Honore de Balzac
_______________
_________________
Écrivain français né à Tours en 1799, décédé à Paris en 1850, Balzac (qui ajoutera une particule à son nom en 1831) est issu de la petite bourgeoisie provinciale. Sa mère l'envoie à l'âge de huit ans chez les oratoriens de Vendôme, où il reste pensionnaire pendant six ans et semble préférer la lecture à des études qu'il achèvera cependant à Paris (1814-1816). Destiné à une carrière juridique mais passionné par la lecture de romans, il arrive à convaincre sa famille de le laisser s'essayer à l'écriture. Après avoir lu la première tragédie en vers de Balzac, Cromwell amènera un critique ami de la famille à déconseiller la carrière littéraire au jeune homme.
Ne se décourageant pas, il continue à écrire diverses œuvres sous divers pseudonymes. Ces dernières ne lui rapporteront pas grand chose au niveau pécuniaire, mais vont contribuer à sa formation littéraire. En 1825, il achète une imprimerie mais fait rapidement faillite et, couvert de dettes, se tourne de nouveau vers le roman. Dès ses premiers succès, il est introduit dans les salons aristocratiques et littéraires notamment dans celui de Mme Récamier. C'est le début d'une vie riche en épisodes amoureux, où voyages et dépenses fastueuses riment avec les créanciers. Il est obligé de travailler comme un forcené et d'entreprendre des aventures financières ruineuses comme, par exemple, la remise en exploitation, en Sardaigne, d'antiques mines d'argent.
Grand précurseur, membre de la Société des gens de lettres dès sa création (1838), il contribue à instaurer la protection du droit d'auteur. Il donne naissance aussi au roman-feuilleton, dont La Vieille Fille (1837) constitue le premier exemple paru dans les journaux. Doué d'une puissance de travail peu commune, Balzac usera cependant peu à peu sa santé et son énergie et mourra à cinquante et un ans, quelques mois seulement après avoir épousé Mme Hanska, une comtesse polonaise avec qui il entretint pendant seize ans une correspondance admirable (Lettres à Mme Hanska, 1832-1848, publiées en 1968).
Le père Goriot : œuvre pivot de la Comédie Humaine
Le père Goriot est véritablement une œuvre pivot de la Comédie Humaine. Dans la pension Vauquer, se retrouvent une série de personnages qui sont comme une miniature, un chef d'œuvre au sensible où l'entendent les ébénistes. On y retrouve Eugène de Rastignac, Vautrin qui figurent parmi les personnages les plus marquants du cycle balzacin. Mais, il y a aussi Goriot, père de deux filles qui, épouses de Nucingen (Delphine) ou du comte de Restaud (Anastasie) seront des figures de proue. Bianchon, le médecin omniprésent est aussi du nombre.
Le père Goriot est un véritable kaléiodoscope dans lequel se retrouvent bon nombre de personnages qui vont irriguer la Comédie Humaine. Plusieurs thèmes s'y trouvent abordés également, thèmes centraux chez Balzac : l'ambition, l'amour paternel. Pour toutes ces raiosns, Le père Goriot est donc une des meilleures introductions à la Comédie Humaine. Prenez ensuite le personnage de Rastignac, par exemple, et suivez-le à travers les romans dans lesquels il apparaît (Le père Goriot, La Maison Nucingen, Illusions Perdues, Le Cabinet des Antiques, Une fille d'Ève, Splendeurs et Misères des courtisanes, etc.). ou alors suivez sa future maîtresse, Delphine de Nucingen (Le père Goriot, Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, La Maison Nucingen, L'interdiction, Le bal de Sceaux, La Peau de chagrin). Le choix est large et on n'a que l'embarras du choix pour visiter l'œuvre de Balzac guidé par un de ses personnages.
