à 2001, elle est écrivaine en résidence à l’Université du Québec à Montréal puis à l’Université de Montréal. Elle anime en outre des ateliers d’écriture. En 2002, elle tient une chronique régulière dans le magazine Relations.

Hélène Dorion est aussi l’auteure d’une quinzaine de livres d’artistes, ce qui l’a amenée à collaborer avec de nombreux artistes visuels québécois et européens.

Une anthologie de poèmes, présentée par Pierre Nepveu, paraît en 2002 dans la collection de poche Typo. Dans les années suivantes, elle publiera Jours de sable, roman pour lequel elle recevra le prix Anne-Hébert, en plus d’être en lice pour le prix des Libraires et le prix Spirale, et fera aussi paraître Sous l’arche du temps, un essai sur l’art et la création qui est suivi d’entretiens, de même que La vie bercée, un album pour la jeunesse illustré par Janice Nadeau, et qui sera en lice pour trois prix au Québec et en Europe.

En 2005, elle devient la première Québécoise à se voir décerner le prix de l’Académie Mallarmé, remis pour l’ensemble de son œuvre, à l’occasion de la parution de Ravir : les lieux. Ce livre lui vaudra aussi le prix du Gouverneur général du Canada.

En 2006, les Éditions de l’Hexagone font paraître une rétrospective de son oeuvre poétique intitulée Mondes fragiles, choses frêles et qui fait plus de huit cents pages. La même année, elle est élue membre de l’Académie des lettres du Québec et nommée Chevalière de l’Ordre national du Québec. Elle est aussi invitée à se joindre au comité de direction de la « Rencontre québécoise internationale des écrivains » et au comité de rédaction de la revue « Les Écrits ».

En 2008, lorsqu’elle reçoit le prix Charles-Vildrac pour son livre Le Hublot des heures, elle est alors la première Québécoise à recevoir un prix de la Société des Gens de Lettres de France.

En 2009 a lieu un colloque sur son œuvre à l’Université Paris-Nanterre, en collaboration avec l’UQAM, sous la direction de Jean-Michel Maulpoix et Évelyne Gagnon.

En 2010, elle publie L’Étreinte des vents pour lequel elle reçoit le prix de la revue Études françaises de l’Université de Montréal. Cette même année, elle est nommée Officière de l’Ordre du Canada.

En 2011, elle tient une chronique régulière dans le magazine Spirale. Elle reçoit aussi, pour l’ensemble de son œuvre, le prix européen Léopold-Senghor.

En 2012 elle fait paraître, aux Éditions de l’Hexagone, Cœurs, comme livres d’amour, finaliste aux prix du Gouverneur général du Canada, du Conseil des Arts et des Lettres du Québec, Marcel-Thiery et du Festival de poésie de Montréal.

En 2014, elle publie aux Éditions Druide Recommencements, roman salué par la critique et accueilli par un large public. Elle reçoit le prix des Écrivains francophones d’Amérique. Cette même année, elle se voit décerner une bourse de résidence de la prestigieuse Fondation newyorkaise Civitella Ranieri et séjourne à Umbertide, en Italie. À la suite de cette résidence d’artistes paraîtra Le temps du paysage, récit accompagné de ses photographies.

Son œuvre s’est méritée de nombreux prix littéraires (prix Alain-Grandbois, prix Aliénor, prix Wallonie-Bruxelles, prix du Festival de Roumanie), et elle est régulièrement invitée à présenter son travail au Québec et au Canada, en Europe, en Amérique latine et aux États-Unis. Ses livres sont traduits et publiés dans plus de quinze langues, notamment en anglais, en espagnol, en catalan, en italien, en macédonien, en russe, en serbe et en allemand.

Des thèses, des mémoires et des numéros de revues ont été consacrés à son œuvre, de même qu’un ouvrage collectif intitulé Nous voyagerons autour de l’être, et qui regroupe les collaborations d’auteur-es et de critiques. Plusieurs de ses textes sont mis en musique par des compositeurs contemporains et par des auteurs-compositeurs.

