Biberonnée à la pop culture américaine, la bretonne Lucie Brémeault voulait écrire une histoire qui rendrait hommage aux héros et aux lieux mythiques qui peuplent son imaginaire. Avec La seconde vie de Rachel Baker (éditions Plon), elle réussit son pari et publie par la même occasion un très beau roman sur la résilience. Rencontre.
Fille de militaire, Sarah McCoy a déménagé toute son enfance au gré des affectations de son père. Elle a ainsi vécu en Allemagne, où elle a souvent séjourné depuis. Résidant actuellement à El Paso, au Texas, elle y donne des cours d’écriture à l’université tout en se consacrant à la rédaction de ses romans. Un goût de cannelle et d’espoir est son premier ouvrage publié en France.
Quand des citoyens justiciers sèment la terreur dans une petite bourgade américaine… Meurtres, complots et coups tordus : à Promise Falls, on ne badine pas avec le crime !
D’habitude si paisible, la petite ville de Promise Falls est en ébullition. C’est d’abord un type ahuri qui débarque dans le bureau de l’inspecteur Duckworth en prétendant avoir été kidnappé et passé à tabac. Sur son dos, un tatouage l’accuse d’être un meurtrier.
Et puis il y a l’affaire Jeremy Pilford. Ce gosse de riche arrogant, soupçonné d’avoir écrasé une jeune fille, vient d’engager le privé Cal Weaver pour assurer sa sécurité. Acquitté au tribunal pour irresponsabilité, l’adolescent se retrouve lynché dans les médias et harcelé par une meute d’anonymes.
Qui sont ces bons redresseurs de torts, ces social justice warriors rassemblés sur les réseaux sociaux, déterminés à faire payer les supposés criminels ? Quelles sont leurs intentions ? Et sont-ils toujours bien informés ?
Il y a cinq siècles, le Moyen Age passait à la Modernité.
La plupart des dates clés sont le témoin d’événements fondateurs : 476 marque la fin de l’empire romain d’Occident, 1453 la chute de Constantinople. Dans ce paysage, 1520 est l’exception qui confirme la règle. Année en suspens, elle se caractérise non par un événement majeur mais par une multiplication de faits qui font basculer le Moyen Âge dans la modernité.
En 1520, les rivalités européennes s’exacerbent. Deux jeunes souverains, Charles Quint et François Ier, rêvent d’empire universel. L’Europe se fragmente, dans la magnificence du camp du Drap d’Or, alors qu’un ennemi pressant se réveille à l’Est, avec l’avènement de Soliman le Magnifique. À ces tensions s’ajoute une dynamique d’expansion : suivant l’Espagne, la France et l’Angleterre se lancent dans la conquête de nouveaux territoires tandis que le Portugal étend sa domination du Brésil à la Chine.
1520 est aussi l’année des grandes découvertes, avec Magellan, et d’une profonde mutation de la connaissance du monde. Celle-ci encourage la critique d’une société en proie au doute et aux rêves d’âge d’or, au milieu de laquelle Luther apparaît comme une force de dissolution du monde chrétien.
Guillaume Frantzwa brosse avec talent les soubresauts de cette époque qui préfigure l’émergence d’un nouvel ordre mondial : celui de l’Europe moderne.
Archiviste paléographe et docteur en histoire de l’art à l’université Paris-I, Guillaume Frantzwa est conservateur du patrimoine au Centre des Archives
Un enquêteur à la retraite, hanté par une erreur qu’il estime avoir commise quinze ans plus tôt.
Un jeune auteur, considéré comme le plus grand spécialiste français des tueurs en série.
Une brillante avocate, dévouée à la défense d’un homme victime, selon elle, d’une effroyable injustice.
Ensemble, ils devront débusquer le plus insaisissable des prédateurs.
2005. Dans un village perché d’Ardèche, la petite Justine, sept ans, disparaît.
Rapidement, les habitants s’organisent et lancent des battues dans la nature environnante.
Les recherches se prolongent jusque tard dans la nuit mais ce n’est qu’au petit matin que le gendarme Tassi découvre quelque chose…
« Antoine Renand, on va beaucoup en entendre parler ! » Damien Thévenot, Télématin.
« Plus qu’un excellent polar, une pépite ! » Sandrine Bajos, Le Parisien, sur L’Empathie.
« Aussi haletant qu’angoissant ! » Michel Primault, Femme Actuelle, sur L’Empathie.
Après des études de cinéma, Antoine Renand a écrit et mis en scène des courts-métrages qui ont été diffusés à la télévision et primés en festivals. Il est aussi l’auteur de scénarios de longs-métrages, dont certains sont en cours de production. Son premier roman, L’Empathie, a été finaliste du prix Maison de la presse et lauréat du prix des lecteurs Gouttes de Sang d’encre
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