Béatrix : point d'entrée sous-estimé de la Comédie Humaine
Le roman intitulé Béatrix est sans aucun doute sous-estimé dans l'ensemble de l'œuvre balzacienne. À tort, il n'est pas mis au même niveau que les Illusions Perdues par exemple. Il s'agit, en tout cas, d'un bon moyen de démarrer dans la Comédie humaine. D'abord, il y a le personnage de Félicité des Touches, plus connue sous le nom de Camille Maupin. Cette femme écrivain, personnage clef de la Comédie Humaine, se retrouve dans plusieurs autres romans (voir sa biographie). Il y a ensuite Calyste du Guénic, modèle du provincieal qui arrive à Paris, tout comme Lucien de Rubempré dans Illusions Perdues ou le héros de Le Cabinet des Antiques.
Claude Vignon est un autre personnage de Béatrix, illustration de l'intellectuel prématurément vieilli, comme Balthazar Claes (La Recherche de l'Absolu) ou Grégoire Gérard (Le Curé de village) ou encore Louis Lambert, personnages dans lesquels Balzac met toujours une partie de lui-même. Les relations entre Caluste et Félicité illustrent aussi un des thèmes les plus forts de Balzac et qui constitue aussi un bon guide de lecture : le thème des relations entre un jeune héros et une femme plus mûre, « mère de son intelligence » selon Balzac qui retrace à ces occasions beaucoup de réminiscences personnelles : ses propres relations avec Mme de Berny.
Ce thème se retrouve évidemment dans le début d'Illusions Perdues avec Lucien, dans La femme abandonnée, dans Le Lys dans la vallée qui se déroule d'abord en province puis à Paris. C'est, au fond, une Comédie humaine en raccourci, même si le ressort essentiel est l'amour et non l'ambition, l'argent ou l'avènement de la bourgeoisie.
César Birotteau : bourgeoisie commerciale et d'affaires
Le roman Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau est un de ceux qui ont le plus contribué à la notoriété de Balzac comme l'écrivain de la bourgeoisie montante du XIXe siècle, la bourgeoisie des affaires. C'est également un des romans qui lui a donné, d'un manière reconnue ensuite excessive, le qualificatif d'écrivain réaliste. Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau est en tout cas une des clés d'entrée dans l'univers de la bourgeoisie commerciale et d'affaires de la Comédie Humaine. On y retrouve en effet le monde du petit commerce mais aussi celui de la haute banque. C'est chez Birotteau que commence du Tillet, un des personnages lesp lus terrifiants de la Comédie Humaine, que l'on retrouve tout au long de la Comédie Humaine.
Anseleme Popinot, Pillerault, le notaire Roguin, les banquiers Keller, Camusot, Andoche Finot, Crottat, ... tous ces personnages vont ensuite hanter les sphères bourgeoises, commerciales et financières de l'œuvre de Balzac (Gigonnet, Mitral, Baudoyer, Sallard sont d'autres). Le thème des affaires se trouve dans la La Maison Nucingen, récit sur l'origine de la fortune du baron Nucingen, basée sur une série d'entourloupes finanicères
Des opérations qui permettent, au passage, à Rastignac de se faire une pelote qui servira ses ambitions. Toujours sur ces questions d'argent, on pourra lire Un homme d'affaires, qui raconte comment Maxime de Trailles, autre ambitieux mais de petite pointure, se fait flouer par Cérizet (que l'on retrouve dans Les Petits Bourgeois) et Claparon. Du Tillet se retrouvera dans La Maison Nucingen, mais aussi dans Les Petits Bourgeois, Melmoth réconcilié, L'envers de l'histoire contemporaine, Splendeurs et Misères des courtisanes, ...