Hélène Dorion a tenu durant quelques années une chronique régulière intitulée « Questions de sens » dans la revue Relations et a aussi collaboré avec l’Opéra de Montréal en écrivant des textes sur leurs productions.

En 2015, l’orchestre Les Violons du Roy l’invite à concevoir avec eux un spectacle dans lequel elle lit de ses textes avec un quatuor à cordes. Ce concert littéraire, intitulé Au creux du temps, a été présenté à de nombreuses reprises, notamment à la Cinquième salle de la Place des Arts à Montréal et au Palais Montcalm à Québec.

En 2016, elle publie Le temps du paysage, ouvrage primé au Concours LUX (catégorie « Livre de photos ») et finaliste au prix du Conseil des Arts et des Lettres du Québec, au prix Marcel-Couture du Salon du livre de Montréal et au prix Louis-Guillaume en France. Ce récit avec photographies a fait aussi l’objet d’une exposition qui a été présentée à Montréal, à Québec, en Estrie, dans les Laurentides et dans le Bas-Saint-Laurent.

Son livre de poèmes, Comme résonne la vie, paru en 2018 aux Éditions Bruno Doucey, fait l’objet d’un nouveau concert littéraire présenté avec les musiciens de l’orchestre Les Violons du Roy.

En mars 2020, elle publie aux Éditions Alto un roman intitulé Pas même le bruit d’un fleuve accueilli favorablement par la critique et le public.

Pour sa contribution remarquable à la littérature québécoise, elle a reçu le prix Athanase-David 2019, la plus haute distinction décernée par le Gouvernement du Québec en littérature. « Avec simplicité et beauté, ses ouvrages sondent l’intime de l’être. Ils invitent à la réflexion sur le sens de l’existence humaine. Courts, fluides et profonds, ses textes à la trompeuse facilité reflètent plutôt une écriture maîtrisée. Par la modernité de ses écrits, leur sagesse et leur intégrité, l’écrivaine jette un regard sur les défis que rencontre le monde actuel. » (Source : Les Prix du Québec)


Hélène Dorion

Site Internet

HTTP://WWW.HELENEDORION.COM/

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Poésie

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  • Comme résonne la vie,
  • Éditions Bruno Doucey,
  • https://www.editions-brunodoucey.com/
  • 2018.
  • -----------------------
  •  
  • Coeurs, comme livres d’amour,
  • Éditions de l’Hexagone,
  • 2012.
  • ---------------------------------------------
  •  
  • La vie bercée,
  • Éditions Les 400 Coups,
  • 2006.
  • ------------------------
  • Sous l’arche du temps,
  • Éditions La Différence,
  • 2005.
  • ---------------
  • Ravir les lieux,
  • Éditions La Différence,
  • 2005.
  • -------------
  • Portraits de mers,
  • Éditions La Différence,
  • 2000.
  • -----------------
  • Les Murs de la grotte,
  • Éditions La Différence,
  • 1998.
  • -----------
  • Sans bord, sans bout du monde,
  • Éditions La Différence,
  • 1995.
  • -----------------------------
  • Les états du relief,
  • éditions du noroît,
  • 1991.
  • ----------------
  • Le vent, le désordre, l’oubli,
  • L’Horizon Vertical
  • (Belgique),
  • 1991.
  • -----------------
  • Un visage appuyé contre le monde,
  • coédition des éditions du noroît
  • et du Dé bleu,
  • 1990.
  • --------------
  • La vie, ses fragiles passages,
  • Le Dé bleu,
  • 1990.
  • -------------
  • Les corridors du Temps,
  • Les Écrits des Forges,
  • 1988.
  • -----------
  • Les retouches de l’intime,
  • éditions du noroît,
  • 1987.
  • ------------
  • Hors champs,
  • éditions du noroît,
  • 1985.
  • -----------
  • L’intervalle prolongé 
  • suivi de La chute requise,
  • éditions du noroît,
  • 1983.

  •  

Romans et récits

Pas même le bruit d'un fleuve

  • Pas le même bruit d’un fleuve,
  • Alto éditeur,
  • 2020.
  • ---------------
  •  
  • Le temps du paysage,
  • Éditions Druide,
  • 2016.
  • ------------------

  • Recommencements,
  • Éditions Druide,
  • 2014.
  • ----------------
  •  
  • Les Presses de l’Université
  • de Montréal,
  • L’étreinte des vents,
  • 2009.
  • -----------
  • Jours de sable,
  • Léméac,
  • 2002.