Gobseck : roman de l'argent et de l'avarice
Gobseck est autant le roman de l'argent que de l'avarice. Le père Grandet (Eugénie Grandet) est un autre modèle d'avare, comme l'est aussi Rigou dans Les Paysans, ou le père Hochon, dans La Rabouilleuse. Chacun représente une variante de ce thème omniprésent dans la Comédie Humaine. Sur le même sujet, on pourra lire la nouvelle Maître Cornélius. Gobseck est aussi une ouverture sur le destin de la comtesse de Restaud, fille de Goriot (Le père Goriot), et aussi sur le notaire Derville, personnage secondaire mais omniprésent dans la Comédie Humaine. Le notaire, le juge et le médecin sont trois types au statut bien particulier chez Balzac. Ils ont surtout un rôle de témoin, d'observateur. Ils apparaissent dans un nombre considérable de romans, quoique la plupart du temps dans un rôle secondaire, justement fait pour qu'ils puissent assumer leur mission d'observateur.
La montée à Paris : les ambitions «déçues»
Le Cabinet des Antiques, Illusions Perdues, Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau et La Maison Nucingen sont des romains conformes à ce que l'on sait de ce que l'on sait habituellement des romans et de l'univers balzacien. Ces sont des romans de l'ambition, plus souvent déçue qu'assouvie. Le Cabinet des Antiques raconte la tentative d'un jeune aristocrate rejeton d'une famille de hobereaux désargentés, de «monter» à Paris faire fortune et se faire reconnaître.
C'est un thème classique, c'est le thème de tout le XIXe siècle que l'on retrouvera avec des variantes chez Zola, chez Flaubert et que l'on trouve aussi chez Stendhal. Les Illusions Perdues sont aussi le récit d'une montée à Paris, celle de Lucien Chardon qui se fait appeler de Rubempré, nom de jeune fille de sa mère. Mais avec les Splendeurs et Misères des courtisanes, ce cycle est aussi celui de Vautrin, ce Méphisto balzacien, qu'on retrouve dans ses débuts avec Le père Goriot.
C'est aussi le cycle du journalisme, activité qui permet à la fois le succès et l'échec de Lucien. Des personnages comme Lousteau se retrouvent dans d'autres œuvres majeures. C'est, en contraste, le roman de l'inventeur génial, David Séchard, qui échoue dans la mise au point d'un nouveau papier, malgré son obstination. Le thème est développé dans La Recherche de l'Absolu avec Balthazar Claës.
La Rabouilleuse : les deux frères
La Rabouilleuse est un peu le roman des mauvais garçons, avec le combat de deux soudards, Maxence Gilet et Philippe Bridau pour s'arracher les faveurs de Flore Brazier, dite «La Rabouilleuse». Mais c'est surtout le roman de Philippe Bridau. Le personnage vaut aussi par son contraste avec son frère, «peintre génial» mais que sa mère délaisse au profit du fils remuant.
Après la Rabouilleuse, on pourra lire les récits où apparaissent l'un ou l'autre des frères Bridau (Illusions Perdues, Splendeurs et Misères des courtisanes, Un début dans la vie). Avec eux, Balzac joue sur le contraste et l'opposition des deux personnalités. C'est sur ce principe qu'il traite le thème des deux frères qui reparaît souvent dans la Comédie Humaine (La Vendetta, Illusions Perdues où Lucien Chardon - de Rubempré et David Séchard sont présentés comme deux frères, La Grenadière, les Rastignac, les Birotteau).
L'institution du mariage au XIXe siècle
La Maison du chat-qui-pelote est l'introduction la plus logique pour la Comédie humaine puisque Balzac l'a justement placée en tête. La première scène, dans laquelle le jeune peintre aristocrate contemple le magasin à son ouverture, les commis qui se mettent en place pour le travail de la journée peut aussi être vue comme le mise en place de l'ensemble des personnages, des décors et ressorts de la Comédie humaine.
Mais La Maison du chat-qui-pelote est aussi et surtout l'histoire d'un mariage raté entre un artiste aristocrate et une jeune bourgeoise, belle et sensible mais ne parvenant pas à s'intégrer dans la vie mondaine et parisienne de son mari. Le thème du mariage est omniprésent chez Balzac, principalement dans les scènes de la vie privée qu'il a présenté un moment comme des tableaux donnant des conseils à des jeunes filles pour mieux préparer et réussir leur vie.