  • Derniere Parution

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    Pas même le bruit d'un fleuve

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    *Des pièces musicales ont accompagné l’écriture et les relectures de mon roman, comme si se trouvaient incarnés là des rythmes, des accords, des tonalités de l’écriture. Pour les partager, j’ai regroupé ces pièces dans une liste de lecture disponible pour écoute sur Spotify  :

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    Quand Hanna découvre, parmi les effets de sa mère récemment décédée, des carnets, photographies et coupures de journaux, elle décide de descendre le cours du fleuve jusqu’à Kamouraska pour tenter de trouver le fil qui rattachera son histoire à celle de Simone, cette femme silencieuse, absente de sa propre vie.

    Remontant le siècle, le long du Saint-Laurent, de Montréal à Pointe-au-Père, suivant des marées parfois cruelles, Hanna retrouvera la trace du premier amour de sa mère et retournera jusqu’en 1914, au moment du naufrage de l’Empress of Ireland. Elle apprendra qu’une catastrophe forme le tronc de tragédies intimes qui traversent les générations et que les survivants sont parfois les vrais naufragés. Sur cette route qui la conduit vers elle-même, elle pourra compter sur la force de l’art et de l’amitié pour éclairer sa quête. La poésie gonflant ses voiles, Pas même le bruit d’un fleuve emporte dans son sillage son lot de révélations, de miracles et de mystères.


    Parole de Presse 

    «Ce roman, d’une écriture magistrale, nous rappelle avec force et subtilité que la mémoire des êtres est longue, qu’elle traverse générations et siècles, révélant, bien des années après le surgissement, les échos de petits et grands drames de la vie. Ce roman change les êtres pour le mieux. Or le traverser ne se fera pas sans remous intérieurs.»

  •  

    -------------

     

  • «[Hélène Dorion] réussit à concilier une écriture de tête et une écriture de tête et de ventre, […] elle réussit à tout ramener ça en quelques mots avec des images qui sont frappantes. C’est rare, c’est un exploit !»

    – Claudia Larochelle,

  •  Radio-Canada/

  • Plus on est de fous plus on lit

  • Atwood-Margaret-credits-Jean-Malek-2021

  • – Claudia Larochelle,

  •  Elle Québec

  • https://www.ellequebec.com/

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    «Un récit empreint de poésie, de miracles et de mystères.»
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    Iris Gagnon-Paradis on Muck Rack

    – Iris Gagnon-Lapointe
  •  La Presse +

  • http://mi.lapresse.ca/

  •  

    ----------------

    «J’ai savouré ce livre-là. Un livre très fort, très puissant. On se délecte autant de l’histoire que de la façon qu’elle a de nous la raconter. Un livre magnifique !»
  •  

    Par ici l'info, ICI Première.

    – Marie-Claude Veilleux,
  •  Radio-Canada/Par ici l’info

  • https://ici.radio-canada.ca/

  •  

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    «S’il y est question de ces naufrages auxquels on ne survit pas sans douleur, de ces catastrophes qui hantent ceux que l’on aime, Pas même le bruit d’un fleuve célèbre aussi la beauté de ce qui sera demeuré mystérieux chez l’autre, et qui se révèle un jour, à la faveur du temps et du hasard.»
  •  

    Dominic Tardif

    – Dominic Tardif, 
  • Le Devoir

  • https://www.ledevoir.com/

  •  

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    «Dans ce nouveau roman, comme dans les nombreux recueils poétiques qu’elle a auparavant publiés, sa plume se révèle riche d’images. Les marées intérieures qui nous remuent le coeur, les ressacs qui freinent notre nage, les lames de fond qui nous happent, les vagues qui nous portent, tout ça teinte le récit.»
  •  

    Karine Tremblay

    – Karine Tremblay, 
  • La Tribune – Le Soleil 

  • https://www.lesoleil.com/

  •  

    -------------------

    «  […] un hommage en douceur à la puissance de l’art, voire un appel à vivre. »

    Samuel Larochelle

  • – Samuel Larochelle, 

  • La Presse

  •  

    ----------------

    «J’ai adoré ce livre. Le genre de livre qui nous rentre direct au coeur, qui nous touche profondément. Ça m’a enveloppée, touchée, ravie Un très, très beau livre !»
  •  

    Facteur matinal, ICI Première.

    – Patricia Powers,
  •  Radio-Canada/Facteur matinal

  • https://ici.radio-canada.ca/

  •  

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  • «Un roman où la poésie est très présente. Une plume magnifique !»

  •  

    – Tanya Beaumont, 
  • Radio-Canada

  • /C’est encore mieux l’après-midi

  •  

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    «Lire Pas même le bruit d’un fleuve, c’est se lancer dans une quête profonde, celle d’Hanna, où la nature, le pouvoir des mots et l’art dévoilent la beauté cachée de l’univers. Je vous recommande cette belle traversée du Saint-Laurent rythmée par le silence la marée.»

    – Madame Lit

  • https://www.madamelit.fr/

  •  

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    «Cette traversée filiale émaillée d’un questionnement existentiel, celui, peut-être, qui nous submerge quand la vie n’est pas exactement comme nous voudrions qu’elle tourne, ronde, entre les heures effrontées ou sereines, se révélant un acte de survie. Hanna se souvient. Hanna nous invite dans un présent où l’écriture s’invente, s’impose, aussi vive que le fleuve.»
  •  

    Dominique Blondeau

    – Dominique Blondeau, 
  • Page littéraire

  •  

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    «L’art happe, sauve, apaise. Et le Saint-Laurent, cette beauté, participe de ce mouvement dont le nouveau roman d’Hélène Dorion est traversé. Jumelée au titre, la photographie de la couverture, signée Rachael Talibart, participe à l’entrée en force du plus récent livre de la prolifique Hélène Dorion, dont l’œuvre a été récompensée du prix Athanase-David­­­ en 2019. Et ce n’est pas anecdotique que de le souligner, tant Pas même le bruit d’un fleuve fait appel à toutes les formes d’art. […]  Face à la dureté des jours, il y a eu l’art… « Les poèmes peuvent-ils nous sauver du naufrage ? », ou de la violence, ou de la souffrance, se demande Hanna avec obsession. Ce beau questionnement est en soi apaisant.»
  •  

    – Josée Boileau, 
  • Le Journal de Montréal

  • https://www.journaldemontreal.com/

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    «Dans ce roman, on va se promener avec Hanna entre les paysages et les époques, de Montréal à Kamouraska, le fleuve évidemment lie tout cela, c’est d’une très grande beauté. Il y a beaucoup de tendresse dans ce roman. En le lisant, j’étais habitée par la beauté. Ce livre m’a transportée.»
  •  

    baerbel reinke frau vom brandenburger tor in ard talkshow guenther jauch am in berlin thema sendung 25 jahre m  | Stockfoto bei imago images lizenzieren

    – Bärbel Reinke, 
  • CKRL/ Les Matins éphémères

  •  

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    «Dans une langue limpide, dépouillée et signifiante, l’auteure nous entraîne dans les profondeurs, parfois abyssales, de la psyché humaine pour mieux remonter à la surface. Un court roman d’une grande beauté pour la récipiendaire du prix Athanase-David 2019, la plus haute distinction décernée par Québec en littérature.»

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    – Éric Moreault,
  •  Le Soleil

  • https://www.lesoleil.com/

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    «Avec son roman Pas même le bruit d’un fleuve, [Hélène Dorion] continue ses recherches, mais elle va, surtout, ailleurs. Elle y a trouvé un sentier ouvert aux quatre vents et aux mystères de l’amour. Le roman est une histoire de filiation, d’amitié et d’amour autant que de perte, de douleur et de tragédie. La narratrice cherche à comprendre et entrevoit que les vies imparfaites, la sienne comme celle de sa mère avant elle, procèdent d’un même fleuve. Dans ce récit habile, les drames s’emboîtent les uns aux autres pour ne former qu’un. L’écriture en spirale de la romancière permet ainsi de tout englober comme si le fleuve était cet élément liant, intemporel, qui peut tout expliquer.»