On pourra lire ensuite Mémoires de deux jeunes mariées, roman par lettres dans lequel on suit les destins parallèles de deux jeunes femmes au regard de leur mairage; Modeste Mignon, histoire dans le style de Molière met en scène les péripéties qui conduisent une juene fille au mariage.
Une double famille, La paix du ménage, et bien d'autres scènes, parfois un peu superficielles mais toujours pleines de charmes, décrivent les ratés ou les réussites de cette institution.
Le contrat de mariage, au contraire jette une lumière sordide sur ses enjeux et sa préparation juridique. L'interdiction, tout aussi sordide, raconte le conflit entre une femme et son mari, tandis que, d'une certaine manière, Une double famille montre comment un homme marié a trouvé sa propre solution à son mariage raté. Il faudra lire, évidemment, mais plus l'étude analytique Physiologie du Mariage.
L'aristocratie et sa splendeur déchue
La Duchesse de Langeais est, parfois explicitement, le procès fait par Balzac à l'aristocratie, incapable selon lui de se comporter de manière à retrouver son ascendant antérieur. C'est aussi une manière pour lui de se venger de son échec amoureux avec la duchesse de Castres. Les Secrets de la princesse de Cadignan est aussi à lire dans cet esprit.
Féminisme vs. intégration familiale / passion vs. amour raisonnable
Ce thème est largement développé dans Mémoires de deux jeunes mariées mais on le retrouve aussi notamment dans Honorine. On a dit que Balzac était le premier écrivain à écrire pour les femmes ce qui est sans doute faux mais il a été le premier à traiter d'une certaine manière de la condition féminine et en particulier de la femme d'âge mûr que les héroïnes de la littérature classique. La femme de trente ans, récit un peu hétéroclite pourra être lu ensuite. Une fille d'Ève, roman plus ambigu raconte comment une femme tente de sortir du giron un peu étouffant d'un mari trop parfait.
L'univers fantastique de Balzac
Indépendamment de ses valeurs propres, La Peau de chagrin est une excellente introduction à l'univers fantastique de Balzac. Univers qui se réfère toujours à la société réelle pour la raison simple qu'il s'agit, pour Balzac, surtout d'écrire un récit qui ait une valeur philosophique. C'est pourquoi ses romans fantastiques se trouvent d'ailleurs tous classés dans les études philosophiques, une des grandes catégories de la Comédie humaine. Après La Peau de chagrin et pour rester dans le même univers, on pourra lire Maître Cornélius qui se déroule sous Louis XI, L'Élixir de longue vie de longue vie, Melmoth réconcilié.
D'autres récits «philosophiques» ne reprennents plus les ressorts du fantastiques au sens propre, mais sont dans le même exprit : L'Auberge rouge, Adieu, Le Réquisitionnaire. L'étrange se trouve également dans un court récit, un des rares scènes de la vie militaire : Une passion dans le désert, où une liaison amoureuse naît entre un militaire et une panthère.
À travers tous ces récits, Balzac se situe tout à fait dans la veine du fantastique et de l'étrange propre au romantisme que Théophile Gautier et Mérimée développereont, et que la fin du XIXe siècle portera à la perfection.
Balzac : traducteur de sa vie réelle
Aucun écrivain, sans doute, sous des apparences d'observateur de la vie sociale de son époque, n'a autant mis de soi-même. Depuis Louis Lambert jusqu'aux Illusions Perdues, en passant par le Le Lys dans la vallée, et bien d'autres récits (comme La Duchesse de Langeais par exemple), il y a une manière de lire la Comédie Humaine, une biographie de l'auteur à la main.
_____________
Balzac, dans la préface d'Une ténébreuse affaire, écrit : un type [...] est un personnage qui résume en lui-même les traits caractéristiques de tous ceux qui lui ressemblent plus ou moins, il est le modèle du genre. On trouve donc ici quelques uns des représentants des types récurrents de la Comédie Humaine.