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    – Mario Cloutier
  • En toutes lettres

  • https://mariocloutierd.com/

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    «Un roman poétique sensible qui raconte l’histoire d’Hanna qui, suite au décès de sa mère, va tenter de comprendre qui était celle-ci. C’est un roman qui parle d’identité, de repères, de blessures, de secrets. […] Hanna va se questionner sur des blessures qui peuvent se transmettre entre générations, c’est vraiment une belle lecture. Le fleuve Saint-Laurent et la nature sont omniprésents, on remonte le fleuve avec la narratrice. Un livre très émouvant.»
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    – Patricia Tadros,
  •  Radio-Canada/

  • Première heure

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    «Quel magnifique roman de tendresse et de compassion que celui d’Hélène Dorion. La poète et romancière effleure l’âme, les blessures qui ne guérissent jamais, bousculent ces inquiets du monde que sont les créateurs. Pas même le bruit d’un fleuve permet de nous arrêter dans un matin tranquille pour comprendre ce qui a constitué nos vies, de suivre les méandres qui habitent notre aventure, sans trop savoir comment survivre. Un livre qui aide à mieux respirer, une méditation sur l’art, la vie, la douleur et la résilience.»

    image001

  • – Yvon Paré, 

  • Littérature du Québec 

  • https://yvonpare.blogspot.com/

  • http://levurelitteraire.com/

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    «Hélène Dorion fait vivre ses personnages en jouant du temps et des lieux, des émotions à fleur de peau à celles qui brouillent et fragilisent une existence. Puis, il y a la poésie des mots et des images qui s’essaime sur la trame et conditionne les destins croisés de chacun. Au-delà de la fiction, il y a l’appropriation d’un passé simple que le silence a rendu imparfait.»

  • – Jean-François Crépeau,

  •  Le Canada français

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    «Écrivaine et poétesse extraordinaire, lauréate du prix Athanase-David pour sa contribution remarquable à la littérature québécoise, Hélène Dorion offre ce printemps une histoire douce, mélancolique, tragique par moments. Le rythme des personnages suit celui des marées du Saint-Laurent dans Pas même le bruit d’un fleuve

    – Marie-France Bornais,

  •  Le Journal de Québec

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    «Roman poétique et d’une grande tendresse. […] Une très belle réussite.»

    – Marie-Anne Poggi, 

  • Les Irrésistibles

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    «Dorion’s description of love’s phantom pains buried in deep silence is masterful.»

    – Alice-Catherine Carls, 

  • World Literature Today

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    «Ce livre est pour vous si vous avez envie d’être bercé par les mots de cette auteure dont la poésie a le pouvoir de nous chavirer.»

    – Julie Niquette, 

  • L’Actuelle

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    «Chez Hélène Dorion, la poésie est omniprésente, vibrante, enveloppante, violente par moments, à l’image de la vague illustrant la page couverture de cet écrin.»

    – Betty Achard,

  •  Bel Âge

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    «Connue d’abord pour sa poésie, Hélène Dorion maitrise également l’écriture romanesque. […] Grâce à la plume à la fois limpide et poétique de l’auteure, Pas même le bruit d’un fleuve parvient à étreindre toute la beauté et l’amplitude du Saint-Laurent.»

    – Benoît Valois-Nadeau, 

  • Journal Métro

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    «Touchante parenthèse familiale sur fond de tragédie historique, portée par un souffle de poésie.»

    –François-Alexandre Bourbeau,

  •  Prix des libraires du Québec


  • Lecture suggérée

  • par

  • Karine Vanasse

  • (Radio-Canada,

  •  Bonsoir bonsoir)

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  • – Richard Séguin

  • (La Tribune)

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  • – Simon Boulerice

  • (Télé-Québec, Cette année-là) –

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  • Claudia Larochelle

  • (Elle Québec, 15 lectures pour l’été)

  •  

  • – Laurie Dupont

  • (Magazine Véro,

  • Top 10 de livres québécois à lire

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