A
Aiglemont, général marquis Victor d' (détails) apparaît dans 9 romans ou nouvelles (10 %)
représente : les Imbéciles apparaît principalement dans : La femme de trente ans La Maison Nucingen Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau |
Ajuda-Pinto, marquis Miguel d\' (détails) apparaît dans 7 romans ou nouvelles (8 %)
représente : les Roués les Nobles apparaît principalement dans : Le père Goriot Splendeurs et Misères des courtisanes Illusions Perdues |
B
Bianchon, Horace (détails) apparaît dans 24 romans ou nouvelles (27 %)
représente : les Médecins apparaît principalement dans : Le père Goriot La Muse du département L'interdiction |
Bixiou, Jean-Jacques (détails) apparaît dans 19 romans ou nouvelles (21 %)
représente : les Fonctionnaires les Artistes apparaît principalement dans : Les Employés Les Comédiens sans le savoir La Maison Nucingen |
Blondet (père) (détails) apparaît dans 4 romans ou nouvelles (4 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : Le Cabinet des Antiques Les Secrets de la princesse de Cadignan Béatrix |
Bridau, Joseph (détails) apparaît dans 13 romans ou nouvelles (15 %)
représente : les Artistes apparaît principalement dans : La Rabouilleuse Un début dans la vie Illusions Perdues |
Bryond des Tours-Minières, baron Bernard-Polydore (détails) apparaît dans 3 romans ou nouvelles (3 %)
représente : les Policiers apparaît principalement dans : Splendeurs et Misères des courtisanes L'envers de l'histoire contemporaine Les Comédiens sans le savoir |
C
Camusot de Marville (détails) apparaît dans 12 romans ou nouvelles (13 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : Splendeurs et Misères des courtisanes Illusions Perdues Le Cabinet des Antiques |
Cardot, Me (détails) apparaît dans 15 romans ou nouvelles (17 %)
représente : les Gens de robe les Politiciens apparaît principalement dans : Un début dans la vie La Muse du département Le Cousin Pons |
Cérizet (détails) apparaît dans 6 romans ou nouvelles (7 %)
représente : les Financiers les Criminels apparaît principalement dans : Les Petits Bourgeois Illusions Perdues Un homme d'affaires |
Chabert, Hyacinthe (détails) apparaît dans 2 romans ou nouvelles (2 %)
représente : les Soldats apparaît principalement dans : Le colonel Chabert La Rabouilleuse |
Chesnel, Me (détails) apparaît dans 2 romans ou nouvelles (2 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : Le Cabinet des Antiques L'envers de l'histoire contemporaine |
Claparon, Charles (détails) apparaît dans 6 romans ou nouvelles (7 %)
représente : les Financiers les Commerçants apparaît principalement dans : Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau Les Petits Bourgeois Melmoth réconcilié |
Colleville (détails) apparaît dans 3 romans ou nouvelles (3 %)
représente : les Fonctionnaires les Musiciens apparaît principalement dans : Les Petits Bourgeois Les Employés Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau |
Coralie (détails) apparaît dans 6 romans ou nouvelles (7 %)
représente : les Courtisanes apparaît principalement dans : Illusions Perdues Splendeurs et Misères des courtisanes La Rabouilleuse |
Crevel, Célestin (détails) apparaît dans 3 romans ou nouvelles (3 %)
représente : les Bourgeois apparaît principalement dans : La Cousine Bette Le Cousin Pons Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau |
Crottat, Alexandre (détails) apparaît dans 8 romans ou nouvelles (9 %)
représente : les Gens de robe les Imbéciles apparaît principalement dans : Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau Un début dans la vie Splendeurs et Misères des courtisanes |
D
Derville, Me (détails) apparaît dans 14 romans ou nouvelles (16 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : Le colonel Chabert Splendeurs et Misères des courtisanes Gobseck |
Desroches, Me (détails) apparaît dans 14 romans ou nouvelles (16 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : La Rabouilleuse Un début dans la vie Les Petits Bourgeois |
E
Esgrignon, Victurnien (comte puis marquis) d\' (détails) apparaît dans 12 romans ou nouvelles (13 %)
représente : les Jeunes écervelé(e)s apparaît principalement dans : Le Cabinet des Antiques La Vieille Fille Les Secrets de la princesse de Cadignan |
F
Ferragus XXIII (détails) apparaît dans 2 romans ou nouvelles (2 %)
représente : les Parents les Criminels apparaît principalement dans : Ferragus La fille aux yeux d'or |
Fontaine, Émilie de (détails) apparaît dans 5 romans ou nouvelles (6 %)
représente : les Jeunes écervelé(e)s apparaît principalement dans : Le bal de Sceaux Le Cousin Pons Ursule Mirouët |
G
Gaudissart, Félix (détails) apparaît dans 6 romans ou nouvelles (7 %)
représente : les Commerçants apparaît principalement dans : L'Illustre Gaudissart Le Cousin Pons Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau |
Gobseck, Jean-Esther van (détails) apparaît dans 14 romans ou nouvelles (16 %)
représente : les Financiers les Avares apparaît principalement dans : Gobseck Les Employés Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau |
Goriot, Jean-Joachim (détails) apparaît dans 5 romans ou nouvelles (6 %)
représente : les Parents apparaît principalement dans : Le père Goriot Splendeurs et Misères des courtisanes Gobseck |
Grandet, Félix (détails) apparaît dans 4 romans ou nouvelles (4 %)
représente : les Avares les Parents apparaît principalement dans : Eugénie Grandet La Maison Nucingen La Vieille Fille |
Grignoult (dite Florine), Sophie (détails) apparaît dans 19 romans ou nouvelles (21 %)
représente : les Courtisanes apparaît principalement dans : Illusions Perdues Une fille d'Ève Splendeurs et Misères des courtisanes |
K
Keller, comte François (détails) apparaît dans 18 romans ou nouvelles (20 %)
représente : les Financiers apparaît principalement dans : Le député d'Arcis Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau Le Cabinet des Antiques |
L
Listomère, marquise de (détails) apparaît dans 9 romans ou nouvelles (10 %)
représente : les Nobles apparaît principalement dans : Autre étude de femme La femme de trente ans Le Lys dans la vallée |
Lousteau, Étienne (détails) apparaît dans 13 romans ou nouvelles (15 %)
représente : les Gens de lettres apparaît principalement dans : La Muse du département Illusions Perdues La Rabouilleuse |
Lupeaulx, comte Clément Chardin des (détails) apparaît dans 14 romans ou nouvelles (16 %)
représente : les Politiciens apparaît principalement dans : Les Employés Illusions Perdues Splendeurs et Misères des courtisanes |
M
Magus, Élias ou Élie (détails) apparaît dans 5 romans ou nouvelles (6 %)
représente : les Artistes apparaît principalement dans : Le Cousin Pons Pierre Grassou Le contrat de mariage |
Marsay, comte Henri de (détails) apparaît dans 28 romans ou nouvelles (31 %)
représente : les Dandies les Politiciens apparaît principalement dans : La fille aux yeux d'or Le Cabinet des Antiques Illusions Perdues |
Maufrigneuse, Diane de (détails) apparaît dans 21 romans ou nouvelles (24 %)
représente : les Nobles apparaît principalement dans : Splendeurs et Misères des courtisanes Le Cabinet des Antiques Les Secrets de la princesse de Cadignan |
Molineux, Jean-Baptiste (détails) apparaît dans 4 romans ou nouvelles (4 %)
représente : les Financiers apparaît principalement dans : Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau La bourse Splendeurs et Misères des courtisanes |
N
Nathan, Raoul (détails) apparaît dans 19 romans ou nouvelles (21 %)
représente : les Gens de lettres les Politiciens apparaît principalement dans : Une fille d'Ève Illusions Perdues Béatrix |
Nucingen, baron Frédéric de (détails) apparaît dans 35 romans ou nouvelles (39 %)
représente : les Financiers les Avares apparaît principalement dans : Splendeurs et Misères des courtisanes La Maison Nucingen Le père Goriot |
P
Phellion (détails) apparaît dans 2 romans ou nouvelles (2 %)
représente : les Fonctionnaires apparaît principalement dans : Les Petits Bourgeois Les Employés |
R
Rastignac, Eugène-Louis de (détails) apparaît dans 26 romans ou nouvelles (29 %)
représente : les Politiciens apparaît principalement dans : Le père Goriot Le député d'Arcis Splendeurs et Misères des courtisanes |
Restaud, Anastasie (comtesse de) (détails) apparaît dans 7 romans ou nouvelles (8 %)
représente : les Nobles apparaît principalement dans : Le père Goriot Gobseck Le député d'Arcis |
Rochefide, Béatrix-Maximilienne-Rose marquise de (détails) apparaît dans 11 romans ou nouvelles (12 %)
représente : les Nobles apparaît principalement dans : Béatrix Le père Goriot Un prince de la Bohème |
Roguin, Me (détails) apparaît dans 10 romans ou nouvelles (11 %)
représente : les Gens de robe apparaît principalement dans : Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau La Vendetta La Maison du chat-qui-pelote |
Ronquerolles, marquis de (détails) apparaît dans 20 romans ou nouvelles (22 %)
représente : les Impertinents apparaît principalement dans : Les Paysans Le député d'Arcis La Duchesse de Langeais |
Rusticoli, Gabriel-Jean-Anne-Victor-Benjamin-Georges-Ferdinand-Charles Edouard - comte de La Palférine (détails) apparaît dans 6 romans ou nouvelles (7 %)
représente : les Nobles les Dandies apparaît principalement dans : Un prince de la Bohème Béatrix Un homme d'affaires |
S
Schinner, baron Hippolyte (détails) apparaît dans 12 romans ou nouvelles (13 %)
représente : les Artistes apparaît principalement dans : Un début dans la vie La bourse Pierre Grassou |
Sérisy, comtesse Hugret de (détails) apparaît dans 20 romans ou nouvelles (22 %)
représente : les Nobles apparaît principalement dans : Splendeurs et Misères des courtisanes Un début dans la vie Honorine |
Sinet (dite Carabine), Sérafine (détails) apparaît dans 3 romans ou nouvelles (3 %)
représente : les Courtisanes apparaît principalement dans : La Cousine Bette Les Comédiens sans le savoir Le Cousin Pons |
T
Taillefer, Jean-Frédéric (détails) apparaît dans 5 romans ou nouvelles (6 %)
représente : les Financiers apparaît principalement dans : Le père Goriot L'Auberge rouge La Peau de chagrin |
Touches, Félicité des (détails) apparaît dans 12 romans ou nouvelles (13 %)
représente : les Gens de lettres apparaît principalement dans : Béatrix Illusions Perdues Illusions Perdues |
Trailles, comte Maxime de (détails) apparaît dans 19 romans ou nouvelles (21 %)
représente : les Criminels les Dandies apparaît principalement dans : Le député d'Arcis Le père Goriot Béatrix |
Turquet (dite Malaga), Marguerite (détails) apparaît dans 10 romans ou nouvelles (11 %)
représente : les Courtisanes apparaît principalement dans : La fausse maîtresse Un homme d'affaires La Muse du département _______________ La Comédie Humaine n'est pas uniquement une peinture d'une exactitude troublante du XIXe siècle, c'est aussi une plongée dans la France de l'époque. Ces pages permettent de cartographier l'œuvre de Balzac en positionnant les lieux mentionnés dans l'ensemble des romans et nouvelles (avertissement). Une version mobile de ces informations est disponible. |
___________
_____________
______
___________
_____________
continuons a decouvrir Balzac
______________________
____________